16/05/2025 : Une machine de guerre

L’image de l’ensemble devient de plus en plus claire. La machine de guerre est en train d’être exposé. L’actualité absorbe tellement notre attention, que parfois on pourrait passer à côté d’informations importantes et très révélatrices venant du passé.

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Rigolons



Le gouvernement américain serait à l’origine du Covid, selon RFK Jr.

Le Secrétaire à la Santé et aux Services sociaux des États-Unis, Robert F. Kennedy Jr. explique que la recherche sur les gains de fonction s’est révélée être une menace pour l’humanité et que « la recherche des NIH a presque certainement conduit à la pandémie de Covid ».

Cette déclaration ne doit pas être prise à la légère. Les leaders mondiaux regardent. Ils ont de quoi se mettre en colère et demander des comptes aux États-Unis, et cela pourrait lancer une cascade d’événements…


La Directrice du Renseignement américain appelle à l’arrestation de l’ancien directeur du FBI

L’ancien directeur du FBI a brièvement publié cette image sur les réseaux sociaux ce 15 Mai 2025 :

Pour contextualiser, James Comey, né le 14 décembre 1960, a été directeur du FBI de 2013 à 2017, jusqu’à son limogeage par Trump. Il a été impliqué dans des enquêtes majeures, comme celle sur les emails d’Hillary Clinton et les ingérences russes dans l’élection de 2016 (Obamagate), ce qui a fait de lui une figure controversée.

Le numéro 86 est parfois utilisé dans l’argot criminel ou le jargon de certains milieux, notamment aux États-Unis, pour signifier « tuer » ou « se débarrasser de quelqu’un ». Cette signification dérive du terme argotique anglais « eighty-six » (ou « 86 »), qui, à l’origine, était utilisé dans le secteur de la restauration pour indiquer qu’un article était en rupture de stock ou qu’un client devait être expulsé.

En ce qui concerne le numéro 47, il se trouve que Trump est aujourd’hui le 47ᵉ Président américain, donc si on met le 86 à côté du 47, il pourrait s’agir d’un appel pour assassiner Trump, qui viendrait de l’ancien directeur du FBI…

Les réactions ont été immédiates, car l’appel à assassiner Trump n’était pas très discret. Ici, Kash Patel, actuel Directeur du FBI, fait la déclaration suivante : « Nous sommes au courant de la récente publication sur les médias sociaux de l’ancien directeur du FBI, James Comey, à l’encontre du président Trump. Nous sommes en communication avec les services secrets et le directeur Curran. La juridiction principale est avec les Services Secrets sur ces questions et nous, le FBI, fournirons tout le soutien nécessaire. »

Ici, c’est le Général Flynn qui fait un post rempli de sous-entendu :

Le Général Flynn : « Quelqu’un peut-il me dire si @Comey a été arrêté pour avoir appelé à l’assassinat de notre @POTUS @realDonaldTrump
… Je demande pour un ami.

@AGPamBondi
@FBIDirectorKash
@SecretService »


Liz Churchill : « James Comey s’est ouvertement vanté d’avoir piégé le général Michael Flynn dans un echange avec Nicole Wallace en décembre 2018. »

Et ici, une analyse pertinente de Clandestine :

« Le plus fou dans cette histoire de Comey « 86-47 », c’est le timing.

Cela s’est produit alors que Trump conclut des accords de paix au Moyen-Orient et négocie la fin de la guerre en Ukraine.

Ce n’est pas une coïncidence.

L’État profond ne veut PAS que Trump apporte la paix dans le monde. Parce que lorsqu’il le fera, non seulement leurs opérations de blanchiment d’argent seront arrêtées, mais Trump aura l’approbation écrasante du peuple américain. Trump aura des munitions politiques quasi illimitées. Trump aura la possibilité de faire ce qu’il veut.

Une fois que Trump aura mis fin à ces conflits, les acteurs de l’État profond comme Comey seront un peu plus près d’être enfermés, et Comey le sait.

