Le plus grand scandale de la politique occidentale vient d’éclater aux USA. Le nom du scandale est dans la vignette, accompagnée par d’autres détails qu’on va aborder au live. Le trio se retrouve pour aborder l’actualité avec distance, et faire aussi le point par rapport à où nous en sommes.
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Nous avons notre propre tchat
Affin d’éviter la toxicité des réseaux sociaux, j’ai mis en place notre propre tchat, pour lequel j’ai mis en place des outils pour nous protéger des bots, et rendre la vie des « trolls professionnels » compliquée. La modération est assurée par ceux qui géraient le tchat Telegram (Loulou et Neoneo), mais aussi, par tous les utilisateurs du tchat, qui peuvent signaler l’arrivée des trolls.
Rigolons
Le Gouvernement Mondial de l’OTAN (et d’Obama) via des institutions « discrètes » (OGP, OGH…)
Une grande partie de ce qui est abordé ce soir, est un résumé adapté du travail extraordinaire de Bad Kitty, et d’un courageux « DéQodeur » qui préfère rester anonyme. Ces deux sources précieuses m’avaient beaucoup aidé aussi avec les recherches concernant les dossiers CTIL et le Framework DISARM. Un énorme merci à eux pour leur aide si précieuse.
Parlons Obama et OTAN
Il semblerait que les proportions de ce qu’on appelle Obamagate dépassent même l’imaginaire des plus avertis. C’est pendant la présidence d’Obama qui ont été mis en place la plus part des outils utilisés par l’état profond. C’est aussi la raison pour laquelle il fallait lui donner une très bonne image avec le prix Nobel de la Paix qu’il avait reçu. Il semblerait qu’Obama avait vraiment beaucoup de choses à cacher…
Quand Trump avait été élu, il ne fallait surtout pas qu’il découvre toutes ces choses, alors encore une fois, Obama à abusé de son pouvoir pour mettre Trump sur écoute, et pour essayer de le faire tomber à tout prix. C’est ce scandale qu’on appelle Obamagate, et dans cette émission, nous allons découvrir une des choses qu’Obama voulait cacher… Son implication à la création du premier Gouvernement Mondial…
Et si je te disais qu’il existe une institution officielle internationale qui donne des ordres à ton gouvernement ? Comment tu l’appellerais cette institution qui sert à « gouverner » les gouvernements ?
Et si je te disais qu’il y a plein de petites institutions de ce genre, qui servent à coordonner des actions qui visent à retirer le pouvoir démocratique, pour le transformer en pouvoir institutionnel international ?
On a longuement parlé du Framework DISARM, en expliquant qu’il s’agit d’un outil mis en place par des « organes » de l’OTAN (MITRE), pour coordonner les efforts du contrôle du « narratif ». Cet outil permet la coordination de ceux qui œuvrent sur les médias et les réseaux sociaux sur internet. L’outil qu’on va découvrir ce soir, est un outil de coordination pour les gouvernements.
Cette fois, il s’agit de révélations concernant plusieurs institutions « discrètes », qui rend possible des collaborations qui seraient illégales en temps normal. Avant de poursuivre, j’aimerais rappeler un extrait d’une interview de Tucker Carlson avec Mike Benz que nous avons abordé en Février.
Selon Mike Benz, l’OTAN contrôle les élections en occident depuis 2014. L’argument utilisé souvent pour cette ingérence OTANésque, c’est un certain « article 5 » de la convention de l’OTAN.
OTAN article 5
L’article 5 du Traité de l’Atlantique Nord (OTAN) stipule que si un pays de l’OTAN est victime d’une attaque armée, chaque membre de l’Alliance considérera cet acte de violence comme une attaque armée dirigée contre l’ensemble des membres et prendra les mesures qu’il jugera nécessaires pour venir en aide au pays attaqué.
En d’autres termes, l’article 5 prévoit une assistance mutuelle entre les pays de l’OTAN en cas d’attaque armée contre l’un d’eux, ce qui signifie que chaque membre de l’Alliance est tenu de prendre des mesures pour aider le pays attaqué, y compris l’emploi de la force armée si nécessaire.
Cet article a été invoqué à plusieurs reprises dans l’histoire, notamment après les attentats du 11 septembre 2001, lorsqu’il a été déclaré que l’attaque contre les États-Unis était considérée comme une attaque armée dirigée contre l’ensemble des membres de l’OTAN.
