30/05/2023 – L’Étincelle des Balkans

00:03:38 Rira mieux qui comprendra
00:09:58 On Y Arrive – Le Documentaire Épisode 8 – La Belle Corse
00:11:27 Médecine, COVID, Science… La vérité prend l’escalier
00:29:43 Rencontre à Aigle (Suisse)
00:32:23 L’étincelle des Balkans
01:10:05 Twitter quitte l’Europe
01:17:17 Les Nouvelles aux USA
01:34:06 DeepFake, la belle excuse
01:38:36 Russie/Ukraine et leurs “copains”, l’escalade
01:59:52 Sommes-nous condamnés ? (conversation)

Le live est également transmis sur Twitter


Rira mieux qui comprendra


On Y Arrive – Le Documentaire Épisode 8 – La Belle Corse


Médecine, COVID, Science… La vérité prend l’escalier

COVID

David Martin a affirmé lors d’un sommet international Covid organisé par le Parlement européen à Bruxelles au début du mois que les États-Unis étaient responsables de la fabrication des deux coronavirus à l’origine des épidémies de syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) en 2003 et de la pandémie de Covid-19 au cours des trois dernières années. Il a souligné que le virus avait été identifié comme un outil potentiel de guerre biologique, le qualifiant de « hold-up financier » et de « fraude financière » au cours de laquelle la communauté scientifique a été manipulée. Le Dr Martin a évoqué l’importance de s’exprimer devant le Parlement européen, rappelant qu’il s’était déjà adressé à cette institution il y a plus de dix ans, lorsqu’il avait mis en garde contre les conséquences de l’utilisation de la nature comme arme contre l’humanité.

Avec quelques années de retard

Petite digression: le Fluor

Un procès fédéral innovant pourrait interdire le fluor dans l’eau potable, annulant un programme de plusieurs décennies visant à prévenir les caries, qui a été remis en question par des preuves de plus en plus nombreuses de sa nocivité. […]
« L’opposition à la fluoration date maintenant d’au moins 70 ans, mais pendant la majeure partie de cette période, elle a été rejetée à tort comme une position marginale et non scientifique », a déclaré Paul Connett, directeur exécutif de la FAN, dans un communiqué.
« L‘émergence rapide de la science sur la neurotoxicité développementale, en particulier la perte de QI due à l’exposition au fluor dès le début de la vie, change la donne.

Le Deep State avance ses pions

Le traité de pandémie de l’OMS

L’OMS souhaite s’accaparer de nouveaux moyens, juridiquement contraignant, pour imposer à ses états membres des mesures «  » »de protection » » » dans le cas d’une nouvelle pandémie, conformément aux pouvoirs qui lui sont attribués par la Constitution de l’OMS.

source

Saviez-vous qu’il existait une Constitution de l’OMS source

La maladie X

À Genève, en Suisse, le Dr Tedros a déclaré : « La menace de l’apparition un autre variant provoquant de nouvelles flambées de maladies et de décès subsiste. Et la menace de l’émergence d’un autre agent pathogène au potentiel encore plus meurtrier demeure.[…]
[…]la « maladie X » – un nom générique donné à un agent pathogène dévastateur qui n’a pas encore été découvert – figure sur la liste des menaces les plus pressantes de l’agence des Nations unies.[…]
Lorsque la prochaine pandémie frappera à la porte – et elle le fera – nous devons être prêts à y répondre de manière décisive, collective et équitable.

Petits rappels

Fauci, Gates, Obama et leurs boules de cristal

Dans cette Pilule Rouge, on vous présente, entre autres, plusieurs étonnantes prédictions de Fauci, Gates et Obama qui avaient tous vu venir le coup d’une pandémie…

Catastrophic Contagion

On se rappelle qu’en octobre 2022 un exercice de simulation de pandémie a été effectué, sur le même principe que le tristement célèbre Event 201. Voila ce qu’on en disait dans le live:

Le 23 octobre dernier, une nouvelle simulation à scénario catastrophiste a eu lieu sous le nom de “Contagion catastrophique”. Derrière cette usine de la peur, toujours les mêmes acteurs : Johns Hopkins Center for Health Security, fondation Bill & Melinda Gates seul absent est WEF. Et évidemment le partenariat avec l’OMS.

