Complexe Industriel de la Censure 1 – DISARM Framework

Complexe Industriel de la Censure 1 – DISARM Framework

NDLR : Merci à Patrick et Bad Kitty pour leur travail monumental de recherches et de traduction. Bad Kitty à pu sortir le lapin de son terrier pour le mettre sur X, et Patrick m’a aidé énormément avec l’organisation des morceaux du Puzzle. Ce premier épisode n’est que le premier d’une série qui risque d’occuper une bonne partie de 2024, car elle aborde les contours du 4ème Reich, en exposant le complexe industriel de la censure, leurs acteurs et leurs méthodes.

Les Dossiers CTIL sont en train de provoquer la chute du système de censure et du contrôle du narratif. Qu’est-ce que CTIL ?

CTIL vient de “Cyber-Thread Intelligence League”, signifiant “Ligue de renseignement du cyberespace”. Cette institution trouve ses origines dans le gouvernement américain qui a collaboré avec le gouvernement britannique pour contourner l’utilisation du renseignement lié à la menace cybernétique, affirmant qu’un cerveau humain est piratable de la même façon, donc les mêmes principes qui sont utilisés pour protéger les ordinateurs des piratages doivent être appliqués pour protéger les humains du piratage intellectuel. C’est là qu’a commencé à émerger l’idée de la sécurité cognitive.

Ces dossiers expliquent comment le gouvernement américain a contourné la loi en utilisant le secteur privé pour censurer et attaquer, en diffamant les personnes divergeant de la rhétorique. Ces dossiers révèlent aussi les méthodes utilisées par ce groupe obscur qui utilisait de faux comptes ou carrément des visages créés par l’intelligence artificielle afin de contrôler le discours et d’attaquer toute forme d’opposition.

On apprend aussi que des formations pour créer des influenceurs ont eu lieu, et ces influenceurs ont été utilisés comme armes pour défendre le discours. On apprend aussi l’existence d’individus qui servaient à infiltrer des groupes d’opposition dans le but de les détourner ou de collecter de l’information de l’intérieur.

Toutes ces institutions et groupes, se synchronisent en utilisant un « cadre » (framework) créé par une fondation qui s’appelle DISARM, et qui est une sorte d’épicentre de l’industrie de la censure, et qui sera le sujet de cette partie.

Les dossiers rendus publics par ce lanceur d’alerte ont pu être authentifiés et sont actuellement entre les mains du congrès dans le cadre d’une enquête concernant l’utilisation des réseaux sociaux et du secteur privé comme arme politique. Ce scandale dépasse celui de Twitter-Files et de Facebook-Files, car il en est à l’origine.

Dans l’article explosif qui apporte des révélations concernant l’industrie de la censure, ou l’instauration du système de propagande du 4ème Reich, nous avons appris l’existence d’une institution qui s’appelle DISARM :

DISARM

DISARM est la fondation utilisée pour créer le « cadre » (framework) qui permet à tous les acteurs de la censure de ne pas se perdre. On pourrait qualifier DISARM de « chef d’orchestre des perroquets intellectuels ».

Pourquoi ?

Le conseil de gouvernance du cadre sera essentiel pour que le cadre reste « ouvert » et soit partagé par l’ensemble de la communauté des responsables de la lutte contre la désinformation. Les utilisateurs prendront des copies (ou « forks ») du cadre. Avec ces copies, ils peuvent modifier ou compléter le code afin de mieux répondre à leurs propres défis.
Nous encourageons les utilisateurs à partager leur travail, afin que la communauté – par l’intermédiaire du conseil d’administration – puisse décider des améliorations à apporter à la version « principale », pour le bénéfice de tous. Et nous continuerons à rendre le cadre toujours plus accessible et facile à utiliser.

La Fondation est là pour permettre et renforcer les organisations et les réseaux d’organisations. Nous souhaitons jouer notre rôle en encourageant un « réseau de réseaux » plus fort, capable de réagir rapidement et efficacement à la désinformation.‍ C’est à travers et avec ce réseau de réseaux que nous chercherons à promouvoir le Cadre et à mettre en place les moyens nécessaires à son utilisation.

Qui ? (Partenaires)

Alliance4Europe = La section EU de l’industrie de la censure. Ce sont les intermédiaires entre la volonté des censeurs et les acteurs européens.

Alfred Landecker = Groupe concentré sur l’amalgame entre populisme et nazisme, et tous ce qui tourne autour. Ils font partie des propagateurs de l’hystérie hypocrite contre antisémitisme (qui ne s’exprime pas quand le parlement canadien « salue le courage » d’un véritable nazi de la 2ème guerre mondiale).

Credibility Coalition = Ils créent des « standards de crédibilité » de l’information, utilisés par la suite pour définir ce qui est une « désinformation » ou pas par les chiens de garde du narratif officiel.