En résumé, l’article 5 de l’OTAN est un engagement solide de solidarité et de défense collective entre les pays de l’Alliance, qui garantit que si un pays de l’OTAN est attaqué, les autres membres de l’Alliance prendront des mesures pour le aider et pour rétablir la sécurité dans la région de l’Atlantique Nord.
Dans cet extrait, Mike Benz parle de l’OTAN, et de leur obsession à utiliser la Russie comme menace extérieure, pour justifier l’ingérence au sein de pays membres. Mike Benz était le responsable cybernétique au département d’état américain.
Les institutions discrètes
Open Government Partnership (OGP)
Avant de poursuivre, je voudrais vous présenter deux institutions qui œuvrent main dans la main, pour être une sorte de centre de coordination, pour les gouvernements, les institutions gouvernementales, et les systèmes judiciaires des pays membres. Il est important de noter que la naissance de ces institutions, ont eu lieu sous Obama…
Le Partenariat pour un gouvernement ouvert (PGO) est une initiative multilatérale qui permet aux gouvernements nationaux et infranationaux de s’engager à promouvoir un gouvernement ouvert, à lutter contre la corruption et à renforcer la gouvernance. L’OGP est supervisé par un comité directeur composé de représentants de gouvernements et d’organisations de la société civile.
En 2011, des dirigeants gouvernementaux et des défenseurs de la société civile se sont réunis pour créer un partenariat unique, qui combine ces forces puissantes pour promouvoir une gouvernance transparente, participative, inclusive et responsable.
Les Open Government Partnership (OGP) comprend 75 pays et 104 gouvernements locaux – représentant plus de deux milliards de personnes* – et des milliers d’organisations de la société civile.
*ces « plus de deux milliards de personnes » n’ont aucune idée de l’existence de cette institution qui impacte leurs vies…
Voici une vidéo de présentation de l’OGP, qui incarne parfaitement l’expression « l’enfer est pavé de bonnes intentions » pour de nombreuses raisons :
Et la France ?
Bien entendu, la France y est impliquée également, et avec une lecture rapide sur le site du gouvernement français, on apprend beaucoup plus sur le rôle et les mécanismes de l’OGP :
Le Partenariat pour un gouvernement ouvert associe, dans une même structure internationale, les gouvernements et la société civile à la même table et avec le même pouvoir d’initiative et de décision.
Lieu de partage de bonnes pratiques, le PGO offre une plateforme pour mettre en relation, développer et stimuler la communauté des réformateurs de l’Etat à travers le monde.
Tous les deux ans, les pays membres élaborent, en concertation avec la société civile, des plans d’actions nationaux pour deux ans, qui rassemblent leurs engagements en faveur d’une action publique transparente et collaborative.
La gouvernance du Partenariat est collégiale, associant Etats et organisations de la société civile : un Comité Directeur rassemble 11 représentants des gouvernements nationaux et 11 représentants de la société civile et fixe les grandes orientations du Partenariat.
Mais attendez, car ce n’est pas tout…
Open Government Hub (OGH)
Même si le OGP arrive à réunir des gens et des entités qui n’ont rien à faire ensemble, ils sont limités par une structure légale qui empêche un certain type de rencontres, (par exemple, entre gens du gouvernements, des militaires, le secteur privé, des journalistes…). Les institutions qui peuvent avoir des conflits d’intérêts sont « limitées » par des « cloisons » légales. Pour cela, toujours pendant Obama, on a eu la création du Open Government Hub (OGH).
L’Open Gov Hub a été fondé en 2012 pour briser les cloisonnements traditionnels entre les différents secteurs et organisations et pour catalyser le partage et la collaboration nécessaires pour relever les défis mondiaux de notre époque, en particulier ceux liés à la bonne gouvernance et à l’ouverture des gouvernements.
En réunissant des chercheurs, des analystes de données, des communicateurs, des technologues, des avocats, des journalistes et bien d’autres, nous avons commencé à découvrir l’énorme potentiel de ce modèle thématique de co-localisation et de collaboration, en particulier lorsque nous avons travaillé sur des questions liées à l’opengov dans de nombreux pays et contextes différents.
L’année de notre création a été un moment clé*. Une fenêtre d’opportunité est apparue pour capitaliser sur l’élan autour d’un nouveau mouvement mondial pour un gouvernement ouvert. Ce terme a commencé à prendre son essor en 2011, lorsque le président Obama a annoncé la création du « Open Government Partnership » lors de l’Assemblée générale des Nations unies de cette année-là, en réponse à l’historique Printemps arabe et à d’autres mouvements sociaux alimentés par les citoyens dans le monde entier. Parallèlement à ce mouvement, une croissance exponentielle du nombre de hubs physiques, tels que les espaces de coworking, les incubateurs et les centres de ressources, a commencé à être mise en place dans le monde entier.