Pendant ce temps, en Russie…


Rencontre à Aigle (Suisse)

Le 4 Juin à Aigle pour un projet social concernant le Ghana, avec de l’art et de la bonne nourriture.


L’étincelle des Balkans

Pourquoi ce sujet est si important ?

Il y a un rapport central entre la guerre spirituelle et les événements dans les Balkans. Nous en avions parlé pendant l’épisode 30 de Y-Files. L’étincelle détonante aura lieu dans les Balkans :

Extraits des prophéties d’Alois Irlmaier

Tous ne parlent que de paix, Schalom ! C’est alors que ça arrive. Une nouvelle guerre au Proche Orient s’enflamme subitement, de grandes flottes de guerre hostiles se font face en Méditerranée la situation est tendue. Mais l’étincelle détonante sera jetée sur le baril de poudre dans les Balkans. Je vois un « grand » tomber, un poignard sanglant est trouvé près de lui. Puis tout se passe coup sur coup.

[…] Deux hommes assassinent un troisième haut placé. Ils ont été payés pour ça. Je pense que ça se passe dans les Balkans, mais je ne peux pas le dire exactement. Le troisième assassinat a eu lieu. Puis c’est la guerre. […]

Élection injuste dès le départ

Des élections controversées se tiennent dans le nord du Kosovo à majorité serbe ce 23 avril. Elles sont organisées par Pristina, qui tente de s’imposer dans cette région, alors que le principal parti serbe a annoncé un boycott du scrutin.

Les habitants de la région, en majorité des Serbes traditionnellement fidèles à Belgrade, sont appelés à élire leurs représentants municipaux, pour remplacer les nombreux fonctionnaires qui ont démissionné suite aux affrontements entre Serbes et police kosovare à l’automne dernier. 

Dans les quatre municipalités du Nord, dont Mitrovica, il n’y a donc plus d’équipe municipale, ni de police ou de juges. Le principal parti serbe a annoncé boycotter le scrutin.

Un scrutin important pour Pristinaqui tente de s’imposer dans ces localités, quitte à ignorer le boycott de la population locale. 

Alors que dans le nord du Kosovo, la population albanophone représente moins de 5%, ses candidats pourraient obtenir une victoire sans légitimité, mais légale, et l’abstention dépasser les 90%.

Les États-Unis s’y mêlent là aussi

Les États-Unis envoient de nouvelles garanties au Kosovo

La semaine dernière, le Kosovo a reçu une autre garantie des États-Unis d’Amérique qu’il n’y aura aucune sorte de Republique Srpska dans le pays. C’était le conseiller principal du département d’État, Derek Chollet, et l’émissaire américain pour les Balkans occidentaux, Gabriel Escobar, qui l’a déclaré. Selon des analystes de Pristina, les déclarations de Chollet et Escobar portent un coup dur au président serbe, Aleksandër Vucic. Selon eux, avec les garanties données, les thèses de rupture des relations du Premier ministre Albin Kurti avec les Américains sont déjà abandonnés.

D’autres provocations

Mars/Avril 2022
Des milliers de Serbes du Kosovo ont protesté vendredi contre ce qu’ils voient comme le refus de Pristina de leur permettre de participer sur le territoire aux prochaines élections serbes alors que Belgrade n’a jamais reconnu l’indépendance de son ex-province. Un membre de cette commission, Vladimir Todoric, a dénoncé l’absence d’accord politique sur le sujet, soulignant que certains électeurs seraient forcés à parcourir plus de 120 kilomètres pour voter. «Quelqu’un a refilé la patate chaude» à la commission électorale, a-t-il dit.

Décembre 2022
Début novembre, des centaines de policiers serbes intégrés à la police kosovare, ainsi que des juges, procureurs et autres fonctionnaires avaient quitté leurs postes en masse pour protester contre une décision de Pristina, désormais suspendue, d’interdire aux Serbes vivant au Kosovo d’utiliser des plaques d’immatriculation délivrées par la Serbie.

Mais que se passe-t-il en réalité ?

L’Albanie est un pays étrange, avec une histoire mystérieuse. Voici une évolution de la carte de l’Albanie depuis 2000 ans :

Ce qu’il faut noter, c’est que l’histoire n’est pas cohérente avec la véritable situation des Albanais. Tout dépend de ce qu’on appelle « Albanais ». Aujourd’hui, des albanophones existent au Monténégro, en Serbie, en Macédoine et en Grèce (carte ci-dessous). Difficile à dire comment ils ont atterri là-bas. À priori, ils sont là et maintiennent la langue et la culture depuis très longtemps, malgré les nombreuses occupations de ces territoires par différentes forces.

