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Révélations 21 – Le regard d'Énoch sur l'histoire de David change tout
— A.D.N.M (@adnm_live) July 18, 2025
Article : https://t.co/J95QPKpINt pic.twitter.com/yNKXOmCDGw
Il était une fois, le Roi David, qui était mis Roi par Dieu lui-même, mais l’Ancien Testament nous dit que David a fait tuer un de ces militaires, pour lui piquer la femme. Cette union malsaine donna naissance à Salomon, un Roi juste et sage selon la Bible, mais un Roi qui a chuté à cause de son désir incontrôlable pour les femmes. Cette faiblesse l’a conduit à construire des idoles pour d’autres dieux, comme Moloch…

Ce paragraphe contient en lui une gigantesque quantité d’informations qui décrivent, avec une rare précision, ce que nous vivons aujourd’hui. Tout est là, mais tout est expliqué dans un langage vivant, qui a de nombreuses couches de lecture. Cette fois, nous allons survoler quelques sujets qui serviront de liens entre cette série Révélations qui s’achève avec cet épisode. Même si on a commencé avec des histoires de l’Ancien Testament, on parle toujours de la même chose qu’au tout premier épisode, c’est-à-dire, un certain complot contre l’humanité. Cela dit, ce ne sera pas la fin de ces sujets, mais le début de l’exploration depuis un point de vue totalement nouveau. Cet épisode est en même temps, le premier d’une nouvelle série, Révélations Y, d’où le logo Y-files dans l’émission.
Allons donc survoler ces sujets abordés dans les récits bibliques sur David et Salomon, mais d’abord, nous devons donner la clé qui nous est donnée par Énoch, le premier à s’être levé après la chute.
Énoch, la clé de toutes les portes

Récemment, on avait parlé d’Énoch et de son importance sur les textes bibliques.
Énoch apparait dans la Bible plusieurs fois, dans l’ancien, mais aussi dans le Nouveau Testament, et pourtant, son livre a été rejeté de la Bible. On doit se poser la question « POURQUOI » le livre du plus aimé de Dieu et du premier qui n’a pas connu la mort n’est pas dans le canon des religions abrahamiques ? Les raisons sont nombreuses, mais en peu de mots, le livre d’Énoch contient des détails sur les forces qui dominent ce monde, et les expose. Évidemment, cela pose un problème à ces forces obscures qui veulent rester cachées, et qui ont tout fait pour faire disparaitre ou décrédibiliser les écrits d’Énoch, sans succès…
Selon le Livre d’Hénoch (notamment le Livre des Veilleurs), un groupe d’anges appelés « les Veilleurs » descendirent sur la terre et prirent des femmes humaines pour épouses. De leur union naquirent des géants appelés les Néphilim, qui semèrent la violence sur la terre. Ces anges enseignèrent aussi aux humains des savoirs interdits (magie, métallurgie, cosmétiques, etc.), corrompant ainsi la création. Dieu, en colère, ordonna l’emprisonnement éternel de ces anges déchus dans les ténèbres et annonça un jugement. En attendant leur jugement, les Veilleurs (ou anges déchus) sont retenus sur la terre ou dans des lieux souterrains. Hénoch, homme juste et prophète, fut chargé d’annoncer ce verdict aux Veilleurs avant d’être lui-même enlevé au ciel sans mourir.

Cette histoire parle de ce qui se passe avec l’humanité jusqu’à aujourd’hui. La clé vient dans la compréhension de certains mots.
Ange

Définition : Le mot ange vient du grec « angelos » (ἄγγελος), qui signifie « messager ».
Dans un contexte biblique : Un ange est un être spirituel créé par Dieu pour exécuter Sa volonté. Les anges peuvent :
- transmettre des messages divins
- protéger ou guider les humains
- exécuter des jugements
- adorer Dieu dans les cieux
Les anges ne sont pas humains, mais peuvent apparaître sous forme humaine dans certains récits.

