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VIGINUM, (ou le DISARM de la SGDSN*)

*Secrétariat général de la Défense et de la Sécurité nationale

Introduction

Le plus grand scandale lié à la liberté d’expression a éclaté récemment aux États-Unis, avec des répercussions qui touchent aussi la France. Un lanceur avait rendu public des documents qui nous permettaient de constater l’existence d’un groupe opérant dans l’ombre, à l’origine de la censure dans tout l’Occident.

Ce groupe s’appelle “Cyber-Threat Intelligence League”, signifiant “Ligue du renseignement sur les cybermenaces” et les dossiers en question s’appellent “Dossiers CTIL”.

Ce groupe trouve ses origines dans le gouvernement américain qui a collaboré avec le gouvernement britannique pour contourner l’utilisation du renseignement lié à la menace cybernétique, affirmant qu’un cerveau humain est “piratable” de la même façon, donc les mêmes principes qui sont utilisés pour protéger les ordinateurs des piratages doivent être appliqués pour protéger les humains du piratage intellectuel. C’est là que l’idée de la sécurité cognitive a commencé à être accessible au plus grand nombre, mais la CIA et les services secrets américains travaillent dessus depuis les années 50.

Ces dossiers expliquent comment le gouvernement américain, britannique, et toute l’UE, ont contourné la loi en utilisant le secteur privé pour censurer et attaquer tout ceux qui s’opposaient au “narratif officiel”, autrement appelée “propagande étatique”. Pour le faire, ils ont réadapté un outil de manipulation des masses et d’analyse et organisation des principes de la désinformation, appelé AMITT, créé par une institution qui s’appelle MITRE (MATRICE en grec), une sorte de nébuleuse centrale entre gouvernements, industriels, secteur privé, et un tas d’autres entités qui n’ont rien à faire ensemble dans une démocratie. L’entité qui a réadapté cet outil s’appelle DISARM, et l’outil en question, est un cadre (Framework en anglais) qui permet l’organisation et la synchronisation entre différents acteurs tout autour du globe.

Pour ceux qui n’ont pas beaucoup de temps, voici une version qui englobe le tout, et qui donne des exemples concrets de l’utilisation de cet outil, pour manipuler l’opinion publique qui, visiblement, est devenue la cible centrale des gouvernements occidentaux…

Mais prenez le temps et explorez le sujet en profondeur, car si vous le comprenez, vous briserez automatiquement les chaines qui ont été mis dans votre cerveau depuis votre naissance. Mais revenons au sujet central de cette émission, l’implication de la France dans tout ceci.

Les “Dossiers CTIL” sont actuellement entre les mains du Congrès américain, qui a ouvert une investigation, après avoir vérifié l’authenticité des documents rendus publics par le lanceur d’alerte. Dans ces dossiers, on apprend qu’Emmanuel Macron était un grand consommateur de ces méthodes de manipulation des masses à travers la désinformation.

La Commission Bronner

Cette commission fut un effort foireux, qui était censé donner des outils supplémentaires au complexe industriel de la censure en France. Voici quelques extraits de Wikipédia :

Les Lumières à l’ère numérique (dite commission Bronner) est une commission française chargée de faire des propositions dans les champs de l’éducation, de la régulation des réseaux sociaux, de la lutte contre les « diffuseurs de haine » et de la désinformation. La commission, présidée par le sociologue Gérald Bronner, est installée par le président de la République Emmanuel Macron le 29 septembre 2021.

Depuis 2017, les autorités françaises et européennes multiplient les initiatives pour lutter contre les manipulations et désinformations de l’information sur Internet. Le Parlement français a adopté une loi contre la manipulation de l’information fin 2018. La loi crée un devoir de coopération des plateformes, qui doivent mettre en œuvre des mesures en vue de lutter contre la diffusion de fausses informations susceptibles de troubler l’ordre public. Le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA), qui est chargé de la supervision de l’application de la loi, a publié le 21 septembre le deuxième bilan de l’application et de l’effectivité des mesures mises en œuvre par les plateformes pour lutter contre la diffusion de fausses informations.

En septembre 2021, le service de vigilance et de protection contre les ingérences numériques étrangères (Viginum), une agence nationale de lutte contre les manipulations de l’information, est mis en place sous l’égide du secrétariat général de la Défense et de la Sécurité nationale (SGDSN). Il doit « veiller, détecter et caractériser les opérations d’ingérence numérique étrangères aux fins de manipulation de l’information sur les réseaux sociaux », en particulier dans le cadre de l’élection présidentielle française de 2022, qui suscite des “inquiétudes” d’ingérences étrangères.