Un projet controversé et très etrange

Depuis relativement récemment, on entend parler d’un projet d’une grande Albanie, qui inclurait des territoires du Monténégro, Serbie, Macédoine et Grèce. Cela a provoqué la panique des Pays entourant l’Albanie, surtout à cause du fait que ce projet est fortement soutenu par les États-Unis (OTAN, ONU, EU aussi…).

Soutien de l’OTAN

L’UÇK, formée au début des années 1990 pour lutter contre la persécution serbe des Albanais du Kosovo, a commencé sa première campagne en 1995 lorsqu’elle a lancé des attaques contre les forces de l’ordre serbes au Kosovo. En juin 1996, le groupe revendique la responsabilité d’actes de sabotage visant les postes de police du Kosovo, pendant l’insurrection du Kosovo. En 1997, l’organisation acquiert une grande quantité d’armes grâce à la contrebande d’armes venant de l’Albanie voisine, à la suite d’une rébellion au cours de laquelle des armes ont été pillées dans des postes de police et de l’armée du pays. Au début de 1998, les attaques de l’UÇK contre les autorités yougoslaves au Kosovo se traduisent par une présence accrue de forces paramilitaires serbes et de forces régulières qui commencent par la suite à mener une campagne de représailles contre les sympathisants de l’UÇK et les opposants politiques ; cette campagne tue de mille cinq cents à deux mille civils et combattants de l’UÇK.

Le 20 mars 1999, les forces yougoslaves lancent une campagne massive de répression et d’expulsions d’Albanais du Kosovo à la suite du retrait de la Mission de vérification au Kosovo de l’OSCE (KVM) et de l’échec de la Conférence de Rambouillet. En réponse à cela, l’OTAN intervient avec une campagne de bombardements aériens qui commence le 24 mars, la justifiant comme une « guerre humanitaire »…

L’Armée de libération du Kosovo ou UÇK (en albanais : Ushtria Çlirimtare e Kosovës) est une organisation paramilitaire qui a combattu pour l’indépendance du Kosovo à la fin des années 1990. Après la guerre du Kosovo remportée grâce à l’intervention de l’OTAN, et à la suite de la résolution 1244 du Conseil de sécurité des Nations Unies, le mouvement est dissout et intégré au Corps de protection du Kosovo. Certains de ses membres jouent toujours un rôle de premier plan dans la politique kosovare.

En 1991, des actions isolées non revendiquées ciblent la conscience de la population pour la liberté vis-à-vis du régime de Slobodan Milošević. Ce n’est cependant qu’en février 1996 que l’on entend parler pour la première fois de l’Armée de libération du Kosovo, après une attaque contre un commissariat de police situé dans l’Ouest du pays.

Au départ, on doute de l’existence de l’UÇK. Le chef modéré du Kosovo, Ibrahim Rugova, attribue les attaques à des agents provocateurs serbes. Toutefois, l’existence de l’UÇK ne fait bientôt plus de doute. Les autorités serbes accusent le groupe de terrorisme et augmentent leur répression et les effectifs de sécurité au Kosovo. Ces mesures ont l’effet pervers de promouvoir la popularité de l’UÇK parmi les Albanais du Kosovo, alors que le groupe en est toujours à ses balbutiements.

Les fondateurs de l’UÇK sont des Albanais radicaux du Kosovo frustrés par la stratégie de résistance passive d’Ibrahim Rugova.

L’organisation bénéficie d’un soutien direct de l’État albanais, notamment des services de renseignement et de l’armée.

La déstabilisation de l’Albanie qui a ouvert la porte à l’occident

La crise albanaise de 1997, parfois appelée guerre civile albanaise, s’est déroulée en Albanie du 16 janvier au 11 août 1997. Elle a eu pour principale cause l’effondrement de pyramides de Ponzi, faisant perdre au pays près de la moitié de son PIB. Elle se conclut par la chute du président et un changement de gouvernement.