Flashback sur la fameuse première poignée de main entre Trump et Comey en 2017. Comey a couru pour sa vie depuis ce moment. Comey sait qu’il est coupable de TRAASON.« 

L’affaire a explosé sur les réseaux sociaux, rendant la nouvelle inévitable pour la télé :

La directrice du renseignement national américain, Tulsi Gabbard, s’est exprimé également, appelant à l’arrestation de l’ancien directeur du FBI (vidéo mise à jour) :

Une petite remarque a commencé à circuler sur les réseaux sociaux à propos du post de Comey. Apparemment, il y aurait 8647 jours entre le 11 septembre 2001 et le 15 mai 2025, jour du post « 8647 » de James Comey :

Pour finir, il y a 76 occurrences « Comey » dans les drops de Q, dont un qui est assez clair :

Pour en savoir plus sur Q et ses « drops » :

Pilule Rouge – QAnon n’existe pas, Q en revanche…

Affaire à suivre…


Le « blanchiment » d’armes, CIA et terrorisme international

Cette nouvelle date un peu, mais après tout ce qu’on a vu ensemble, cette information qui est passée sous les radars à l’époque (probablement à cause de la crise financière de 2008), trouve toute sa place aujourd’hui. Rappelons-nous ce qui s’est passé en 2008 en Albanie :

L’explosion de Gërdec en 2008 s’est produite le 15 mars 2008 à midi à Gërdec, en Albanie, près de la capitale Tirana. Selon la version officielle, des experts en munitions américains et albanais se préparaient à détruire des munitions obsolètes par une série de petites explosions contrôlées, mais une chaîne d’événements a conduit à l’explosion simultanée de l’ensemble du stock.
Les explosions ont tué 26 personnes et en ont blessé plus de 300. Des centaines de maisons ont été démolies dans un rayon de quelques kilomètres autour du dépôt. Les explosions ont été entendues jusqu’à Skopje, la capitale macédonienne, à 170 km de là.
Les efforts de nettoyage du site ont été achevés par les États-Unis en décembre 2012. Le programme a permis de retirer 3 085 tonnes de munitions non explosées et 146 500 pièces de munitions dangereuses.

Cela dit, quand on creuse un peu plus, on découvre que l’usine qui avait été utilisé pour le reconditionnement de munitions chinoises vieillissantes vendues par l’Albanie à AEY Inc, une entreprise américaine chargée par le Pentagone d’approvisionner l’armée afghane » selon cet article de Reuters :

Cet article du 13 septembre 2008 est intéressant sur plusieurs aspects. Il évoque l’assassinat d’un ancien employé de l’usine, Kosta Trebicka, qui est devenu lanceur d’alerte concernant le trafic d’armes et la corruption gouvernementale. Voici quelques extraits :

« Le gouvernement albanais a déclaré vendredi qu’il enquêtait sur la mort soudaine d’une figure de l’industrie de l’armement qui aidait les procureurs à enquêter sur une vente d’armes aux États-Unis et sur une explosion qui a tué 26 personnes.
Des images télévisées ont montré l’homme d’affaires Kosta Trebicka, la tête couverte de sang, étendu sur le dos sur un chemin de terre dans une région reculée de l’est de l’Albanie, où il était parti chasser. Sa voiture tout-terrain se trouvait à proximité et semblait endommagée.
Trebicka a participé au reconditionnement de munitions chinoises vieillissantes qui étaient vendues depuis l’Albanie à AEY Inc, une entreprise américaine chargée par le Pentagone d’approvisionner l’armée afghane. Il s’est transformé en lanceur d’alerte après que le ministère albanais de la Défense l’a écarté du contrat et a nommé une autre société à sa place. C’est dans l’usine de cette deuxième société, située à Gerdec, près de Tirana, que 26 personnes ont été tuées dans l’explosion d’obus d’artillerie en mars. »

Trebicka devait être le témoin clé de l’enquête albanaise sur cette affaire. Fatmir Mediu, l’ancien ministre albanais de la Défense, a été accusé d’abus de pouvoir dans le cadre de cette tragédie. Il faisait partie des 29 personnes inculpées, mais son affaire a été classée en 2009 en raison de son immunité diplomatique. En 2021, la justice albanaise a décidé de rouvrir le dossier et Mediu est maintenant jugé.

En résumé, les États-Unis avaient un contrat avec une entreprise américaine (AEY Inc), sous contrat avec le Pentagone, pour reconditionner des armes et les envoyer en Afghanistan. Cela dit, selon Trebicka et d’autres rumeurs, cette usine était utilisée, entre autres, pour supprimer le numéro de série des armes, avant leur expédition en Afghanistan, ou ailleurs. Cela veut dire que les armes qui sortaient de cette usine, ne pouvaient plus être tracées. Et qui recevait ces armes en Afghanistan ? Ont-« ils » détruit l’usine pour cacher des preuves ? L’assassinat de ce lanceur d’alerte devrait attirer l’attention de tout le monde, car cette histoire décrit un des outils que la CIA utilise pour « mener ses opérations » secrètes…


Révélations 19 – L’expérience de manipulation des masses menée par Facebook en 2012 et la psychologie des réseaux sociaux