L’affaire du trafic d’enfants sur les plateformes en ligne continue (Vinted, Etsy)

Vous vous rappelez de notre article sur Vinted et l’utilisation des pédo-traficants de ce genre de plateformes pour leur commerce macabre ?

Vous rappelez aussi des révélations venant des dossiers CTIL ? Voici un des passages les plus importants de l’article que j’avais traduit et adapté :

L’approche du CTIL en matière de désinformation allait bien au-delà de la censure. Les documents montrent que le groupe s’est engagé dans des opérations offensives pour influencer l’opinion publique, en discutant des moyens de promouvoir des “contre-messages”, de coopter des hashtags , de diluer des messages défavorables, de créer des comptes de marionnettes fictives et d’infiltrer des groupes privés sur invitation uniquement.

Source : Le plus gros crime contre la liberté d’expression vient d’être révélé : “Les dossiers CTIL”

Quel lien entre les deux ? Et que pouvons-nous comprendre de ces morceaux de ce Puzzle si obscur ?

« Moyens de promouvoir des “contre-messages” »

Dès que nous avons exposé les articles sur Vinted, nous avions reçu de nombreuses attaques de la part des factcheckeurs, puis les médias mainstream, et il y a même eu des modifications d’articles wikipédia, pour déformer ce que je disais, et de détourner l’attention sur le fond du problème.

Là, vous avez des exemples typiques de la promotion de contre-messages, qui servent à détourner l’attention, en modifiant légèrement les informations gênantes, afin de pouvoir les attaquer. Le cas du journal Le Monde, avec l’ancien journaliste de gaming qui se prend pour un vrai journaliste en faisant des copier-coller, j’ai nommé William Audureau, est un des exemples les plus extrêmes.

Cet individu malhonnête fait exprès de mettre une image de notre émission dans laquelle nous exposions les faits, mais lisez bien le titre, et prenant une partie de l’article pour voir ce qu’il dit.

Celui qui lit est forcément induit en erreur, en croyant que nous disons ces bêtises-là, alors qu’il s’agit de propos de personnes que nous ne connaissons pas. Voyez-vous les efforts mis ici pour détourner l’attention ?

Ce que nous disions, n’a rien à voir avec ce qui est écrit dans ces articles-là. Ce que nous disions, c’est que des pédocriminels, utilisent les plateformes de vente en ligne pour leur commerce macabre. Pour le faire, ils utilisent des langages codés.

Cet exemple montre que tous ces médias, consciemment, ils utilisaient le protocole mis en place par le CTIL (sous les ordres du gouvernement de l’ombre américain, Obama, Hillary… Lisez l’article sur les dossiers CTIL pour comprendre).

« Diluer des messages défavorables« 

Mais les « contre-messages » ne sont pas le seul moyen du protocole de CTIL qui a été utilisé pour faire passer ce que nous exposions sous le tapis. Quand ils ont vu que leur première méthode ne marche pas, parce que nous ne lâchons pas l’affaire, ils ont utilisé la dilution de l’information, afin d’éviter que de nouveaux yeux tombent dessus.

Il y a deux semaines, si tu tapais Vinted sur Google ou Brave, tu tombais sur des articles de « factchecking » et de médias mainstream qui essayaient de nous décrédibiliser, mais ce n’est plus le cas :

L’entreprise est devenue tout d’un coup sujet d’un tas d’actualités de toute sorte. De là où on voyait peu le nom Vinted, on est passé à un tsunami d’articles, d’actualités et d’informations, qui font que les articles qui nous attaquaient et racontaient des bêtises malsaines, sont passés au fond des résultats. C’est ce qu’on appelle « Dilution de l’information », et c’est aussi une des méthodes du protocole CTIL.

Cela montre que les réseaux pédocriminels qui utilisaient ces plateformes de vente en ligne, ont un pouvoir bien supérieur que celui du pédocriminel qui trafique son enfant, n’est-ce pas Tristan Mendès (pauvre) France ?

L’ampleur de l’affaire change de niveau

Après Vinted, Liz Crokin vient de remettre une couche, en parlant de Etsy, un autre plateforme de vente en ligne, que nous avions abordé aussi. Liz Crokin est une journaliste qui était respectée jusqu’à ce qu’elle décide de parler de Pizzagate. Elle a sacrifié sa carrière et son image publique pour enquêter sur cette affaire si horrible.

Non, le Pizzagate n’a rien à voir avec la pizzeria « Comet ». Le non Pizzagate, vient du fait que « Pizza » est un terme codé pour dire enfant/fille, dans le langage des pédophiles. Nous tenons cette information du FBI et d’un tas d’affaires de pédocriminalité que nous avons abordé de nombreuses fois. Pizzagate vient du fait que dans les emails de John Podesta et de Hillary (tous deux impliqués et mentionnés dans le dossier CTIL), que Wikileaks et Julien Assange a rendu publiques, on lit que la Maison-Blanche fait des fêtes avec des Pizza de 65 000 dollars, ou qu« on peu louer une pizza pour une heure ». Tapez « Pizzagate » sur notre site, ou sur lesdeqodeurs.fr, et vous trouverez plus d’infos, crédibles et factuelles.