À la suite de la dictature d’Enver Hoxha, l’Albanie se tourne vers l’économie de marché, et alors que le système bancaire est balbutiant, de nombreux systèmes de Ponzi, aussi appelés « pyramidales », sont mis en place : des sociétés frauduleuses promettent des taux extrêmement élevés et payent les intérêts des premiers épargnants avec l’argent des suivants. Près de 2 millions d’Albanais, sur une population totale de 3,5 millions, vendent ainsi leurs biens pour bénéficier de tels rendements.

La bulle économique éclate au début de 1997. La perte s’établit à 1,7 milliard de dollars, soit la moitié du produit intérieur brut (PIB). Le gouvernement refusant de rembourser les Albanais, des émeutes éclatent. Des bâtiments officiels sont incendiés ou détruits. Le sud du pays ne reconnaît plus l’autorité du président. Le 2 mars 1997, l’état d’urgence est décrété. C’est la Guerre Civile.

Par la résolution 1101 du 28 mars 1997, le Conseil de Sécurité des Nations Unies valide l’envoi d’une force de protection de 7 000 hommes. L’intervention internationale est menée sous commandement italien, et vise à organiser des élections législatives en juin.

Les Conséquences de toute cette folie ? Le bilan des émeutes est de 2 000 morts. Les armes prises lors des pillages alimentent les réseaux mafieux. L’économie albanaise a eu besoin de l’intervention du FMI et de la Banque mondiale pour être relancée

Conclusion

L’article ci-dessous donne un bon aperçu de la manière que la rhétorique mainstream voit la Serbie. La question est POURQUOI ?

Le pays, candidat à l’entrée dans l’Union européenne, refuse de prendre des sanctions contre Moscou. Des milliers de militants d’extrême droite ont même défilé dans les rues de Belgrade en criant « tous les Russes sont des frères des Serbes ».

Toute l’Europe est derrière l’Ukraine ? Oui, à une exception de taille près. Depuis le début de l’invasion russe, la Serbie, pays des Balkans comptant 7 millions d’habitants, se démarque du reste du Vieux Continent, en évitant soigneusement de sanctionner Vladimir Poutine.

En tant qu’Albanais, je vois que l’OTAN et les États-Unis veulent mettre la pression à la Serbie, en utilisant le Kosovo. Une nouvelle guerre de proxy est sur le point d’éclater, et cette fois, elle est réellement à nos portes, car le Kosovo est bien plus proche que l’Ukraine. Cet effort de déstabilisation poussée par l’occident sera peut-être l’étincelle qui cherche allumer la mèche d’une guerre contre la Russie. En effet, la Russie est liée historiquement et spirituellement avec la Serbie.

Zbigniew Brezinski affirmait lui-même en 2007 que : « Le principal ennemi de l’Amérique était désormais l’Église orthodoxe russe ». La création de la Grande Albanie peut sans doute être vue dans ce sens historique et géostratégique. Elle est une nouvelle allumette jetée, une allumette qui pourrait créer une étincelle et déclencher un nouvel incendie dans le brasier balkanique. Cet incendie aurait pour conséquence d’affaiblir un peu plus l’Europe, mais aussi de déstabiliser un peu plus le monde orthodoxe (Macédoine, Grèce, Monténégro, Serbie…) et de freiner son rapprochement avec la Russie. Par ricochet, c’est donc l’influence russe en Europe de l’Est qui serait remise en cause, et donc son rapprochement avec l’Europe de l’Ouest. Ce faisant, les États-Unis auraient atteint une nouvelle fois leur objectif essentiel : éviter un rapprochement continental et européen entre les mondes catholiques et orthodoxes.


Twitter quitte l’Europe

« Je souhaite que Twitter puisse se conformer d’ici le 25 août aux règles européennes nouvelles que nous avons adoptées, sinon il ne sera pas le bienvenu en Europe », a encore tranché[…] Jean-Noël Barrot, ministre délégué de la Transition numérique.

[…]Les pays qui n’ont pas de charte des droits pour protéger les citoyens contre leurs gouvernements menacent d’interdire totalement Twitter sur leur territoire si les ordres de censure ne sont pas respectés. Nombre d’entre eux ont inscrit le « discours de haine » dans la loi et ont également établi des lignes directrices strictes pour les médias sociaux opérant dans leur pays.
Elon Musk a deux options :

  1. En limitant certains contenus, il permettra aux citoyens de ces pays despotiques d’accéder à Twitter, mais avec une partie des contenus censurés.
  2. Ne limiter aucun contenu signifie qu’il n’y aura aucun accès à l’ensemble des contenus de Twitter dans ces pays.
    Ironiquement, il s’agit d’une interdiction totale.

