06/02/2024 : Februare

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Nous avons notre propre tchat

Affin d’éviter la toxicité des réseaux sociaux, j’ai mis en place notre propre tchat, pour lequel j’ai mis en place des outils pour nous protéger des bots, et rendre la vie des « trolls professionnels » compliquée. La modération est assurée par ceux qui géraient le tchat Telegram (Loulou et Neoneo), mais aussi, par tous les utilisateurs du tchat, qui peuvent signaler l’arrivée des trolls.


Rigolons


Les « mèmes » pas drôles

Dans le tas, il y en a qui ne sont pas drôles, voire manipulateurs, car trop ambigus. Voici un bon exemple.

Dans le contexte actuel, ce mème n’est pas drôle. Si quelqu’un demande l’origine des fruits et légumes, c’est pour soutenir l’agriculture et la production locale. Ce mème dégrade (involontairement ou pas) l’image de celui qui questionne l’origine. Cela dit, le vendeur de légumes qui donne cette réponse pas très drôle justement, il a l’air bien dégueu et infréquentable, donc… Les deux camps sont attaqués au final, mais l’interprétation dépend de vos croyances, et ce mème a tendance à nourrir les deux. Maintenant que c’est plus clair, on peut dire qu’il faut TOUJOURS vous renseigner sur l’origine de ce que vous consommez, et préférer consommer dans l’ordre suivant :

  1. Local
  2. Régional
  3. National
  4. Continental
  5. International

Les raisons de cet ordre sont nombreuses (écologie, adaptation de nos corps) mais dans le contexte actuel, il est important de soutenir la production locale, car nous en sommes totalement dépendants. C’est le seul qui peut nous nourrir en cas d’effondrement politique, économique, ou carrément, civilisationnel. Et il faut toujours essayer de consommer de la nourriture « saisonnière ». Les besoins de nos corps ne sont pas les mêmes en été ou en hiver. La nature a donc prévu des fruits et légumes différentes selon les saisons, auxquels nos corps sont adaptés.

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Le JTI, et les secrets du « Code de Bonnes Pratiques »

Intro

L’Union Européenne est devenue le bras de l’état profond globaliste, qui se cache derrière une fausse bienveillance. Le Parlement Européen est composé d’un ensemble de marionnettes, d’une institution dirigée par des non-élus. Je choisis volontairement ses mots qui peuvent choquer certains, mais malheureusement, ce que je dis est vrai, et si vous restez jusqu’à la fin de cette partie, vous comprendrez beaucoup mieux pourquoi.

Dans cette émission, on se concentre sur certaines ficelles qui se trouvent entre les « marionnettes » et les « marionnettistes », et vous verrez que la notion de « démocratie » n’est plus qu’une ombre du passé au niveau de l’UE. Outre le fait que le lien entre peuples et dirigeants élus démocratiquement est coupé au niveau européen, ces derniers contrôlent les choix des états membres, et parfois vont beaucoup trop loin… comme on vient de voir avec Emmanuel Macron, qui propose l’arsenal nucléaire français, pour défendre les intérêts de l’Europe.

Donc l’UE et les institutions européennes jouent un rôle important dans nos vies, alors allons voir jusqu’où la corruption a touché cette institution qui devient de plus en plus dangereuse…

Rappel

Au dernier « épisode », nous avions parlé brièvement du « code de bonnes pratiques » que la Commission Européenne voulait renforcer, pendant qu’on parlait de la commission Bronner. On ne peut pas ignorer la nature malsaine de ce concept de « code de bonnes pratiques » déterminée par un milieu complètement détachée de la réalité quotidienne de la majorité de la population.

Ce code rappelle les heures sombres de l’histoire, où des régimes autoritaires imposaient un code de conduite aux institutions, au secteur privé et aux médias… Pratique encore utilisée aujourd’hui en Chine, Corée du Nord… Un concept pas très « démocratique » donc. Mais d’où vient ce code de bonne conduite ?

