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Révélations 16 – L’impitoyable conspiration monolithique
— A.D.N.M (@adnm_live) February 1, 2025
Dans cet épisode, on continue à explorer le passé, pour essayer de mieux comprendre le présent. En le faisant, on comprend mieux pourquoi JFK parlait d’un complot ancien, monolithique et impitoyable, qui œuvre dans… pic.twitter.com/RR95VPLjiH
Dans cet épisode, on continue à explorer le passé, pour essayer de mieux comprendre le présent. En le faisant, on comprend mieux pourquoi JFK parlait d’un complot ancien, monolithique et impitoyable, qui œuvre dans l’obscurité. Comprendre l’histoire peut être salvateur, car l’humanité semble répéter les mêmes erreurs encore et encore… Alors, que pouvons-nous apprendre de l’histoire ?
L’Édit religieux prussien de 1788
La Déclaration religieuse de 1788 est la déclaration prussienne du droit divin, tout comme la bulle papale de 1302, Unum Sanctam ℹ️ . Ils ont assumé la responsabilité en tant que « souverain » sur les peuples de leur domination. Ce groupe travaillait probablement de concert avec la proclamation Sabbataï Zevi ℹ️ de 1666, car cet Édit est créé dans les 12 ans suivant la fondation par Adam Weishaupt ℹ️ d’une société secrète (Les Illuminati ℹ️ ) le 1er mai 1776.
Maintenant, le moment choisi par rapport à la guerre révolutionnaire américaine ℹ️ en 1776 est incroyable. De plus, cet Édit date également de l’époque où la Couronne a commencé à coloniser l’Australie et la région du Pacifique en 1788 ! Ces dirigeants autoproclamés du monde étaient très occupés.
L’édit porte la date du 9 juillet 1788. Dans l’introduction, Frédéric-Guillaume II expose son objectif :
Bien avant notre accession au trône, nous avions remarqué et constaté combien il deviendrait un jour nécessaire de nous efforcer, à l’exemple de nos prédécesseurs et en particulier de notre défunt grand-père, de maintenir et en partie de rétablir, dans les possessions prussiennes, la foi chrétienne de l’Église protestante, dans sa pureté ancienne et originelle ; de réprimer autant que possible l’infidélité et la superstition, et ainsi également la corruption des vérités fondamentales de la religion chrétienne et la licence des mœurs qui en découle ; et de donner en même temps à nos fidèles sujets la preuve convaincante de ce qu’ils sont en droit d’attendre de nous, en tant que souverain, relativement à leur préoccupation la plus importante, c’est-à-dire la pleine liberté de conscience, leur tranquillité et leur sécurité dans la croyance qu’ils ont adoptée et dans la foi de leurs pères, ainsi qu’en ce qui concerne la protection contre tous ceux qui viendraient troubler leur culte divin et leur constitution religieuse.C’est pourquoi, ayant à présent réglé les affaires les plus urgentes de l’État et établi quelques nouveaux aménagements nécessaires et profitables, nous n’avons pas voulu différer un seul instant l’examen sérieux de cet autre devoir important que notre caractère de souverain nous impose, et nous publions par le présent édit notre volonté immuable à ce sujet.
Cet édit a créé un tel conflit que des pasteurs démissionnaient et qu’il y avait des manifestations publiques ! La guerre opposait ceux qui écrivaient des pamphlets et les médias prussiens. Cela semble familier…
Cependant, les voix éparses des défenseurs du nouvel ordre ne purent apaiser l’inquiétude de ceux qui se sentaient menacés par le nouveau ministre et son édit. Des hommes qui, des décennies durant, avaient occupé de grandes chaires et exercé une influence considérable dans le pays, se retrouvèrent exposés à de mesquines persécutions et à un discrédit immérité. Certains démissionnèrent immédiatement pour éviter de traverser une telle période tout en poursuivant leurs activités d’enseignants ou de prédicateurs. D’autres persistèrent courageusement et défendirent leurs convictions dans des protestations et des pamphlets.
Sur un plan plus élevé que la guerre de pamphlets, dont l’importance principale réside dans la révélation étonnante de l’audace et de l’absence de scrupules de la presse prussienne à la veille de la Révolution, se situe l’opposition formulée contre les mesures de Wöllner par le Consistoire supérieur des Églises luthérienne et catholique. Dans l’élaboration de la nouvelle mesure, ils n’avaient pas été impliqués ; mais ils ne voulaient pas laisser passer l’occasion sans faire un effort conscient pour la modifier et préserver ce qu’ils estimaient plus important que les confessions ou les doctrines : la liberté de pensée et la recherche érudite de la vérité, ainsi que le droit proprement protestant de chacun d’accepter les Écritures comme norme de sa foi et de les interpréter selon sa propre compréhension.