Ce problème particulier est donc ancré dans l’autoritarisme et, jusqu’à ce que les choses changent, il s’agit d’une situation de moindre mal.
Il appartient aux citoyens d’élire un gouvernement qui consacre leurs droits naturels et respecte le pouvoir du peuple.
Twitter n’a pas le pouvoir de le faire à sa place.


@elonmusk: Exactement


Les Nouvelles aux USA

La dette des USA

De nombreux républicains du Congrès ont critiqué l’accord provisoire sur le plafond de la dette que le président de la Chambre des représentants, Kevin McCarthy, a conclu avec le président Biden, affirmant qu’ils voteraient « non » à la mesure malgré les craintes d’un effondrement économique catastrophique.

  • Pas de plafond fixé
  • Déficit supplémentaire estimé à 4000 milliards d’ici la fin du mandat Biden
  • Retour sur la suppression des 87000 agents de l’IRS
  • Retour sur la suppression des dépenses exceptionnelles de COVID

Trafic humain…

…sponsorisé par l’Etat

… couvert par les médias

Rapport Durham

Qui est pour qui chez les Républicains?

Ken Paxton

Le RINO président de la Chambre des représentants du Texas, Dade Phelan, qui est à peine républicain et qui a échoué au test d’intégrité des électeurs, veut destituer l’un des procureurs généraux les plus travailleurs et les plus efficaces des États-Unis, Ken Paxton, qui vient d’être réélu grâce au vote massif d’un grand nombre de patriotes américains en sa faveur. On aurait pu penser que les électeurs du Texas auraient pu se prononcer sur n’importe quelle question, d’autant plus que leur vote a été si concluant….

La chambre des représentants du Texas, a majorité largement républicaine a massivement voté (121 – 23) pour lancer la procédure de mise en accusation de Paxton.

L’échiquier devient de plus en plus clair

DeSantis

Un rappel qui pourrait avoir son importance

On en discutait dans ce live (25 novembre 2022)

Et depuis…

L’Assemblée législative de Floride, contrôlée par les républicains, a approuvé vendredi de profondes modifications de la loi électorale, dont une disposition qui permet au gouverneur Ron DeSantis de se présenter à l’élection présidentielle sans avoir à démissionner de son poste actuel.

Tu sais de quel coté tu te situes lorsqu’Hillary Clinton te soutient!!
sauf que…

DeepFake, la belle excuse


Russie/Ukraine et leurs « copains », l’escalade

Turquie

Fin du drama, Erdogan, maitre d’Anatolie, déjoue les plans US

Il faut croire que le « complotisme » l’a emporté en Turquie

Cette théorie d’un coup d’État de l’occident, colportée par le camp présidentiel, n’est pas nouvelle. « On mesure combien populisme et moment électoraux sont propice au complotisme », note Tristan Mendès France.

Un compte AKP, pro Erdogan, tweetait, avant le premier tour : « Soit Soros, soit Erdogan »« C’est un exemple typique de faux dilemne, de fausse alternative, remarque Rudy Reichstadt. On fustige l’opposant d’Erdogan en le faisant passer pour une marionnette de Soros qui est une figure détestée, la figure par excellence du comploteur mondialiste dans l’imaginaire contemporain. »

Il reste à voir comment Washington et l’Europe réagiront à la victoire d’Erdogan. Il a été clairement établi que l’Occident souhaitait son départ – depuis la déclaration de Joe Biden lors de sa campagne électorale de 2020, selon laquelle Washington devrait aider l’opposition turque à “affronter et vaincre Erdogan”, jusqu’à la récente couverture de l’Economist intitulée “L’élection la plus importante de 2023” avec les tags “Sauver la démocratie” et “Erdoğan doit partir.”

Déclarations du ministre de l’Intérieur turque

Je tiens à souligner qu’à partir de maintenant, quiconque poursuit une politique orientée vers l’Amérique, qu’il s’agisse de partis ou d’individus, sera déclaré traître dans ce pays. La Turquie en est arrivée à un tel point que toutes les parties en présence dans ces élections sont connues. Il est évident que les Américains ont l’intention de faire du mal à la Turquie”, a déclaré Soylu.