La régulation des plateformes est en cours de révision au niveau européen. Les autorités françaises espèrent une adoption du « Digital Services Act » en 2022. En parallèle, la Commission européenne envisage de renforcer son code des bonnes pratiques contre la désinformation en ajoutant des contraintes et des obligations.

La commission Bronner a huit thématiques de travail : le rôle des algorithmes (il s’agit de la révolution algorithmique en matière d’organisation de l’information et du rôle des logiques algorithmiques dans les dynamiques de diffusion de la fausse information), le financement des infox (fake news), les moyens de développer l’esprit critique, la liberté éditoriale des médias face à la pression de la dérégulation du marché de l’information, types de dispositifs juridiques possibles, les mécanismes psychologiques et sociologiques qui conduisent à la diffusion de fausses nouvelles, les ingérences étrangères et le type de citoyenneté numérique et d’espace démocratique renouvelé pouvant être mis en place.

Voici la liste des personnes qui composent cette commission :

Gérald Bronner

Après avoir rédigé une thèse sous la direction d’Alain Pessin sur les enjeux sociologiques de l’aversion à l’incertitude (qui a donné lieu à la publication d’un « Que sais-je ? », L’Incertitude) Gérald Bronner est nommé maître de conférences à Nancy en 1998. En 2003, il publie, aux Presses universitaires de France (PUF)L’Empire des croyances, qui est couronné d’un prix par l’Académie des sciences morales et politiques. […] Il soutient, en 2006, une habilitation à diriger des recherches (HDR) dont le sujet est l’importation de la notion de biais cognitif vers la sociologie. En janvier 2021, il publie Apocalypse cognitive aux PUF. Selon Rachel Sarg, il est au début du xxie siècle l’un des principaux représentants du courant de la sociologie cognitive. – Source Wikipédia

Rappelez-vous que derrière CTIL, il y a cette idée de sécurité cognitive, sur laquelle l’OTAN, la CIA et un tas d’autres institutions ont travaillé depuis les années 50, et même bien avant, suivant les pas des nazi, avec leurs recherches nommées MK-Ultra. Un des acteurs derrière le Framework DISARM est justement CogSec (qui cherche a effacer les traces de son existence) :

CogSec Collaborative = Font partie des créateurs du “Framework” de DISARM, ajoutant dedans des méthodes utilisées contre le terrorisme, et ajoutant des liens avec l’OTAN (https://www.misp-project.org/). Le site de CogSec n’existe plus aujourd’hui. Le lien vous emmène sur web.archive.org (heureusement que cette archive existe).

Roland Cayrol

Roland Cayrol est politologue et directeur de recherche associé au Centre de recherches politiques de Sciences Po, mais il est aussi directeur de l’institut CSA, un institut de sondages faisant partie du groupe Havas depuis octobre 2015. – Source Wikipédia

Havas est issu de l’Agence des feuilles politiques, la première agence de presse au monde. Très vite, l’interconnexion des marchés financiers lui ouvre des horizons commerciaux. Entre 1852 et 1857 (époque des Barons Voleurs), l’entreprise se lance dans la publicité et est scindée en deux branches, l’une pour l’information (la future Agence France-Presse) et l’autre pour la publicité (IP, constituée en société anonyme sous le nom d’agence Havas en 1879).

Direction Yannick Bolloré
Actionnaires Bolloré (jusqu’en 2017)
Vivendi (depuis 2017)

Vivendi

Vivendi est un groupe français spécialisé dans les médias et la communication. Il succède à la Compagnie générale des eaux fondée par Napoléon III en 1853 (époque des Barons Voleurs). Vivendi est dirigé par Yannick Bolloré. Son principal actionnaire est le groupe Bolloré, dirigé par Cyrille Bolloré.

Voici ce qu’on trouve sur le Wikipédia de Yannick Bolloré :

Ce qui est important de noter, c’est ceci : Bolloré est une multinationale française de transport, de logistique, et de communication. La prochaine étape de l’état profond semble être l’étouffement du transport et de la logistique, ce qui risque de conduire les Bollorés à la faillite. C’est probablement pour cela qu’ils réagissent en utilisant leur “puissance de tir”, qui sont CNEWS et TPMP, pour essayer de combattre le narratif.

D’une certaine façon, les Bollorés sont les ennemis de nos ennemis, mais au fur et à mesure, d’autres du même calibre vont comprendre aussi qu’ils se sont fait avoir, et vont se tourner contre l’état profond français.