CogSec Collaborative = Font partie des créateurs du « Framework » de DISARM, ajoutant dedans des methodes utilisées contre le terrorisme, et ajoutant des liens avec l’OTAN (https://www.misp-project.org/). Le site de CogSec n’existe plus aujourd’hui. Le lien vous emmène sur web.archive.org (heureusement que cette archive existe).

Craig Newmark Philanthropies = Milliardaire, financier omniprésent dans les opérations de ce genre, (fondateur du site Craigslist, un des tout premiers sites d’annonces en ligne, à mettre en lien avec ce qui se passe avec les sites d’annonces en ligne et le trafic d’enfants…)

Florida International University : Université impliqué à des recherches et travaux en partenariat avec MITRE et CogSec.

PD America = C’est une entité qui se concentre sur les outils qui permettent d’amplifier les messages des minorités. Ces outils sont ensuite utilisés par les « soldats digitaux » et les IA du côté obscur, pour leur donner plus de poids, en « amplifiant » leurs voix.

MITRE : Un extrait de la déscription sur leur site donne une idée de leur rôle : « Chez MITRE, nous unissons nos forces pour atteindre des résultats qu’il est difficile, voire impossible, de réaliser seul. En travaillant avec notre réseau croissant de partenaires – le gouvernement, l’industrie, d’autres organisations à but non lucratif, des laboratoires nationaux et des universités – nous résolvons des problèmes critiques qui touchent les secteurs, les technologies et les nations. »
MITRE est utilisé pour justifier tout et n’importe quoi : « Dominion a demandé au National Election Security Lab (NESL), accrédité par MITRE, d’effectuer une analyse indépendante, par un expert tiers, des affirmations du consultant concernant le système de vote de la Géorgie. » – DOMINION REPORT
Ils sont également les créateurs de l’ancienne version du « framework » de DISARM.

Qui ? (équipe)

Jon Brewer vient du WEF, Pablo Breuer est un ancien militaire haut gradé, Omri Preiss est un lobbyiste pour l’Europe (président d’Alliance4Europe), Stephen Campbell vient du Atlantic Council (à travers lequel Von der Leyen à donné un prix de chépaquoi à Bourla en lui tapant la bise)…

L’équipe donc est aussi très intéressante, mais ce qui m’a intrigué le plus (en plus des personnes qui n’ont rien à faire là), c’est une certain ADAM…

Analyste des opérations d’influence
Adam est une personne humaine qui n’aime pas que les gens essaient de manipuler les autres. Pendant les lockdowns de COVID, Adam a combiné sa formation en psychologie et son expérience dans le secteur du renseignement sur les cybermenaces pour analyser et archiver les techniques utilisées dans les opérations d’influence, dans le but d’aider les gens à mieux comprendre comment ils sont manipulés en ligne. Adam privilégie la clarté, l’authenticité et l’accessibilité dans son travail, et aime aider à protéger les gens des préjudices en ligne par tous les moyens possibles.

Adam est fort probablement l’IA qu’ils utilisent pour réguler leur narratif en analysant le comportement des « masses » sur les réseaux sociaux. Adam s’est probablement retrouvé au chômage avec l’achat de Twitter par Musk, qui a posé des imites à ce genre d’Operations de collecte d’informations.

Le « Framework » DISARM

Là, on touche à l’outil de travail central du complexe industriel de la censure. Voici donc le « Cadre » (Framework) de DISARM, utilisé pour synchroniser toutes les institutions, groupes et acteurs, qui font partie de ce complexe industriel qui sert à censurer, diffamer, attaquer, manipuler… C’est l’outil de travail utilisé par des individus comme TMF, 4ème Reichstadt… N’avez-vous pas remarqué que dans certains contextes, ils chantent tous la « même chanson » et en même temps ? Ça donne l’impression qu’ils communiquent ensemble en coulisses, factcheckeurs, influenceurs, médias mainstream, entités privées… Ce n’est pas qu’une impression. Ils travaillent ensemble, et voici leurs méthodes :

Ca prendrait des semaines pour explorer l’ensemble de contenu de ce « Framework » tout seul, alors si certains parmi vous sont compétents en recherches et veulent essayer de comprendre, voici le lien de leur navigateur « DISARM Framework Navigator » et le Github contenant tous les fichiers qui composent le « Framework » : GitHub du Framework DISARM

Simplement le fait de partager ces liens, c’est donner un gros coup de pieds aux testicules stériles de la bête. En plus, on profite du fait qu’ils ont mis ça en « Open Source », et donc accessible à tous, pour utiliser l’intelligence collective pour faire cette recherche ensemble, la première investigation décentralisée. Publiez vos résultats sur X en taguant le compte d’adnm, et j’y jetterais un coup d’œil et éventuellement, partager (prenez en compte le fait que je suis seul à regarder donc ne soyez pas frustrés si je rate certains posts).

En attendant le prochain épisode, allons jeter un coup d’œil pour voir de quoi il s’agit exactement…