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“Dossiers C.T.I.L.” et la “Ligue contre la Liberté d’Expression” des “pathocrates” – INTRODUCTION

NDLR : Pour ceux qui ne savent pas ce qu’est Q, je vous conseille de regarder cette vidéo contenue dans cet article ci-dessous :

Introduction

Si vous avez lu les drops de Q depuis le début, le nom de Soros apparaît souvent. Q y fait même référence dès son second drop publié fin octobre 2017.

HRC détenue, pas (encore) arrêtée.
Où est Huma ? Suivez Huma.
Cela n’a rien à voir avec la Russie (pour l’instant).
Pourquoi Potus s’entoure-t-il de généraux ?
Qu’est-ce que le renseignement militaire ?
Pourquoi contourner les agences à trois lettres ?
Quelle affaire de la Cour suprême autorise l’utilisation du renseignement militaire contre les agences assemblées et approuvées par le Congrès ?
Qui a l’autorité ultime sur nos branches militaires ? Quelles sont les conditions d’approbation, sauf si elles sont supérieures à 90 en temps de guerre ?

Qu’est-ce que le code militaire ?
Où les AW sont-ils détenus ? Pourquoi ?
Le POTUS ne passera pas à la télévision pour s’adresser à la nation.
Il doit s’isoler pour éviter toute image négative.
Le POTUS savait qu’il était essentiel d’éliminer les éléments criminels voyous dans un premier temps afin de libérer et d’adopter la législation.
Qui a accès à tout ce qui est classifié ?
Croyez-vous que HRC, Soros, Obama, etc. ont plus de pouvoir que Trump ? Fantaisie.
Quiconque contrôle le bureau de la présidence contrôle ce grand pays.
Ils n’ont jamais cru un seul instant qu’ils (démocrates et républicains) perdraient ce contrôle.
Il ne s’agit pas d’une bataille entre démocrates et républicains.
Pourquoi Soros a-t-il fait don de tout son argent récemment ?
Pourquoi placerait-il tous ses fonds dans un CR ?
Mockingbird 10.30.17
Que Dieu bénisse nos amis patriotes.

Q a aussi écrit dans le drop 4393 (parlant également de Soros) que l’on a plus que l’on sait… Peut-être voulait-il dire par là que d’importantes informations sont accessibles en cherchant bien sur le web, et à vrai dire, c’est bien le cas quand on sait quoi chercher…

La boucle est bouclée.
Pourquoi l’association ANTIFA est-elle autorisée à opérer ?
Que se passe-t-il si les opérations financées par Soros deviennent violentes et s’engagent dans le terrorisme intérieur ?
Que se passe-t-il si les maires, les commissaires de police et les chefs de police n’appliquent pas la loi ?
Pensez aux événements récents.
Vous en savez plus que vous ne le pensez.
Q

Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’on retrouve Soros (ou son ombre) et surtout son argent, directement et indirectement, littéralement partout… et d’autres aussi.

Pour faire une petite introduction de façon non exhaustive et sans trop entrer dans les détails, sa trace peut être trouvée par exemple dans une firme bien connue de machines à voter, dans le network IFCN (International Fact-Checking Network) de fact-checking de l’institut Poynter, dans des entités misent sur pieds pour “surveiller” les élections, dans les récentes actions contre Trump afin qu’il ne puisse pas se représenter dans certains États US… Mais aussi pas loin des CTIL Files… Même très proche au final.

Derrière CREW* (récente attaque contre Trump au Colorado) et Media Matters on retrouve par exemple David Brock (James Alefantis), mais aussi l’argent de Soros, ces entités ont partagé par exemple une même adresse à DC, et ce schéma peut être retrouvé en Europe en lien avec les CTILFiles…

*“Citizens for Responsibility and Ethics in Washington”, ou en francais “Citoyens pour la Responsabilité et l’Éthique à Washington”

Dans son drop 56 daté du 2 novembre 2017, Q parlait déjà de Media Matters… dans quelques autres aussi…

La campagne Clinton tente une fois de plus de dissimuler des questions importantes concernant Huma Abedin, sa principale assistante, ses liens familiaux avec les Frères musulmans et l’Arabie saoudite, et son rôle dans le scandale des courriels de Clinton, qui prend de l’ampleur.

Sa mère, Saleha Abedin, siège au Conseil du personnel de la présidence du Conseil islamique international pour la Da’wa et l’aide, un groupe présidé par le chef des Frères musulmans, le cheikh Yusuf al-Qaradawi.

Consciente sans doute de l’offense que de tels liens constitueront pour les électeurs préoccupés par de futurs attentats terroristes perpétrés dans ce pays par des musulmans radicaux professant leur allégeance à la charia, la campagne Clinton a tenté lundi de minimiser l’implication de Mme Abedin dans le Journal et les Frères musulmans.