Anne Muxel

Anne Muxel, directrice de recherches en sociologie et en science politique au CEVIPOF, directrice du domaine Défense et société de l’Institut de recherche stratégique de l’École militaire (IRSEM) et membre du conseil d’administration de la Fondation Jean Jaurès.

Les autres de la commission Bronner

On voit la Fondation Jean-Jaurès et Sciences Po apparaitre plusieurs fois. Rudy Reichstadt est membre de cette commission, fondateur de Conspiracy Watch, et impliqué également avec la Fondation Jean-Jaurès.

Vous voyez donc que le nom de Rudy Reichstadt est impliqué dans cette mécanique de protection de la propagande étatique. Cet individu est tout sauf impartial et indépendant, mais il est loin d’être le plus dangereux. Si l’on compare le complexe industriel de la censure en France à un corps humain, Rudy Reichstadt serait l’anus, car c’est lui qui est à l’origine de toute la désinformation nauséabonde qui sert à attaquer tous ceux qui résistent à la propagande de l’état, ces “excréments intellectuels” que les médias prennent pour se nourrir par la suite.

Il n’y a pas plus nazi que celui qui voit des nazi partout !!!

Maintenant, on va faire une petite lecture :

De la loi Avia à la commission Bronner

Infortunée Laetitia Avia, la députée d’origine togolaise de Paris espérait son quart d’heure de gloire warholien avec sa loi sur le contrôle d’internet. Las, la loi a été en grande partie vidée de son contenu par le Conseil Constitutionnel. Pire, après avoir mordu un chauffeur de taxi, la malheureuse Laetitia a été accusée de harcèlement professionnel par nombre de ses anciens collaborateurs; chassez le naturel il revient au galop, disait ma grand-mère.

Ce qui revient au galop également, c’est le désir des autorités de disposer de filtres d’information pour que le « bon peuple » disposant des « bonnes informations » puisse « bien voter ». C’est ainsi qu’une énième commission Théodule alias commission Bronner alias « Les Lumières à l’heure du numérique » a été mise en place.

L’objectif de la commission, dirigée par Gérald Bronner, consistera à proposer une série de propositions contre les diffuseurs de haine et la désinformation. Devrait donc ressortir de cette commission un ensemble de préconisations attentatoires aux libertés sous couvert de lutte contre la haine. Une sorte de loi Avia sans vote du Parlement. Le risque ici est évidemment : la remise en cause de l’espace de liberté qui s’est créé avec le développement d’internet.

De la commission Bronner à Viginum

La commission (Bronner) à peine mise en place a vu un de ses membres démissionner et son président être accusé d’avoir propagé des fausses nouvelles, on pouvait rêver mieux comme rampe de lancement. Vient alors Viginum, comme vigilance numérique.  Annoncé par Intelligence Online en février 2021, Viginum alias « Service de protection contre les ingérences numériques étrangères » est rattaché au Secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale (SGDSN)

Les “CTIL” français… VIGINUM

Comment expliquer ce genre de phénomènes, ou des comptes différents, qui a priori n’ont rien à voir ensemble, publient le même post, au mot près ?

Ou encore cette réaction en mode orchestre symphonique de perroquets ?

Tout ceci ne peut pas être organique, et nous sommes bien en France, et pas aux États-Unis. Alors qu’est-ce qui s’est passé ? La réponse est VIGINUM. Le bébé Bronner étant tué dans l’œuf, ils ont du passer à autre chose.

VIGINUM est le service technique et opérationnel de l’État chargé de la vigilance et de protection contre les ingérences numériques étrangères. Rattaché au secrétariat général de la Défense et de la Sécurité nationale (SGDSN), ce service à compétence nationale a été créé le 13 juillet 2021.

L’assassinat de Samuel Paty en octobre 2020 est suivi d’une campagne de désinformation sur les réseaux sociaux. Une « Task force Honfleur » est mise en place afin de détecter et de caractériser cette tentative de déstabilisation… Lors du conseil de défense du 12 janvier 2021, Emmanuel Macron prend la décision de lancer une mission de préfiguration à la création d’un service à compétence nationale. Quatre personnes sont chargées du dossier sous la direction de Marc-Antoine Brillant. Le nouveau service à compétence nationale est créé par le décret no 2021-922 du 13 juillet 2021 publié au Journal officiel du 14 juillet. VIGINUM sera opérationnel à partir du 15 octobre.