Si l’on prend en compte ces éléments, on pourrait dire que le Roi est un ange, non pas un roi en particulier, mais le principe Royal. Le Roi est censé être celui qui dirige un royaume. L’archétype divin du Roi, c’est Melchisédech, c’est-à-dire le Roi qui est Juste, et cette justice apporte la Paix. Il n’y a pas de Paix sans justice, donc lu principe le plus haut qui est censé être incarné par un Roi, c’est d’être juste et porteur de justice.
Genèse 14:18-20
18 Melchisédek, roi de Salem, fit apporter du pain et du vin : il était sacrificateur du Dieu Très-Haut.
19 Il bénit Abram, et dit : « Béni soit Abram par le Dieu Très-Haut, maître du ciel et de la terre !
20 Béni soit le Dieu Très-Haut, qui a livré tes ennemis entre tes mains ! » Et Abram lui donna la dîme de tout.
Donc, conclusion, un Roi était un envoyé de Dieu qui transmettait des messages divins, il était censé guider et protéger son royaume, gérer des jugements, et faire tout ceci selon les lois naturelles créées par Dieu, et en conséquence, « adorer Dieu ». Un Roi a toutes les caractéristiques d’un Ange. Aux yeux des anciens, un Roi était un être divin, un « Ange »…
On trouve des éléments qui vont dans ce sens dans l’histoire. Vous vous rappelez des Pharaons ? Ils étaient un mélange entre Roi et Dieu. Les hébreux de l’époque te diraient que les Pharaons incarnaient le principe divin de Melchisédek, le Roi de rois.
Femme


Dieu créa Adam et Eve. Moïse (qui citait Énoch dans la Genèse) ne disait pas que Dieu créa un homme et une femme, mais le principe masculin et le principe féminin, la graine et le terrain fertile, l’idée et l’accomplissement, l’esprit et le corps… En hébreux, Adam veut dire Homme et Eve veut dire Vie, donc dieu ne créa pas un homme et une femme, mais l’Homme et la Vie, deux principes divins incarnés en chacun de nous, indépendamment de notre sexe, qui n’est qu’une manifestation physique de ces deux principes naturels, donc divins.
Eve est aussi « la Mère de tous les vivants » : « Adam donna à sa femme le nom d’Ève : car elle a été la mère de tous les vivants. » – Genèse 3:20
Aux yeux des anciens, une femme était sacrée, car c’est elle qui porte l’enfant et donne naissance. Pour cela, le principe féminin incarnait le principe qui donne corps au potentiel créateur des pensées. On parle donc des actes. Le principe féminin se manifeste dans notre corps physique (ou « corps agissant » comme disaient à l’époque), et concrètement, représente « le potentiel » de création dans le monde réel, le potentiel d’une descendance… des œuvres…
Maintenant qu’on a ces clés de compréhension au niveau des mots, revenons au tout début, dans l’histoire de David et de Salomon.
David

