Les dossiers CTIL, la suite explosive
— A.D.N.M (@adnm_live) December 13, 2023
Le plus grand scandale lié à la liberté d’expression vient d’éclater en Occident. Un lanceur d’alerte vient de publier des documents qui nous permettent de constater l’existence d’un groupe opérant dans l’ombre, à l’origine de la censure… pic.twitter.com/vqA9jSxrSX
Intro avec un rappel important
Le plus grand scandale lié à la liberté d’expression vient d’éclater en Occident. Un lanceur d’alerte vient de publier des documents qui nous permettent de constater l’existence d’un groupe opérant dans l’ombre, à l’origine de la censure dans tout l’Occident.
Ce groupe s’appelle “Cyber-Thread Intelligence League”, signifiant “Ligue de renseignement du cyberespace”. Ce groupe trouve ses origines dans le gouvernement américain qui a collaboré avec le gouvernement britannique pour contourner l’utilisation du renseignement lié à la menace cybernétique, affirmant qu’un cerveau humain est piratable de la même façon, donc les mêmes principes qui sont utilisés pour protéger les ordinateurs des piratages doivent être appliqués pour protéger les humains du piratage intellectuel.
C’est là qu’a commencé à émerger l’idée de la sécurité cognitive.
Ces dossiers expliquent comment le gouvernement américain a contourné la loi en utilisant le secteur privé pour censurer et attaquer, en diffamant les personnes divergeant de la rhétorique. Ces dossiers révèlent aussi les méthodes utilisées par ce groupe obscur qui utilisait de faux comptes ou carrément des visages créés par l’intelligence artificielle afin de contrôler le discours et d’attaquer toute forme d’opposition.
On apprend aussi que des formations pour créer des influenceurs ont eu lieu, et ces influenceurs ont été utilisés comme armes pour défendre le discours. On apprend aussi l’existence d’individus qui servaient à infiltrer des groupes d’opposition dans le but de les détourner ou de collecter de l’information de l’intérieur.
Les dossiers rendus publics par ce lanceur d’alerte ont pu être authentifiés et sont actuellement entre les mains du congrès dans le cadre d’une enquête concernant l’utilisation des réseaux sociaux et du secteur privé comme arme politique. Ce scandale dépasse celui de Twitter-Files et de Facebook-Files, car il en est à l’origine.
Pour ceux qui ne l’ont pas lu ou partagé…
Ces dossiers expliquent parfaitement l’existence d’une industrie de la censure qui utilise des groupes d’individus qui sont là pour attaquer l’opposition sur les réseaux sociaux, des influenceurs formés pour “influencer” l’opinion publique dans la mauvaise direction (Thomas Durant, William Audureau), des fact-checkeurs tels que Julien Pain, mais aussi des entités plus centrales comme Tristan Mendes France, Rudy Reichstadt et aussi des institutions comme la Mivilude. Évidemment, l’implication des réseaux sociaux, des médias traditionnels et du secteur privé y est également mentionnée.
On apprend par ailleurs qu’Emmanuel Macron a été un fervent utilisateur de ce protocole de censure pour contrôler le discours en France, aidé par les médias traditionnels et toutes les entités mentionnées ci-dessus.
Beaucoup de choses deviennent claires grâce à ces dossiers apportés par ce lanceur d’alerte qui nous permettent de comprendre ce qui s’est passé au cours des quatre dernières années concernant la COVID, mais pas seulement.
Il est de notre devoir en tant qu’êtres humains de rendre ces informations publiques et de les mettre sous les yeux de tous afin que le public comprenne ce qui se joue en arrière-plan de tout ce cirque politiquo-médiatique.
Voici un extrait de l’article ci-dessus, qui apporte des explications claires sur un tas de sujets que nous abordons et des choses que nous faisons depuis 2020.
L’approche du CTIL en matière de désinformation allait bien au-delà de la censure. Les documents montrent que le groupe s’est engagé dans des opérations offensives pour influencer l’opinion publique, en discutant des moyens de promouvoir des “contre-messages”, de coopter des hashtags , de diluer des messages défavorables, de créer des comptes de marionnettes fictives et d’infiltrer des groupes privés sur invitation uniquement.
Source : Le plus gros crime contre la liberté d’expression vient d’être révélé : “Les dossiers CTIL”
Pourquoi c’est important ?
Outre le fait que ces dossiers exposent un véritable complot mené par des acteurs étatiques occidentaux, pour censurer et attaquer les défenseurs de l’esprit critique et de la liberté d’expression, ces dossiers révèlent leur plan, leurs stratégies et leurs méthodes, et permettent de le contrer quand c’est nécessaire.
D’une certaine façon, c’est comme si on avait eu accès au plan de guerre de l’ennemi dans une guerre. Tu sais où placer ta défense et par où attaquer pour faire un maximum de dégâts, en prenant un minimum de risques. N’oubliez pas qu’on parle de guerre d’information (5GW) et ces dossiers révèlent que « les ennemis de la liberté d’expression » la prennent comme telle, et y accorde l’importance nécessaire, impliquant même des stratégies militaires.
Étudier et partager ces dossiers se révèle extrêmement utile et efficace pour défendre la liberté d’expression. Grâce à ces dossiers, on remarque que leur pouvoir « magique » d’invisibilité est en train de perdre sa force, et cela les rend faibles et fragiles. De ce fait, une bête qui se sent menacée, réagit immédiatement, et vu d’où vient la réaction, on comprend l’ampleur des dégâts apportés par les dossiers CTIL dans le camp ennemi.
La réaction n’a pas tardé de l’UNN
(ou l’Union des Nations Nazies, j’ai nommé l’UE)
Dans les dossiers CTIL, on apprend l’implication et la collaboration de l’UE dans l’industrie de la censure. Alors, est-ce une réponse de l’UE pour essayer de faire passer ces révélations sous le tapis ?