Journalism Trust Initiative (JTI)

Le Journalism Trust Initiative pourrait se traduire par « Initiative pour la confiance dans le journalisme », mais les mots comptent, et le mot « Trust » peut vouloir dire autre chose que « confiance » en langage économique :

C’est très intéressant de voir à quel point le milieu de l’économie déforme les mots, et leur fait dire exactement le contraire de leur sens d’origine. Le mot « Trust » qui à la base veut dire « confiance », en langage économique décrit quelque chose auquel il ne faut surtout pas avoir confiance.

Autre point intéressant, ceux qui ont perverti le mot confiance, sont les Barons Voleurs. Leurs noms, méthodes et principes sont essentielles à comprendre, car au fond du terrier du lapin, on trouvera leur descendance intellectuelle.

Le code de « bonnes » pratiques

Mais alors pourquoi on parle de JTI ? Laissons le journal Le Monde nous l’expliquer :

En signant ce code, Meta, Google, Twitter, Microsoft, TikTok ainsi que des professionnels de la publicité s’engagent notamment à assécher les revenus de la désinformation.

Les signataires doivent fournir aux utilisateurs des outils pour identifier et réagir aux informations fausses ou trompeuses, et coopérer plus étroitement avec les fact-checkers, dans toutes les langues des pays de l’UE. Ils doivent aussi soutenir le travail des chercheurs sur la désinformation, en leur permettant l’accès à des données anonymisées et agrégées.

A la différence des contenus illégaux, il ne s’agit pas de retirer des infox – ce qui se heurterait au principe de liberté d’expression –, mais de promouvoir les sources d’information fiables. Le code mentionne notamment la norme mise en place par la Journalism Trust Initiative (JTI), à l’initiative de RSF, et dont l’AFP est notamment partenaire.

Donc, ce code de « bonne » conduite a été mis en place par le JTI… Alors cherchons un peu de ce côté.

LA GENESE

L’Initiative pour la Confiance dans le Journalisme a été lancée et est gérée par l’ONG Reporters Sans Frontières (RSF), basée à Paris, qui veille à la liberté de la presse et aux droits de l’homme, avec le soutien de partenaires tels que l’Union Européenne de Radio-Télévision (UER) et l’Agence France Presse (AFP).

Elle a été élaborée par un panel de 130 experts comprenant des journalistes, des institutions, des organismes de régulation, des éditeurs et des acteurs des nouvelles technologies sous l’égide du Comité européen de normalisation (CEN) et publiée en tant qu’accord d’atelier CWA 17493 en décembre 2019.

Leur « standard international »

Conçue comme une norme ISO, la norme JTI repose sur des critères décisifs et objectifs. Ces 130 critères concernent la transparence des médias et le professionnalisme des processus éditoriaux :

  • l’application d’une ligne éditoriale
  • la gestion des contenus générés automatiquement
  • le contrôle interne/externe
  • la transparence sur l’identité des propriétaires
  • les sources de revenus
  • la preuve du respect des garanties professionnelles

Le JTI diffère des autres projets d’indicateurs de confiance en ce qu’elle se concentre uniquement sur le processus, le niveau de « fabrication » du journalisme et non sur le contenu individuel, traité au cas par cas.

Les Acteurs

Voici les acteurs derrière le JTI :

Tous ces acteurs n’ont rien à faire ensemble, et leur collaboration n’est pas sans rappeler le sens négatif du terme TRUST, tél qu’il a été perverti et utilisé par les Barons Voleurs. Le JTI n’est pas sans rappeler également la nature de MITRE, qui sert d’intermédiaire entre acteurs qui ne sont pas censés travailler ensemble, pour une simple question de conflits d’intérêts. Les méthodes et pratiques donc semblent importées directement des États-(plus trop) Unis. Voyons quelques problèmes éventuels avec les acteur de JTI.