Les missions de VIGINUM sont de détecter et caractériser tout phénomène de propagations suspectes de contenus mensongers ou hostiles sur les plateformes numériques, impliquant des acteurs étrangers, dans le but de nuire à la France et à ses intérêts. Il s’agit plus précisément des contenus accessibles publiquement sur les plateformes en ligne…

Le secrétaire général de la défense et de la sécurité nationale, Stéphane Bouillon, a indiqué lors de son audition par la commission défense de l’assemblée nationale en juin 2021 : « Soyons bien clair, il ne s’agit absolument pas pour nous de commencer à dire telle information est exacte, telle information est inexacte. Cela c’est le rôle des politiques, des médias, et c’est le rôle de la justice. Cela ne peut pas être le rôle d’une administration et cela ne doit pas être son rôle ».

Ensuite, selon Cédric O, VIGINUM transmettra les dossiers à la justice ou à la diplomatie. Intelligence Online présente une troisième option en indiquant que le volet offensif de la contre-ingérence sera assuré par la direction du Renseignement militaire (DRM).

En gros, ils ont utilisé le même genre d’arguments que les américains pour la création de CTIL, et ils ont fait exactement la même chose, avec l’implication du même type d’acteurs (politiques, médias, privés, militaires…).

VigiNum et Macron

Le site de Tristan Mendès France donne un lien direct vers cet article de Radio France, qui est très intéressant, et donne des détails supplémentaires :

Mai 2017. L’entre-deux-tours de la présidentielle est perturbé par la fuite sur le net de dizaines de milliers de courriers électroniques du mouvement En Marche ! d’Emmanuel Macron. La justice américaine affirmera plus tard que les “Macron Leaks”, comme on les appelle, ont été orchestrés par des agents Russes, dans le but de déstabiliser le vote, avec la complicité d’un site d’extrême-droite américain. C’est justement pour contrer ce genre d’attaques numériques venues de l’étranger que le gouvernement français a décidé de mettre en place, sept mois avant la présidentielle, Viginum : une agence de vigilance et de protection contre les ingérences numériques étrangères, créée par décret le 13 juillet 2021.

L’agence Viginum sera constituée d’environ 70 personnes issues de tous horizons : experts en réseaux sociaux, techniciens et journalistes notamment. Elle aura pour mission de mettre au jour les fausses informations en provenance de pays étrangers, qui pourraient déstabiliser le processus électoral français. 

Selon un sondage de l’IFOP datant d’avant les confinements, 79% des personnes interrogées croyaient déjà au moins à une théorie complotiste. Des théories qui ont parfois des conséquences très concrètes, remarque Tristan Mendès France, enseignant et expert des nouveaux usages numériques. “Il s’agit à l’origine d’épiphénomènes, de discours marginaux, qui en temps normal ne pourraient pas faire sortir dix personnes dans la rue. Mais grâce à cet écosystème informationnel, ces discours parviennent à mobiliser de plus en plus de personnes dans les rues.”

Les fausses informations prospèrent d’autant plus facilement qu’elles s’insèrent dans un écosystème qui facilite leur financement, insiste pour sa part Thomas Huchon, professeur à Sciences Po et réalisateur de La nouvelle fabrique de l’Opinion. “Le film mensonger Hold-up a été financé à hauteur de 300 000 euros par des dons sur Internet. Ce qui veut dire que ces plateformes ont non seulement levé de l’argent pour des gens qui disent n’importe quoi, mais surtout qu’elles ont pris une commission, et ont gagné de l’argent en finançant la désinformation.”

En France, un mois après l’assassinat de Samuel Patty, lorsqu’Emmanuel Macron défend le droit à la caricature, débute au Pakistan une campagne anti-française qui durera 8 mois, jusqu’à la dissolution du groupe radical qui en était l’instigateur. “On explique alors que la France est un pays islamophobe, se souvient Rudy Reichstadt, fondateur de l’Observatoire du Complot (Conspiracy Watch), on raconte qu’on fiche les élèves musulmans et qu’on leur attribue des numéros. Ces rumeurs sont relayées sur internet par la ministre des droits de l’homme au Pakistan et par des journalistes américains. Elles seront finalement démenties, mais elles échauffent les esprits.”

[…]D’autres acteurs plus marginaux préoccupent les autorités. Depuis la dernière élection présidentielle américaine, la mouvance QAnon prend pied peu à peu en France. À l’origine, elle s’était développée aux États-Unis sur le forum anonyme 4chan au cours de l’année 2017. Des acteurs québécois ont propagé sa doctrine en français, et désormais, plusieurs sites francophones portent la marque du groupe, constate Pierre-Albert Ruquier : “Il existe toute une constellation de personnalités qui se considèrent comme des porte-paroles de QAnon”. Un disciple de QAnon a même créé un site marqué de l’effigie du groupuscule : les DéQodeurs, en référence au véritable site de décryptage de l’information créé par le journal Le Monde.