Il est écrit que David est tombé amoureux de la femme d’un de ses militaires, et cette histoire provoquera sa chute :
2 Samuel 11 – Le péché de David
🔹 2 Samuel 11:1-5 — David voit Bath-Chéba et couche avec elle
David aperçoit une femme très belle en train de se baigner. Il apprend qu’elle s’appelle Bath-Chéba, femme de Urie le Hittite. Il la fait venir, couche avec elle, et elle tombe enceinte.
🔹 2 Samuel 11:6-13 — David essaie de couvrir sa faute
David rappelle Urie de la guerre, espérant qu’il ira chez lui dormir avec sa femme. Mais Urie refuse, par solidarité avec les autres soldats restés sur le champ de bataille.
🔹 2 Samuel 11:14-17 — David organise la mort d’Urie
David écrit une lettre à Joab (le chef de l’armée), demandant qu’Urie soit mis au plus fort du combat et abandonné pour qu’il meure. C’est ce qui arrive.
🔹 2 Samuel 11:26-27 — Bath-Chéba devient la femme de David
Après la mort d’Urie, David prend Bath-Chéba pour épouse. Mais « ce que David avait fait déplut à l’Éternel ».
Quelques précisions ici :
Le nom David (en hébreu : דָּוִד, Dāwīḏ) signifie :
- « Bien-aimé » ou « Aimé »
- Le mot דוד (dôd) en hébreu biblique peut désigner un ami intime, un amant ou un bien-aimé.
- Le nom David (דָּוִד) est une forme dérivée, probablement signifiant « celui qui est aimé » ou « le favori ».
Le nom Bath-Chéba (ou Bathsheba en anglais) vient de l’hébreu בַּת־שֶׁבַע (Bat-Shevaʿ) et signifie :
- « Fille du serment » ou « Fille de l’alliance »
- בַּת (Bat) : signifie fille.
- שֶׁבַע (Sheva) : peut signifier soit :
- le chiffre sept (symbole de plénitude ou perfection),
- soit un serment (car en hébreu biblique, « jurer » se dit littéralement « faire sept », car le sept est associé à la complétude divine).
- Donc Bat-Shevaʿ signifie : « Fille du serment » ou « Fille de la plénitude » / « Fille du sept »
Le nom Urie (en hébreu : אוּרִיָּה, Uriyah ou Uriyyah) signifie littéralement :
- « L’Éternel est ma lumière » ou « Lumière de Yahweh »
- אוּר (’ur) : signifie lumière, flamme, ou parfois feu.
- יָה (Yah) : est une forme abrégée du nom YHWH (Yahweh), le nom de Dieu dans la Bible hébraïque.
- Donc : אוּרִיָּה = Ur + Yah = “Ma lumière est Yahweh” ou “Lumière de l’Éternel”
C’est très ironique dans le récit biblique : Urie, dont le nom proclame une fidélité à Dieu, meurt injustement à cause de l’infidélité de David — un homme selon le cœur de Dieu, mais qui s’est laissé emporter par le péché. N’y a-t-il pas un arrière-gout « d’Abel et Caïn » dans cette histoire ?
Le mot « Hittite » (en hébreu : חִתִּי Ḥittî) désigne une appartenance ethnique ou géographique.
…et dans le contexte biblique, cela a plusieurs couches de sens.
Qui étaient les Hittites ?
- Les Hittites étaient un ancien peuple d’Asie Mineure (actuelle Turquie), qui forma un grand empire entre le 17e et le 12e siècle av. J.-C.
- Ce grand empire s’est ensuite fragmenté, mais des groupes hittites ou « néo-hittites » ont continué à vivre au Levant (Syrie, Canaan, etc.) au temps de l’Ancien Testament.
Urie est dit « le Hittite », ce qui montre qu’il n’est pas d’origine israélite, mais étranger. Pourtant, il sert fidèlement dans l’armée de David, ce qui montre une intégration loyale dans le peuple d’Israël. Cela rend l’attitude de David encore plus injuste : il trahit un étranger qui lui est fidèle, contrairement à des Israélites parfois corrompus.
Ce ne sont là que quelques éléments qui nous permettent d’explorer cette histoire en se basant sur ce qu’elle dit, pas sur les dogmes qui l’entourent. Alors Revoyons l’histoire de David avec ces précisions en plus. Les mots changent, et les mots comptent !
Le Bien-Aimé (David) de Dieu, voulait l’alliance (est tombé amoureux de Bath-Chéba) avec la lumière divine (Urie) mais qui n’était pas la sienne (Bath-Chéba était la femme de Urie)… Il a malgré tout couché avec cette femme, trahissant son serviteur Urie (donc trahissant la lumière divine). De cet acte impie, la femme tomba enceinte. David tua « la lumière divine » (Urie) pour cacher sa trahison.
Le premier enfant de David et Bath-Chéba, conçu dans l’adultère, meurt peu après sa naissance, et sa mort est décrite comme un jugement de Dieu. On peut traduire ça par un échec dans les ambitions initiales de David. Ensuite, il s’est « approprié » l’alliance (épouser Bath-Chéba) mais sans la « lumière divine » (Urie). Après cette « alliance forcée » sans lumière divine, ils eurent un enfant qu’ils nommèrent Salomon, qui veut dire Paix, mais c’est une Paix sans lumière divine… la paix par obligation… L’ancêtre de « Pax Romana »…
Une autre vision de l’histoire biblique