Craig Newmark

Le nom Craig Newmark est mentionné ci-dessus dans les acteurs académiques de JTI, mais nous avons déjà vu ce nom dans les acteurs importants de la fondation DISARM. Vous avez donc un milliardaire américain qui a les mains dans la création/adaptation du cadre DISARM qui est utilisée par l’EU, qui est aussi impliqué dans la création d’un code de « bonnes » pratiques qui est aussi utilisée par l’EU…

Facebook et Google

Je crois que personne ne comprend réellement l’impact de Google et des réseaux sociaux dans nos vies, à moins qu’il soit un initié. Le fait que ces deux géants des GAFAM soient là, n’est pas forcement un bon signe. Concrètement, on apprend ici que les entités privées Google et Facebook (entre autres) ont posé un « code de bonne conduite » que le parlement européen a adopté, et pratique, en appelant à son renforcement… Vous avez ici un bon aperçu de la nature des ficelles qui sont utilisées pour tirer sur les mains des politiciens élus démocratiquement, mais qui ne sèvrent plus à grandes choses, sauf pour convaincre la population de « l’utilité » des programmes des marionnettistes.

France TV, AFP et AP

Dans le dernier Y-Files, je vous ai parlé de la structure de l’intelligence, et ce qui en est sortie de cette émission, c’est que la qualité de l’information avec laquelle on se nourrit, définit la qualité de notre intelligence individuelle. Si les informations de base sont mauvaises, les conclusions tirées par nos intelligences seront mauvaises également.

De ce fait, celui qui peut définir la qualité de nos information, peut également contrôler la qualité de notre intelligence individuelle. C’est peut-être la révélation la plus importante, avec des répercussions sans fin, dans tous les aspects de nos vies, mais dans ce cas précis, on parle de l’information concernant l’actualité. L’écrasante majorité des articles publiés aujourd’hui dans la presse mainstream, sont des « copier/collé » de l’AFP. Ils ne s’embêtent même plus de changer des mots, ou au moins faire semblant d’une recherche journalistique… Donc la télé publique française, est dans le même groupe que l’AFP et l’AP, et ensemble, peuvent contrôler l’information, et de ce fait, contrôler la qualité de l’intelligence de la France (applicable aussi à l’EU).

La nébuleuse « Newsguard »

Que nous dit Wikipédia ?

NewsGuard est le nom d’une start-up fondée en 2018 aux États-Unis dans le contexte de l’explosion du flux d’infox (fake news), partagées sur les réseaux sociaux au moment de l’élection présidentielle américaine de 2016.
Cette entreprise se présente comme étant exclusivement dédiée à apporter « plus d’informations aux personnes sur les sources des informations qu’elles découvrent en ligne ». Pour cela, le site se donne pour mission d’indiquer, directement sur le navigateur web des internautes qui le souhaitent, si un site d’information est fiable et crédible, sur la base de neuf critères réunis dans une « étiquette » informative dite « étiquette nutritionnelle ».
Selon Steven Brill, l’un de ses cofondateurs, l’extension NewsGuard est une alternative à la réglementation gouvernementale et aux algorithmes automatisés (tels que ceux utilisés par Facebook). L’analyse, et la notation sont faites par des humains, experts dans le domaine de l’information, et non pas par des algorithmes. En 2020, ce service est disponible pour des sites situés aux États-Unis, au Royaume-Uni, en France, en Allemagne et en Italie.

Wikipédia

Bien entendu, Wikipédia parle uniquement de la façade. Allons un peu plus en profondeur, car là, nous avons à faire à un des pieds de « l’araignée », qui veille sur la « toile ». Je vous donne ici quelques extraits des recherches de Bad Kitty, qui est à l’origine de ces recherches, mais qui est focalisée sur les USA.