Le groupe de soutien à Clinton, Media Matters, a affirmé, comme on pouvait s’y attendre, qu’il n’y avait “aucune preuve” que Mme Abedin ou sa famille avait des liens avec les Frères musulmans, et que les membres de la campagne de Trump qui parlaient de ces liens étaient des théoriciens de la conspiration.

Pour démystifier ces preuves, Media Matters s’est appuyé sur un “fact-check” de Snopes.com qui citait comme seule source… le sénateur John McCain. C’est ce même John McCain qui a rencontré le chef de la milice libyenne Abdelkarim Belhaj, un associé connu d’Al-Qaïda, et l’a salué comme “mon héros” lors d’une visite à Benghazi en 2011.

L’Europe est aussi très impliquée, car elle finance des entités liées aux CTIL Files, les USA également, d’autres pays comme l’Angleterre ou l’Allemagne, ainsi que le privé et des ONG, se mêlant dans une gigantesque nébuleuse philanthropique.

Le maître mot de l’Europe depuis le Brexit est la lutte contre la désinformation et, un mouvement international très orienté à gauche, mondialiste et également libéral s’est formé contre Trump ainsi que contre toute la droite populiste/nationaliste dans le monde, tout ce qui ne rentre pas dans leur idéologie gauche/libérale/mondialiste est taxée de désinformation, négligeant au passage leurs propres mensonges.

Ce qui au départ a été mis sur pied en Europe et par l’Europe (financement) face au Brexit a ensuite été redirigé contre Trump aux USA.

L’Europe finance par exemple un réseau de fact-checkers nommé EDMO dont les membres semblent déjà formés au cadre DISARM dont il est fait mention dans les CTIL Files.

Car en effet, la finalité des CTIL Files est un “framework” (cadre) nommé DISARM inspiré de la Cyber Treath Intelligence (CTI), où États-Unis et Europe se partagent des données contre ce qu’ils nomment désinformation et, cette approche n’est pas sans rappeler “ceux” expliquant que l’être humain est hackable. Plusieurs étapes ont été franchies avant d’en arriver à DISARM avec toute une série d’acteurs de différents horizons. Même Thierry Breton attaque X en parlant de désinformation, mais c’est surtout la censure qu’il veut, l’absence du débat contradictoire, la protection de leurs narratifs, peu importe le sujet, tout en piétinant de la sorte la liberté d’expression et d’information pourtant protégée par l’article 19 de la Déclaration universelle des droits de l’homme et par l’article 11 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne…

Il y a toute une pelote de laine à démêler et certains comptes X sont déjà à la tâche depuis un bon moment pour exposer tout cela. Il y a beaucoup à expliquer, à montrer et tout a été (et va encore être) archivé. Derrière le mot démocratie dont ils usent et abusent, ils se permettent bien des choses pas nettes et vraiment pas démocratiques.

Il est temps de sauver la civilisation de l’État pathocratique

de Michael Shellenberger

Pour sauver la démocratie et la liberté d’expression du nihilisme et des psychopathologies, il faudra de nouvelles institutions et votre soutien.

De gauche à droite, en commençant par la rangée supérieure : Thierry Breton, haut fonctionnaire de l’UE cherchant à étendre la censure des plateformes de médias sociaux ; Nina Jankowicz, candidate à la tête du “Conseil de gouvernance de la désinformation” du gouvernement américain ; le Premier ministre irlandais Leo Varadakar, partisan d’autoriser la police à pénétrer dans les maisons pour y trouver des “discours de haine” ; le fondateur du Forum économique mondial, Klaus Schwab ; George Soros ; Justin Trudeau, Premier ministre du Canada ; Ben Collins, “journaliste spécialiste de la désinformation” de la NBC ; Jonathan Greenblatt, président de l’ADL ; John Podesta ; Damian Colins, député du Royaume-Uni ; Sasha Havlicek, fondatrice de l’ISD ; Alejandro Mayorkas, directeur du DHS ; Christopher Wray, directeur du FBI ; Imran Ahmed, fondateur du Center for Countering Digital Hate (Getty Images).

Entre le début de l’année 2016 et cette année, les médias et les institutions politiques qui gouvernent les États-Unis, la Grande-Bretagne, le Canada et l’Union européenne se sont décrits comme les défenseurs de la démocratie et de la liberté face aux politiciens nationalistes, aux partis politiques et aux mouvements sociaux. Ces mouvements populistes ont l’intention de prendre le pouvoir et de mettre fin à la démocratie telle que nous la connaissons, ont convenu les médias et les partis politiques dominants. Si on les laisse gagner en influence, ils deviendront identiques aux partis nazis et autres partis fascistes qui ont pris le pouvoir en Europe il y a près de 100 ans.

Mais les événements de l’année dernière montrent clairement que les médias et l’establishment politique des États-Unis et d’autres pays occidentaux représentent une menace bien plus grande pour la démocratie que les mouvements populistes qu’ils diffament sans relâche.