Cet édit vient d’une position de connaissance. Il savait exactement ce qu’il disait et les ‘sujets’ n’allaient pas avoir voix au chapitre. C’était le moment précis où les « enseignements de l’homme » portaient la même autorité que la Bible ; spécifiquement, le Nouveau Testament ℹ️ . Rappelez-vous que les anciens pharisiens avaient ‘enfermé’ l’Ancien Testament ℹ️ de la même manière. L’enseignement de Jésus était dangereux parce qu’il ne se plaçait pas sous l’autorité (ou le joug) d’un quelconque enseignant ‘oint’. L’État profond devait soumettre l’enseignement du Christ à son autorité de la même manière. La pensée libre, en dehors du récit de l’establishment, ne sera pas tolérée.
[…] Néanmoins, la réprimande fut exprimée. On dit clairement au Consistoire que, s’il avait fait son devoir, il n’y aurait pas eu à traiter une telle situation religieuse. Le Consistoire avait perdu son combat pour le véritable luthéranisme. Les confessions de foi des siècles précédents étaient désormais, en vertu de la loi, placées sur le même plan que les Écritures — ou, plutôt, elles les remplaçaient, car c’était la Bible telle qu’elle était présentée dans ces confessions qui devait dorénavant être enseignée. Toutefois, ils avaient la satisfaction d’avoir agi selon ce qu’ils considéraient juste. « Nous avons fait ce que nous jugions approprié et ce qui relevait de notre devoir. Désormais, nous pouvons et devons garder le silence. »⁽²⁰⁾
Une seule chose fut néanmoins accomplie à l’insu de Wöllner. Grâce à leurs démarches auprès du chancelier Carmer, le roi fut amené à publier, le 10 décembre 1788, une sorte de déclaration supplémentaire, expliquant que l’édit n’était qu’une loi de police ecclésiastique et qu’il n’avait pas l’intention de placer les confessions de foi de l’Église au même niveau d’autorité que les Écritures. Ce ne fut toutefois qu’une victoire illusoire, car le roi, lorsque des poursuites furent engagées en vertu de l’édit, insista sur le fait qu’il s’agissait d’une loi d’État ayant force obligatoire. En effet, Frédéric-Guillaume II, durant les quatre années suivantes, dans ses efforts pour clarifier ses intentions au moment de la promulgation de l’édit et pour se défendre des implications, à ses yeux, inattendues de ce décret, semblait lutter en vain, pris au piège d’un « Frankenstein juridique » de sa propre création.
La machine de censure de l’époque est passée à la vitesse supérieure :
La question de la presse a, dans l’ensemble, semblé la plus importante et fera l’objet d’un examen plus approfondi par la suite. Il suffit pour l’instant de rappeler que, si la censure de la presse n’était pas inconnue d’une Prusse qui venait tout juste de sortir de l’absolutisme de Frédéric le Grand, la censure pratiquée par Frédéric, dont l’intérêt principal était de détourner les débats des sujets politiques, n’était pas, dans son esprit et son intention, celle de Wöllner. Par l’action de personnages tels que Hermes et Hillmer, celle-ci s’ingérait dans l’impression de livres et de brochures en théologie et en philosophie — domaines de pensée chers aux penseurs et écrivains allemands — deux groupes qui ne se recoupent pas entièrement, comme on peut le constater en se plongeant dans la littérature pamphlétaire de l’époque.
À la suite de ce renforcement de la censure de la presse, le public allemand vit le grand organe de l’Aufklärung, l’Allgemeine Deutsche Bibliothek de Nicolai, contraint de déménager à Hambourg sous l’effet de l’intervention de Wöllner, jusque-là l’un de ses principaux collaborateurs. Les éditeurs et auteurs locaux étaient contrariés et exaspérés par la méthode et l’état d’esprit dans lesquels les manuscrits étaient examinés, « corrigés au crayon bleu » et même réécrits par les censeurs. Les libraires qui se fournissaient sur les grands marchés comme Leipzig voyaient leurs cargaisons contrôlées à la recherche d’ouvrages interdits. Les enseignants, les prédicateurs et les facultés universitaires étaient espionnés, et l’on n’obtenait pas tant leur silence par des poursuites menées à terme que par la simple menace d’une ingérence gouvernementale. De ces poursuites […]
Incroyablement, Frédéric-Guillaume III ℹ️ a vaincu cette idéologie dogmatique, à son époque. Je soupçonne que les « marionnetistes » avaient compris comment ils avaient échoué et ils sont passés à l’esclavage par la dette pour créer plus de distractions vis-à-vis de ces “maudits libres-penseurs”. Son plan : adopter la méthode socratique (Maïeutique ℹ️) du questionnement continu et cesser de s’inquiéter !