Newsguard a d’abord développé l’ensemble de données Misinformation Fingerprints, aujourd’hui utilisé pour la censure, pour le compte du Pentagone et du département d’État américain…
En septembre 2021, NewsGuard a reçu une subvention dans le cadre du programme Small Business Innovation & Research, qui finance des entreprises en phase de démarrage pour développer des produits et des technologies qui peuvent être utiles au gouvernement.
Dans le cadre de cette subvention, NewsGuard prévoit de poursuivre le développement de l’outil Misinformation Fingerprints et de tester l’efficacité des Fingerprints dans la détection des campagnes de désinformation parrainées par l’État.
NewsGuard est un PARTENAIRE du Laboratoire national de Los Alamos du ministère américain de l’énergie. Ils y ont réalisé des études sur les fausses informations de Covid.
Et le Pentagone équipe également l’armée américaine de Newsguard : « UNE ÉTUDE DU PENTAGONE RECOMMANDE QUE TOUS LES MEMBRES DES FORCES ARMÉES SOIENT ÉQUIPÉS DE
NEWSGUARD »…
Newsguard est en partenariat avec le German Marshall Fund (GMF), financé par les États-Unis (USAID) et la Commission européenne. L’OMS est également partenaire de NewsGuard et mérite d’être mentionnée. Depuis août 2020, à la demande de l’OMS, Newsguard a fourni aux fonctionnaires des rapports réguliers sur COVID et les fausses informations sur la santé, à titre gracieux. L’OMS utilise ces rapports lorsqu’elle demande que les plateformes numériques prennent des mesures pour « atténuer la désinfo ».

Passons maintenant à l’UE :

À la demande de fonctionnaires de la Commission européenne, Newsguard est devenu un signataire potentiel du code de pratique de l’UE sur la désinformation.
En janvier 2022, NewsGuard a annoncé un accord avec le Centre Commun de Recherche (CCR) – le service de la science et de la connaissance de la Commission européenne – pour fournir à l’institution européenne ses cotes de fiabilité et ses empreintes digitales de désinformation afin d’aider le CCR à suivre la désinformation en ligne.
Les données de NewsGuard permettront à l’équipe du CCR chargée de la désinformation de détecter de nouvelles sources non vérifiées, de suivre les récits de désinformation connexes et d’analyser la propagation de ces récits dans les différents pays et les différentes langues. L’utilisation de ces données par la Commission amplifiera l’impact de NewsGuard en Europe.
En 2021, NewsGuard a été l’un des membres fondateurs de l’Observatoire italien des médias numériques (IDMO), l’un des huit centres nationaux financés par la Commission européenne pour lutter contre la désinformation et les fausses nouvelles en Europe.
NewsGuard a commencé à travailler en partenariat avec les autorités allemandes chargées de réguler les stations de radio et de télévision privées, en leur fournissant des données et une expertise pour évaluer les sources en ligne.
En octobre 2021, une commission d’experts nommée par le président français Emmanuel Macron (la Commission Bronner, appelée « Les Lumières à l’ère numérique ») a demandé à NewsGuard une contribution écrite sur les moyens de financer la désinformation, sur la base de leur expertise en matière de collaboration avec les marques et leurs agences.

Mais ce n’est pas tout pour Newsguard, qui a également des liens avec le Forum Économique Mondial. Newsguard a été initialement financé par le groupe Publicis. Ce dernier s’est ensuite associé à l’entreprise. Le groupe Publicis dirige également Publicis Live, qui gère toutes les activités du Forum économique mondial à Davos, y compris la location d’appartements. Oui, toutes les réunions du WEF sont gérées par le principal bailleur de fonds de Newsguard. En 2021, Publicis s’est également associé à eux.

Newsguard est également partenaire du Département d’État américain, du Département de la défense et du Département de la culture, des médias et du sport du gouvernement britannique (DCMS).