L’achat de Twitter par Elon Musk, la publication des Twitter Files et le procès Missouri contre Biden ont révélé à quel point le contrôle de l’establishment occidental sur l’environnement médiatique était et reste généralisé et quasi-total. L’image qu’ils donnent d’eux-mêmes comme étant neutres, objectifs et équilibrés est un mensonge. Les médias et l’establishment politique sont anti-populistes, élitistes et anti-démocratiques. Ils éprouvent un profond ressentiment à l’égard de l’émergence de nouvelles voix indépendantes grâce aux médias sociaux, car ils ont longtemps exercé une influence imméritée sur les idées qui peuvent être débattues, sur ce qui est important et sur les personnes qui peuvent exercer des fonctions électives.

Le mot qui décrit le mieux les agences de l'”État profond” dominées par la classe professionnelle et managériale, y compris le ministère de la sécurité intérieure, le ministère de la justice, le FBI et d’autres, ainsi que les entreprises de presse qui se livrent à la diffamation et à la désinformation, est le mot “pathocratie”. Nous empruntons ce terme au psychologue polonais Andrew Lobacweski, qui a documenté la prévalence des narcissiques et des psychopathes aux postes de direction dans les régimes totalitaires.

Capture du vidéo clip de la chanson “Rammstein – Angst” qui semble aborder le sujet à sa façon

Considérons le comportement de l’establishment dominant, qui se présente comme le parangon de la démocratie, de la liberté et des valeurs des Lumières, au cours des sept dernières années.

En 2016, le FBI a ouvert une enquête sur un président nouvellement élu dans le cadre d’une campagne de désinformation visant à persuader les électeurs qu’il était un agent russe. Les gouvernements ont espionné, piégé et diffusé de la désinformation sur les partisans populistes de Trump dans le but de convaincre le public qu’ils étaient violents et extrémistes. Et les médias ont participé activement et volontairement à la diffusion d’informations séditieuses sur un président dûment élu et ses partisans, dans le but de les réduire au silence, de les arrêter, voire de les incarcérer.

Les gouvernements ont ensuite exigé des fermetures à long terme de toute la société, qui ont gravement porté atteinte aux enfants et à d’autres populations vulnérables, et se sont attaqués à des actions pratiques et pragmatiques qui avaient fait leurs preuves. Avec l’encouragement des médias, ils ont privé des centaines de millions de personnes de leur autonomie corporelle pour imposer les vaccins Covid, tout en censurant les récits véridiques d’effets secondaires, les données gênantes sur l’efficacité et les questions valables sur l’origine du virus.

Les gouvernements des États-Unis et de la Grande-Bretagne, et probablement de nombreux autres pays, se sont efforcés de déformer et de dénigrer les médecins, les épidémiologistes et les autres scientifiques qui s’opposaient à divers dogmes, qu’il s’agisse de l’origine probable de la pandémie dans un laboratoire de Wuhan ou de la nécessité de fermer des écoles et d’imposer le port de masques pour les enfants. Le gouvernement du Canada a puni les opposants à ces politiques en gelant leurs comptes bancaires, une tactique totalitaire choquante.

Les armées et les services de renseignement des États-Unis et du Royaume-Uni, directement ou par l’intermédiaire de groupes de façade d’ONG et d’entreprises, ont créé de la désinformation et exigé que les plateformes de médias sociaux suppriment et censurent les voix populistes et nationalistes ou les informations politiquement désavantageuses. Des fonctionnaires du FBI et de la CIA, anciens et actuels, ont diffusé des informations visant à dissimuler les preuves d’un trafic d’influence de haut niveau par la famille proche du candidat présidentiel préféré de l’establishment.

Enfin, au cours des dernières semaines, les mêmes donateurs, partis, groupes et fonctionnaires qui ont supervisé les actions illégales, secrètes et autoritaires de ces sept dernières années ont utilisé des armes, par le biais de la “guerre du droit”, à des postes gouvernementaux qui devraient être non partisans, tels que les cours suprêmes et les secrétaires d’État des États, afin de priver le peuple américain de son droit de voter pour le candidat de son choix.

Qui ? Quand ? Comment ? Pourquoi ?

C’est justement ce qu’on verra dans la suite de cette serie que je vous demande de partager. Je vous avez dit que les Dossiers CTIL sont LE PLUS GROS SCANDALE DE L’HISTOIRE OCCIDENTALE (pour le moment), car grâce à ces dossiers, on apprend tous les mécanismes utilisés pour tuer la liberté d’expression, dans l’objectif d’éliminer nos libertés individuelles. Oui, il y a eu un complot, et aujourd’hui, c’est prouvable.

Un grand merci à l’anonyme qui m’aide avec ce dossier GIGANTESQUE que je vous demande de fouiller de votre côté aussi.

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