Nous voyons ici une autre façon de voir la chute de l’humanité, avec un exemple concret, donné dans l’histoire de David. Il était roi, donc un ange, et il est tombé amoureux d’une femme humaine qui appartenait à un de ses serviteurs. C’est l’histoire de la chute des anges racontée par Énoch. Dans ce cas précis, il s’agit de la corruption du principe royal, qui au lieu d’être au service de son royaume, il voit ce dernier comme une vache à traire pour ses propres désirs. Le Roi ne se préoccupait plus de la Paix et le bien-être de son peuple. Sa priorité était son ambition personnelle, guidée par ses désirs personnels.
Cette approche clarifie encore plus le message de Dieu à David, qui lui avait été donné par Nathan à travers une parabole.
2 Samuel 12:1–7 – La parabole de Nathan
L’Éternel envoya Nathan vers David. Et Nathan vint à lui, et lui dit :
Il y avait dans une ville deux hommes, l’un riche et l’autre pauvre.
Le riche avait des brebis et des bœufs en très grand nombre.
Le pauvre n’avait rien du tout, qu’une seule petite brebis qu’il avait achetée.
Il la nourrissait, et elle grandissait chez lui avec ses enfants ;
elle mangeait de son pain, buvait de sa coupe, et dormait sur son sein ;
elle était pour lui comme une fille.
Un voyageur arriva chez l’homme riche.
Et le riche n’a pas voulu toucher à ses propres brebis ou à ses bœufs,
pour préparer un repas au voyageur venu chez lui ;
il a pris la brebis du pauvre, et l’a apprêtée pour l’homme arrivé chez lui.
La colère de David s’enflamma violemment contre cet homme, et il dit à Nathan :
« L’Éternel est vivant ! L’homme qui a fait cela mérite la mort. »
« Et il rendra quatre brebis, pour avoir commis cette action et n’avoir pas eu de pitié. »
Et Nathan dit à David : « Tu es cet homme-là ! »
Salomon, un Néphilim ?
Mais Énoch nous dit que l’accouplement des anges avec des femmes humaines « donna naissance à des géants, appelés les Néphilim, qui semèrent la violence sur la terre. Ces anges enseignèrent aussi aux humains des savoirs interdits (magie, métallurgie, cosmétiques, etc.), corrompant ainsi la création. «
Salomon est le fruit d’une alliance corrompue, ou un roi tue la lumière divine, et vole des pouvoirs divins pour son propre intérêt.
Le Temple de Salomon est, dans la Bible, un lieu d’une importance spirituelle majeure. Des textes comme 1 Rois 8 (la prière de dédicace) soulignent que Salomon était conscient du lien entre le ciel et la terre, et que Dieu y fait résider son nom. Dans la mystique juive, notamment la Kabbale et la tradition des noms divins, cette notion du « Nom » (le Shem) est cruciale pour manipuler des puissances spirituelles (savoir interdit). Connaître le nom d’un ange veut dire connaitre les lois, forces et mécanismes d’un principe. Par exemple, on a commencé à explorer et utiliser l’électricité, à partir du moment où on a donné un nom au phénomène.
De plus, la renommée de Salomon était « planétaire », ce qui lui donne un corps spirituel « gigantesque ». La taille de ton corps spirituel dans ce cas, est défini par le nombre de personnes qui connaissent ton nom. Cela est dû au fait qu’en connaissant ton nom, l’autre te fait une petite place dans son esprit, et tu existes quelque part là-dedans aussi. De cette façon, ton être dépasse les limites de ton corps, et existe aussi ailleurs, dans les pensées d’autres personnes…
1 Rois 4:30–31 (Louis Segond) :
« La sagesse de Salomon surpassait la sagesse de tous les fils de l’Orient et toute la sagesse des Égyptiens. »
« Il était plus sage qu’aucun homme […] et sa renommée s’étendait parmi toutes les nations d’alentour. »1 Rois 10:23–24 :
« Le roi Salomon fut plus grand que tous les rois de la terre par les richesses et par la sagesse. »
« Toute la terre cherchait à voir Salomon pour entendre la sagesse que Dieu avait mise dans son cœur. »
Et on ne parle même pas du Testament de Salomon, un apocryphe rejeté par le canon, tout comme le livre d’Énoch. Ce testament donne une autre vision de qui était Salomon, contenant beaucoup plus de détails sur ses ambitions et ses alliances, décrivent encore mieux la nature « néphilimésque » de Salomon.
Salomon et le complot de la Bête