Conclusions choquantes

La puissance derrière JTI est inimaginable en vérité, car elle inclut des acteurs comme Google, Facebook, AFP, France TV, et Newsguard, parmi un tas d’autres, pas forcement moins importants, mais plus discrets. Et toutes ces entités puissantes qui viennent principalement du privé, ont créé ce code de « bonne » conduite ou « bonne » pratique, qui est appliquée par l’UE sur la population européenne. Rien que là, il y a de quoi bruler Babylone pour haute trahison contre sa propre population. Prennons deux minutes pour reflechir avec intelligence.

  • À quoi sert Google, si ce n’est que de canaliser nos recherches vers les « bonnes » réponses ?
  • À quoi sert Facebook, si ce n’est que de cumuler des informations privées avec le consentement mal informé de l’utilisateur ?
  • À quoi sert l’AFP, si ce n’est que de donner le LA à l’orchestre symphonique des perroquets médiatiques qui copient/collent bêtement ?
  • À quoi sert Newsguard, si ce n’est que de détecter et attaquer tout ce qui représente un obstacle au narratif des Barons Voleurs de 2024 ?

Cela dit, vous avez remarqué l’absence d’un participant important ?

Indépendance des institutions ?

L’AFP vous dira qu’elle est indépendante, pareil pour France Info ou les autres… Ils vous diront qu’ils suivent les conseils du code de « bonnes » pratiques, mais qu’ils ont le choix de ne pas le faire s’ils veulent… Voyons voir si c’est le cas.

Dans les questions ci-dessus, j’aurais pu ajouter :

  • À quoi sert Twitter, si ce n’est que pour influencer l’opinion publique ?

Sauf que Twitter a été acheté par Elon Musk, qui a apporté énormément de modifications, et il à « libéré la parole ». Il a éliminé les circuits DISARM d’un personnel « opinionné » qui s’occupait de la modération, contourné les méthodes liées aux « factcheckeurs » en mettant les « Notes de la communauté » à la place, et… IL A RETIRÉ TWITTER DU CODE DE « BONNES » PRATIQUES !

Signataires en 2022
Signataires en 2024

Et la panique fut totale !!!

L’adhésion au code de bonnes pratiques de l’Union européenne contre la désinformation en ligne est volontaire. Créé en 2018, il comprend 128 mesures visant à mieux coopérer avec les fact-checkeurs et à priver de publicité les sites diffusant de fausses informations. Et toutes les grandes plateformes (Meta – propriétaire de Facebook -, Google, Microsoft, TikTok…) y adhèrent. Mais plus Twitter. Le réseau social, racheté en octobre dernier par Elon Musk, a décidé de se désengager de ce code de bonnes pratiques. Il est vrai que, depuis ce rachat, les règles de modération de la plateforme ont été largement assouplies.

Malgré le retrait du réseau social de ce code de bonne conduite, «ses obligations demeurent», a tenu à rappeler le commissaire européen à l’Industrie.

Le « volontariat obligatoire », vous connaissiez ? Mes parents le connaissent bien. C’était un outil important de la dictature en Albanie. Les gens étaient obligés de faire du « volontariat » dans les domaines qu’on leur accordait. Il semblerait que L’UE apprécie ce genre de méthodes.

Là, ils disent que l’adhésion à ce code « particulier », est volontaire, mais même si tu n’est pas dedans, tu es obligé de le pratiquer… De plus, Thierry Breton s’est lâché complètement, devenant même agent commercial pour le concurrent de Twitter.

Donc ce code de « bonne » pratique qui est « obligatoirement volontaire », montre comment des institutions non européennes, mélangées avec des puissances du privé venant des USA, dictent les choix de l’UE en termes d’information. Avec ce code, ils imposent des choix aux industriels, dans le secteur privé, aux réseaux sociaux, et aux médias mainstream.

Encore une fois, la qualité de l’information, définit la qualité de l’intelligence, donc celui qui contrôle l’information, contrôle l’intelligence. Ce n’est pas l’UE qui contrôle l’information en Europe. Le parlement européen n’est rien de plus qu’une institution de commerciaux qui te vendent des « programmes » ou des « codes » comme celui que nous venons de voir.