Voici ce que dit Liz Crokin dans ce Tweet :

Y A-T-IL DE LA TRAITE D’ENFANTS SUR ETSY ?

De nombreuses annonces suspectes sur Etsy amènent les gens à se demander si de la pornographie enfantine ou des enfants ne sont pas vendus à des fins sexuelles sur le site de commerce électronique.

Par exemple, une « photo de pizza » est proposée à la vente pour 9 000 dollars, avec la mention « livraison instantanée ». Sur cette photo, un téléphone portable est également placé stratégiquement dans la boîte de la pizza. (Voir ci-dessous d’autres annonces suspectes).

Il est bien établi que la pizza est un code pédophile – d’après le FBI, le DOJ, d’autres documents d’application de la loi et des articles de médias grand public tels que le rapport du Wall Street Journal datant du début de l’année – ce qui rend ces annonces encore plus alarmantes. En outre, les autorités ont pu arrêter de nombreux pédophiles parce qu’ils utilisaient la pizza comme code pédophile pour tenter d’organiser le viol d’un enfant ou l’échange de matériel pornographique mettant en scène des enfants.

Au début de l’année, Eric Carnell, le designer britannique à l’origine d’Abprallen, la marque LGBTQ qui vend des T-shirts, des pulls, des sacs et des badges sur le thème du satanisme, a annoncé sur sa page Instagram que Target avait retiré tous ses produits. Cependant, Etsy lui a toujours permis d’avoir une boutique où il vend des produits qui ont des déclarations comme « Satan Respects Pronouns » (Satan respecte les pronoms).

Malheureusement, j’ai vu de nombreuses listes suspectes comme celle-ci sur de multiples sites de commerce électronique. Depuis que le ministère de la Justice du président Trump a fermé Backpage, les trafiquants d’enfants et les pédophiles ont dû relocaliser leurs activités en ligne quelque part. Gardez cela à l’esprit !

De plus, l’administration de Biden – dont nous savons pertinemment qu’elle gère sciemment un trafic sexuel d’enfants parrainé par l’État grâce à de courageux héros dénonciateurs comme
@taraleerodas

  • prétend que les entreprises qui vendent des articles à prix élevé en ligne ne vendent pas d’enfants. Le département d’État de Joe Biden a publié cette déclaration dans son rapport sur la traite des personnes en 2021 : « Les rumeurs et les théories selon lesquelles une cabale mondiale de politiciens et de célébrités exploite des enfants, que les entreprises qui vendent des meubles ou d’autres articles à prix élevé en ligne vendent également des enfants disparus… sont toutes infondées et perpétuent de faux récits sur les réalités de la traite des êtres humains. »

Le fait que le département d’État du trafiquant en chef affirme que ce n’est pas le cas alors qu’il dirige un trafic d’enfants parrainé par l’État me porte à croire qu’il sait qu’un trafic d’enfants a lieu en ligne. Ils tentent d’éclairer le public et de le décourager de mener une enquête citoyenne sur les signaux d’alarme comme ceux qui existent ici sur Etsy.

À titre personnel, ma boutique a été bannie d’Etsy il y a plusieurs années, et ils ne m’ont même pas autorisé à vendre des articles « Child Lives Matter » sur leur site.

Liz Crokin tague le Général Flynn dans son poste, qui à son tour, retweet le post de Liz, en ajoutant :

Mike Flynn : « Hey @Etsy. Je voudrais une explication pour ces posts suspects, et je voudrais encore une explication sur la raison pour laquelle je ne suis pas autorisé à vendre des produits « Child Lives Matter » alors que vous approuvez des produits qui font la promotion de Satan !« 

Mike Flynn est un général haut gradé, qui fut le responsable de la securité d’interieur pendant Trump, avant qu’il se fasse arrêter pour des raisons qui se sont averées « politiquement motivées ». C’est quelqu’un qui connait bien ce genre de sujets, et a déjà parlé de Pizzagate, ou des dossiers revelés par Wikileaks et Julien Assange.

Comme vous pouvez voir, Ce que nous dénoncions sur le trafic d’enfants est à prendre très au sérieux.

TOUS CEUX QUI OEUVRENT CONSCIEMENT (OU PAS) POUR COUVRIR CES CRIMES, ET/OU QUI PREFERENT PASSER LEUR TEMPS À CHERCHER DES MOYENS POUR NOUS ATTAQUER, AU LIEU DE S’ALLIER AVEC CEUX QUI OEUVRENT POUR ARRÊTER CETTE FOLIE, SERONT TENUS RESPONSABLES !!!