Quel rapport entre cette série Révélations qui parle de complot, et cet épisode qui parle de la Bible ? C’est parce que :
1 Rois 10:14 – « Le poids de l’or qui arrivait à Salomon chaque année était de six cent soixante-six talents d’or. »
Et :
Apocalypse 13:18 – « C’est ici la sagesse. Que celui qui a de l’intelligence calcule le nombre de la bête. Car c’est un nombre d’homme, et son nombre est six cent soixante-six. »
Il faut ajouter à tout ceci, le fait que dans cette série, on a parlé des ordres chevaleresques et de leur pouvoir incompréhensible. Ces ordres avaient été formés par une institution religieuse pour aller fouiller… le temple de Salomon. Ils savaient très bien ce qu’ils cherchaient, et ils le trouvèrent… C’était l’or de Salomon. Cet or n’était pas un or physique, mais une connaissance mystique qui débloque des pouvoirs divins, qui permettent de gagner autorité et pouvoir.
À partir de là, il y a eu une séparation claire entre l’église de l’Est et l’église de l’Ouest. On a commencé à voir des « croisades » pour tuer les « infidèles » ou les « hérétiques », menés par des militaires qui « tuaient au nom du Christ »… une abomination sans nom… On a commencé à voir des rituels de magie noire comme Unam Sanctam, qui créera l’illusion que l’humain appartient au Pape, ce qui posa le cadre pour les certificats de naissance, car « naitre ne suffisait plus pour exister »… Dans les cercles chevaleresques, on a aussi vu la naissance de l’argent papier, qui représentait une reconnaissance de dette, ce qui a posé les bases du système monétaire d’aujourd’hui, l’argent dette.
Tu peux mettre un bouclier rouge au-dessus de ma tête pour cacher le soleil. Tu me mettras à l’ombre, certes, mais il ne fera pas nuit pour autant…
Un autre détail qui pourrait expliquer des choses, est le fait que l’église de l’est est aujourd’hui majoritairement incarnée par l’orthodoxie de l’Europe de l’Est et de la Russie, et de l’autre côté, l’église de l’ouest a fini par donner naissance à « l’Empire Occidental ».
Conclusion

Tout ceci peut paraitre hors sujet par rapport à ce qui se passe aujourd’hui, mais en réalité, pas vraiment. Ce soir, nous avons vu une histoire biblique sous une approche totalement différente, bien plus « réaliste » et beaucoup moins « mythique », qui parle de corruption des autorités qui abusent des peuples, ce qui créé la destruction et la mort. Cela ressemble à une description parfaite du monde aujourd’hui.
Il y a un lien entre Salomon, et les forces qui dominent le monde aujourd’hui. Ce lien se trouve dans les institutions religieuses (pas les croyants, du moins pas tous, et pas consciemment) qui ont créé des dogmes autour des textes anciens (en choisissant certains et en excluant d’autres) afin de cacher leur véritable sens. Nous vivons aujourd’hui la fin d’une histoire qui a commencé il y a des milliers d’années.
Observer l’actualité seul ne suffit pas pour comprendre quoi que ce soit dans le monde aujourd’hui. Explorer l’histoire n’aide pas non plus, car il y a autant de versions de l’histoire qu’il y a de gagnants de guerres du passé. Aujourd’hui, on se trouve dans une situation où l’église de l’Est (dernier bastion, la Russie) et l’église de l’Ouest (Occident, OTAN) sont dans un contexte très délicat, et nous sommes entourés de pièges de toutes sortes.
Une version de l’actualité te dit que Trump va résoudre tous les problèmes du monde et qu’il sera porteur de Paix, alors que la version Biblique te dit que le véritable travail doit se faire à l’intérieur. Les deux ne sont pas incompatibles ensemble, à condition qu’on prenne le temps de faire le travail intérieur, autrement, on sera toujours dépendants des autorités extérieures (sauveurs extérieurs) qui prendront inévitablement le contrôle de nos vies. Les textes anciens nous donnent des clés pour ouvrir les portes de nos prisons et celles des autres. Leur exploration ne devrait plus être dans le domaine de la curiosité, mais de la nécessité.