À l’époque de [Münchhausen ℹ️ ], il n’y avait pas d’Édit religieux, mais davantage de religion et moins d’hypocrisie qu’aujourd’hui, et le Département religieux jouissait d’un plus grand prestige aux yeux des Allemands et des étrangers. Pour ma part, je révère la religion et obéis scrupuleusement à ses préceptes bienfaisants, et pour rien au monde je ne souhaiterais gouverner un peuple qui n’aurait pas de religion. Mais je sais aussi qu’elle est, et doit rester, une affaire du cœur, des sentiments et de la conviction individuelle ; qu’elle ne doit pas être rabaissée à un simulacre insensé sous l’effet d’une contrainte méthodique, si l’on veut qu’elle favorise la vertu et la droiture.
La raison et la philosophie doivent en être les compagnes inséparables ; ainsi, elle subsistera d’elle-même, sans nécessiter l’autorité de ceux qui prétendraient imposer leurs croyances aux époques à venir et dicter aux générations futures la manière dont elles devraient toujours penser. Si, dans l’exercice de vos fonctions, vous agissez selon les véritables principes luthériens, qui sont en totale harmonie avec l’esprit et les enseignements de leur fondateur, si vous veillez à ce que les chaires et les postes d’enseignants soient confiés à des hommes intègres et compétents, progressant selon les connaissances de leur temps, notamment en matière d’exégèse, sans se laisser enfermer dans des subtilités dogmatiques, vous verrez bientôt qu’il n’est besoin ni de lois obligatoires ni d’admonestations pour maintenir la véritable religion dans le pays et en étendre l’influence bienfaisante sur le bonheur et la moralité de toutes les classes.
La Prusse semble être davantage un concept/une idéologie qu’un État. Au départ, la Prusse était une zone occupée par des tribus païennes endurcies. Les Chevaliers Teutoniques furent invités à “les apprivoiser”. Cela a pris plus de 60 ans, mais finalement “l’ordre” a été établi à partir du “chaos”. Les Hohenzollern n’ont pas régné sur la Prusse immédiatement, mais ils ont réussi à survivre et à se maintenir en bonne place dans les rangs de l’Empire de Charlemagne (Saint Empire romain ℹ️ ). Cette méthode familiale de gouvernement impliquait une expansion principalement par acquisition et traité ; écraser les patriotes et la noblesse en devenir (qui était essentiellement la classe moyenne de l’époque) au sein de leurs terres pour éviter les soulèvements. L’Ordre Teutonique s’est retrouvé à court d’argent et a cédé son droit de régner sur les terres prussiennes aux Hohenzollern. Cela a entraîné une fusion de l’Ordre des Chevaliers Teutoniques ℹ️ (pensez Templiers ℹ️ ) et de l’idéologie Hohenzollern d’“expansion par acquisition”. L’idéologie Hohenzollern a alors bénéficié d’une armée fondée sur l’ordre teutonique.
Ces deux Ordres visaient à apprivoiser et écraser la dissidence de l’intérieur. Comment cela est-il le mieux réalisé ? En enrôlant sa propre population et en créant une armée professionnelle permanente. C’était quelque chose que d’autres dirigeants ne pouvaient pas se permettre. Toute dissidence interne serait écrasée & punie. C’est cela l’idée de la Prusse et c’est précisément pourquoi ils ont été qualifiés de “non pas un État doté d’une armée, mais une armée qui contrôle des États”.
Les schémas d’aujourd’hui sont identiques. L’utilisation de la propagande a créé une population qui s’incline devant l’ennemi invisible qui les asservit. En effet, beaucoup souhaitent être “davantage gouvernés” et se moquent de quiconque suggère qu’un ennemi invisible existe même.
L’évolution de la Prusse n’aurait jamais porté sur l’Allemagne elle-même, mais sur la construction d’une base solide à partir de laquelle dominer le monde. Cela expliquerait les Jésuites, l’illuminati de Bavière, la banque, les sociétés, la religion organisée et la gouvernance mondiale telles que l’ONU ℹ️ , l’OMS ℹ️ et la Banque mondiale ℹ️ .
Le schéma est cohérent : l’ennemi invisible est effectivement vaincu aux yeux du public, afin de devenir invisible. Bien qu’il y ait de nombreuses ramifications et d’autres détails, voici un résumé de la prise de contrôle de l’humanité par l’ennemi invisible :
- Perse perd face à la Grèce.