Viginum aura donc pour ambition de débusquer ces fausses informations mais aussi de les contrer. “Sous Viginum, vous allez avoir un comité opérationnel de lutte contre les manipulations de l’information, explique Pierre Gastineau, dont feront partie des services de renseignement. Il y aura aussi un comité stratégique, chargé d’anticiper une fake-news. Et un comité d’éthique, qui rassemblera des membres de différents ministères et d’autorités indépendantes comme le CSA pour faire respecter les lignes rouges à ne pas dépasser.”

Ils utilisent la même stratégie que les américains, pour justifier l’existence de VigiNum, les menaces cybernétiques. On voit en France la même stratégie, au mot près, qu’aux États-Unis, avec la “Ligue du renseignement sur les cybermenaces” (CTIL).

Voici un autre article intéressant :

Et quelles sont les outils de VigiNum ?

Une de leurs dernières bonnes idées, c’est de se lancer à la traduction du Framework DISARM, qu’ils utilisent depuis le début, et là, on voit les liens entre DISARM (qui vient de CTIL) et VIGINUM. Tout ce qu’on a appris donc sur le Framework DISARM, a été utilisé par le “Macronistan”, pour protéger la propagande étatique, et maintenir Macron au pouvoir.

Précision Nécessaire

À partir de là, je tiens à préciser que je ne suis pas suicidaire, et que je n’ai aucune activité illégale sur internet, ou ailleurs. Je le précise car depuis que j’ai mis le nez là-dedans, moi, ma compagne, et la personne qui m’aide avec cette investigation, avons été des cibles de piratages, qui cherchent à récupérer des informations, ou ajouter des éléments compromettants sur nos ordinateurs, ou nos comptes sur les réseaux sociaux.

Technique T0011 : Compromettre des comptes légitimes Résumé : pirater ou prendre le contrôle de comptes légitimes pour diffuser des informations erronées ou des contenus préjudiciables. (Framework DISARM)

Organisation Mère de VigiNum

La voici : Secrétariat général de la Défense et de la Sécurité nationale

Le secrétariat général de la Défense et de la Sécurité nationale (SGDSN), anciennement secrétariat général à la Défense nationale (SGDN), est un organisme interministériel placé sous l’autorité du Premier ministre français. Il est chargé d’assister le Premier ministre dans l’exercice de ses responsabilités en matière de défense et de sécurité nationale et d’assurer le secrétariat du Conseil de défense et de sécurité nationale. Depuis le 17 août 2020, le secrétaire général est le préfet Stéphane Bouillon.

Sous la Ve République, le SGDSN est un rouage essentiel du pouvoir exécutif. En 2020, il comptait 972 agents, dont 600 travaillaient à l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (Anssi), chargée de protéger l’État contre les cyberattaques ; les autres agents s’occupent de différentes missions, allant de la prévention et de la gestion des crises (attaques terroristes, épidémies…) à la protection du secret de la défense nationale.

C’est l’outil central de ce qu’on appel “état profond”, qui œuvre dans le secret, qui n’est pas élu, et qui est sensé “assister” les plus hauts placés du gouvernement. Ils sont chargés “de protéger l’État contre les cyberattaques“… C’est par là qui entre en jeu cette idée de Sécurité Cognitive qui a été utilisé par la “CTIL”, mais ce n’est pas tout !

Le SGDSN assiste le Premier ministre dans l’exercice de ses responsabilités en matière de Défense et de Sécurité nationale. À ce titre :

(7ème sur 8 points) : Il propose au Premier ministre et met en œuvre la politique du Gouvernement en matière de sécurité des systèmes d’information. Il dispose à cette fin du service à compétence nationale dénommé « Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information ».

Trois services à compétence nationale sont rattachés au SGDSN :

Le SGDSN se trouvent donc à la tête de ce qui contrôle le narratif, avec un pouvoir qui dépasse celui des politiciens (puisqu’ils les “conseillent”), avec l’autorité d’œuvrer dans le secret (niveau secrets d’états), et dans les rangs de SGDSN, vous avez les “James Bond” français, qui ont l’autorité de tuer, sans être poursuivi. Alors encore une fois, je ne suis pas suicidaire, avec Isabella nous sommes heureux en couple, nous n’avons pas d’activités illégales ou quoi que ce soit qui pourrait compromettre nos libertés. Je tiens à le préciser car j’ai constaté à l’aide d’un ami qui connait bien le sujet, qu’ils essayent de nous compromettre.

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