Alors ? Que faire ? Dans un premier temps, prendre conscience que l’intelligence collective en Europe est totalement corrompue, après avoir ingéré beaucoup trop de fausses informations. Ces fausses informations ne viennent pas forcement des médias alternatifs, qui font au mieux pour comprendre le monde avec leur peu de moyens. La désinformation vient du milieu politique, institutionnel et médiatique, comme nous avons pu constater depuis quelques émissions maintenant.


L’appel de « Februare » nos esprits

Voici les nouvelles concernant la magnétosphère et l’activité solaire :

Le niveau d’énergie de ces fréquences basses est à la fois en train d’augmenter en intensité, mais aussi descendre en fréquence. La quantité d’énergie est jusqu’à 80x plus élevée que la normale (donc jusqu’à +8000% dans les maximums). Il semblerait que la magnetosphere est en train d’entrer en résonnance avec les vents solaires, un peu comme ce pont le fait avec le vent :

Sources :

Pour des raisons que j’évoquerais avec plus de détails dans un prochain Y-Files, cette « perturbation » géomagnétique ne doit pas être ignorée, vu sa puissance et son impact sur la magnétosphère et l’ionosphère de notre planète. Ce phénomène récent indique une période difficile pour nos corps, une sorte d’hiver énergétique, que nous devons absolument prendre en compte pour la suite.

Des solutions existent pour traverser cette « tempête » céleste sans trop de difficultés. Le premier et le plus important, c’est d’avoir la foi. Avoir la foi veut dire :

  • Se poser des questions existentielles et proposer des réponses instinctives (croyances)
  • Etudier les anciennes traditions avec humilité pour s’aider dans la quette de réponses
  • Etudier les idées scientifiques avec humilité pour s’aider dans la quette de réponses
  • Etudier les idées philosophiques avec humilité pour s’aider dans la quette de réponses
  • Faire manifester ses croyances dans les actes avec humilité
  • Rester humble dans la réussite, et transformer l’échec en leçon
  • Perfectionner sa perception de la réalité en répétant ce processus
  • Rester conscient et attentif sur l’incohérence entre nos pensées, nos paroles et nos actes

Bien entendu, tout ceci prend du temps, donc prendre ce temps en s’éloignant le plus possible d’internet, des réseaux sociaux, de YouTube, de Netflix et de tout ce qui pourrait déformer votre prisme de perception sans que vous en ayez forcement conscience. Bien entendu, il y a aussi des choses à faire en termes d’habitudes quotidiennes. Cela dit, si ces conseils ne sont pas appliqués, l’avenir risque de devenir de plus en plus compliqué. Je ne peux vous donner ces conseils, mais je peux vous dire ce que moi je ferais pendant les temps à venir, jusqu’à ce que la tempête se calme (vers fin 2025). Pour cette période, je vais :

  • essayer de me coucher tôt, après une douche tiède ou froide
  • me lever tôt et étirer mes muscles dans le lit
  • réveiller ma conscience avec une douche froide juste après
  • poser mes pieds nus sur la Terre, et saluer avec amour et respect Le Soleil, la Terre, et tous les êtres vivants
  • faire une prière de gratitude avec les pieds connectés au sol
  • exposer mon plexus solaire au Soleil pendant au moins 15 minutes par jour
  • marcher au moins une fois par jour à un rythme soutenu (1h minimum dans la journée)
  • manger 30% biogénique*, 40% bioactif** et 30% biostatique***, et éviter au maximum le biocide****
  • Pratiquer le « l’autre c’est moi » donc, donner ce que je voudrais avoir (temps, affection, énergie…)

*biogénique = graines germées, herbes vertes, œufs
**bioactif = fruits et légumes frais non cuits, (crudités)
***biostatique = fruits, legumes, etc, cuits
****biocide = éléments chimiques industriels, tout ce qui est mort (animaux, poissons)