- La Grèce face à Rome
- Rome face à Charlemagne (Saint Empire romain (SER ℹ️))
- Le SER aux Hohenzollern / Prusse
- La Prusse à l’Allemagne
- L’Allemagne aux sociétés internationales / USA / Couronne / Système bancaire de la Réserve fédérale ℹ️
Comme exemple plus récent, regardez la défaite de l’Allemagne par les États-Unis dans les années 1940. Regardez la folie de la décision d’Hitler de faire la guerre.
La déclaration accusait les États-Unis d’« actes de guerre manifestes contre l’Allemagne » et déclarait donc « qu’au vu de ces circonstances provoquées par le Président Roosevelt, l’Allemagne se considère elle aussi en état de guerre avec les États-Unis à compter d’aujourd’hui ».
La réaction américaine fut rapide. Ce jour-là, le Congrès des États-Unis déclara la guerre à l’Allemagne à la demande du Président Roosevelt, qui déclara : « Jamais auparavant nous n’avions été confrontés à un défi aussi grand pour la vie, la liberté et la civilisation. »
Roosevelt, en tant que commandant en chef des États-Unis, orienta alors près de 90 % des ressources militaires américaines vers la défaite d’Hitler, et non contre le Japon. En conséquence, la puissance de la plus grande nation industrielle au monde fut tournée contre l’Allemagne nazie.
Pour Hitler, déclarer la guerre à l’Amérique allait s’avérer sa plus grosse erreur politique de la guerre — une bévue véritablement fatale. D’un simple trait de plume, il avait considérablement diminué les chances de survie de l’Allemagne nazie. Le Führer devait désormais faire face à trois adversaires majeurs — l’Amérique, la Grande-Bretagne et la Russie — dont le réservoir combiné de main-d’œuvre et la capacité de production de guerre totale dépassaient de loin ceux de l’Allemagne nazie, à un moment où l’Allemagne avait déjà perdu le quart de ses troupes et des milliers de chars et d’avions sur le front russe.
Pis encore, Hitler avait imprudemment rejoint le Japon dans sa guerre contre l’Amérique, sans obtenir absolument aucune garantie des Japonais qu’ils l’aideraient dans sa guerre contre la Russie. Et ils ne l’ont pas fait. Cela permit aux Russes de transférer 30 divisions sibériennes très bien entraînées, depuis les régions du sud-est de la Russie menacées par le Japon, jusqu’à l’autre extrémité du pays, où elles anéantirent les Allemands en détresse aux portes de Moscou.
Pour Adolf Hitler, toutefois, les conséquences du 11 décembre n’étaient pas immédiatement évidentes. À ce stade, le Führer ne voyait plus que ce qu’il souhaitait voir — il concevait la réalité de façon à l’adapter à sa propre version des faits, sa propre vérité.
Il semble que les États-Unis aient été victorieux, mais l’infiltration requise avait eu lieu des décennies plus tôt. En réalité, l’ennemi imprimait déjà l’argent des américains ! L’ennemi invisible avait planifié cela bien avant. Le peuple de la nation victorieuse a célébré et est devenu volontairement conforme à son État, sans se rendre compte qu’il donnait du pouvoir à l’ennemi invisible, qui venait de l’infiltrer et le détruirait à un moment donné dans le futur.
Ce même schéma s’est produit lors de la guerre d’Indépendance de 1776, où la ‘Couronne’ semblait avoir été vaincue. Les citoyens pensent en termes de nations, mais les Prussiens sont une armée sans nation. La main invisible reviendrait peu de temps après la bataille de Waterloo ℹ️ , déguisée en Banque d’Angleterre ℹ️ et en Rothschild ℹ️ , les plaçant en esclavage par la dette.
Spirituellement, ce règne tyrannique a servi plusieurs objectifs :
- Écraser la capacité créatrice de l’âme humaine avec la capacité créative, afin de tester à quel point les humains désirent vraiment avoir un libre arbitre ;
- Créer un régime hautement discipliné, essentiel à la survie humaine durant une période de basse fréquence, dominée par la peur, sur Terre ;
- Nous former à expérimenter la dualité (le bien et le mal) et l’amour conditionnel, afin que l’expérience de l’amour inconditionnel ait une couleur et un contexte plus riches ;
- Offrir un exercice à notre libre arbitre pour choisir la paix et l’amour plutôt que le mal ;
- Apprendre ce qu’est un règne tyrannique, afin que nous apprenions à être des dirigeants qui dirigent avec sagesse et compassion.
Une fois que nous réalisons la présence de cette vieille garde, elle doit être mise de côté. Vivre avec elle reviendrait à prendre parti pour l’agenda du mal. Conscients, nous ne pouvons pas vivre avec le mal une fois qu’il est manifeste dans notre conscience. C’est pourquoi il est raisonnable de suggérer que le véritable péché que commettent les humains est l’inconscience.