“Demain, grâce au pouvoir de la démocratie, au pouvoir du peuple, sera un tournant pour sauver le monde de leur oppression [des puissances occidentales] et de leurs mauvaises actions”, a-t-il déclaré.

“Traitez-nous de lâches si nous ne détruisons pas tous ceux qui dérangent ce pays, y compris les troupes américaines, au cours des cinq prochaines années. C’est la première fois que nous avons une telle opportunité”, a-t-il fait remarquer.

Changement à la tête des armées US

Déclarations de Milley avant d’être remplacé

Le général américain le plus haut gradé a réaffirmé qu’il était demandé depuis longtemps à Kiev de ne pas utiliser les équipements militaires fournis par Washington pour mener des attaques contre le territoire russe, selon l’agence Reuters. Cette politique est nécessaire, car de telles attaques pourraient provoquer un affrontement direct entre l’OTAN et la Russie, a souligné le président de l’état-major interarmées, le général Mark Milley

Le remplaçant

Le président des États-Unis, Joe Biden, nommera jeudi le général Charles Brown, de l’armée de l’air, pour remplacer le général Mark Milley, de l’armée de terre, à la tête de l’armée du pays.

Qui est Charles Q. Brown Jr. ?

Le 2 mars 2020, il est sélectionné par le président des États-Unis Donald Trump au poste de chef d’état-major de l’U.S. Air Force, et confirmé à ce poste par le Congrès le 9 juin 2020 ; il devient le premier afro-américain à accéder à cette fonction.

Il a commandé un escadron et deux escadres de chasseurs, ainsi que les forces aériennes américaines relevant du commandement central et du commandement indo-pacifique.

Chine s’engage

Mercredi, M. Xi a déclaré à M. Mishustin que les deux pays continueraient à s’offrir mutuellement “un soutien ferme sur les questions concernant les intérêts fondamentaux de chacun et à renforcer la collaboration dans les arènes multilatérales”, selon un communiqué de l’agence de presse officielle Xinhua. 

La Chine « a informé les États-Unis qu’ils déclinaient notre invitation lancée début mai visant à ce que le secrétaire Austin rencontre le ministre de la Défense nationale Li Shangfu cette semaine à Singapour », a déclaré le porte-parole du Pentagone, Pat Ryder, dans un communiqué.

Rappel de ce qui s’est passé lors de la visite de Xi à Moscou

Lindsey Graham piégé?!

« Les Russes meurent… »,  » C’est le meilleur argent que nous ayons jamais dépensé ! »

J’ai rencontré le sénateur américain Lindsey Graham.

Je remercie Lindsey Graham pour cette rencontre, sa position inébranlable et sa contribution au renforcement des capacités de défense de l’Ukraine. Je remercie l’ensemble de la société américaine, le président Biden et le Congrès américain pour leur soutien bipartisan et bicaméral à l’Ukraine. Nous apprécions cette aide. Nous savons que dès les premiers jours de l’invasion massive de la Russie, nous avons bénéficié d’un soutien total, ce qui est très important. Nous leur en sommes très reconnaissants.

Reactions

Le ministère russe des affaires étrangères a déclaré que les médias occidentaux avaient cherché à protéger le sénateur des critiques et que M. Graham devrait déclarer publiquement s’il estime que ses propos ont été sortis de leur contexte par le montage initial de la vidéo ukrainienne.

M. Graham a déclaré qu’il avait simplement salué l’esprit des Ukrainiens qui ont résisté à l’invasion russe avec l’aide de Washington.

M. Graham a précisé qu’il avait mentionné à M. Zelenskiy « que l’Ukraine avait adopté le mantra américain « Vivre libre ou mourir ». Les États-Unis ont fait un bon investissement en aidant à libérer l’Ukraine des criminels de guerre russes ».

Le ministère russe de l’Intérieur a placé M. Graham sur une liste de personnes recherchées après que le comité d’enquête a déclaré qu’il ouvrait une enquête criminelle sur ses commentaires.

Pourquoi ce montage de la part de l’Office du président de l’Ukraine ?

Attaque de drones sur Moscou N°2

Mardi à l’aube, une attaque de drones a causé des dégâts mineurs sur plusieurs bâtiments de la capitale de la Russie, sans faire de victimes. Le gouvernement dénonce « une attaque terroriste ».


Sommes-nous condamnés ? (conversation)

Détail astrologique (à 14min00) :