Grâce à une vision claire et à la rencontre fortuite de l’engagement et des ressources nécessaires entre nos deux organisations non gouvernementales fondatrices – Global Integrity et Development Gateway – le Hub Open Gov a été lancé et un nouveau véhicule d’impact social est né.
*Alors puisque l’année de création a été un moment clé, je vous propose de regarder cet autre extrait de l’interview de Mike Benz :
DARPA = Defense Advanced Research Projects Agency (« Agence pour les projets de recherche avancée de défense ») est une agence du département de la Défense des États-Unis chargée de la recherche et développement des nouvelles technologies destinées à un usage militaire.
Donc ces institutions étaient créées au moment où l’OTAN venait de provoquer le « printemps arabe », signe du succès de leurs opérations de manipulation de masses via les réseaux sociaux et les médias mainstream. Puisqu’ils contrôlaient le narratif dans tous ces aspects, ils se sont permis la création de ce genre d’institutions qui sont fondamentalement anti-démocratiques. En gros, votes pour qui tu veux. Si le OGP donne « un ordre » à la France, depuis 2014, la France exécutera cet ordre, même si ce dernier va contre les intérêts des français, et cela s’applique aussi pour les autres pays membres.
Les conflits d’intérêts
Soros et le Open Society Foundation
Le « Open Government Partnership » pose problème pour de nombreuses raisons. Tout ceci révèle que les gouvernements nationaux n’ont pas le dernier mot sur les décisions politiques nationales, qui sont fortement influencées par ce genre d’institutions, qui sont incapables de représenter les intérêts des populations nationales. Mais alors la question se pose… Qui profite de l’existence de ce genre d’institutions ? Une réponse possible pourrait venir en regardant les finances du OGP :
Le Open Society Foundation de Georges Soros est un des plus importants « donateurs » de cette institution mis en place par Obama ? Donc, pour résumer, Georges Soros est un des plus grands donateurs d’une institution internationale mise en place par Obama, qui met en priorité des intérêts globalistes mystérieuses devant la volonté des peuples nationaux, donc antidémocratique, et qui vise à « gouverner » les gouvernements ?
Mais il y a aussi toutes ces entités étatiques qui mettent la main dans la poche. Pourquoi l’Agence française du développement (AFD) a fait un don d’un million d’euros à l’OGP ? Pourquoi la Comission Européenne fait des dons d’un total de 5,5 millions d’euros à cette institution ? La même institution qui reçoit beaucoup d’argent de Soros ? Et ils ne sont pas les seuls…
OGP et OGH, 2 faces d’une même pièce
Autre détail important, il semblerait que le Open Government Partnership et le Open Government Hub partagent la même adresse, dans le centre de OGH.
1100 13th Street, NW, bureau 800, Washington DC, 20005
Et voici une image de l’intérieur de ce centre :
Donc OGP et OGH, même combat sur différents niveaux, avec d’autres institutions qu’on va voir peut-être dans une autre émission.
Nada Zohdy et la Fondation Obama
Je vous présente l’actuelle responsable du réseau mondial de la Fondation Obama et l’ancienne directrice de l’Open Gov Hub, Nada Zohdy. On a parlé de l’importante du moment où ont été créées ces deux entités, le OGP et le OGH, juste après le printemps arabe… Jetons un coup d’œil sur le « pedigree » de cette personne :
Nada Zohdy est l’actuelle responsable du réseau mondial de la Fondation Obama et l’ancienne directrice de l’Open Gov Hub. Elle a été consultante en matière d’engagement civique pour des institutions multilatérales (comme la Banque mondiale et l’OCDE), des fondations philanthropiques (comme le Democracy Fund et le Pillars Fund) et des ONG (comme le Participatory Budgeting Project et l’Open Government Partnership). Auparavant, elle a été coordinatrice du programme fondateur pour les partenariats avec la société civile au sein du Project on Middle East Democracy (POMED), où elle a créé un programme qui continue aujourd’hui à encadrer et à mettre en relation une douzaine de groupes de surveillance et de groupes de réflexion locaux dans les pays arabes en transition, dans le sillage du printemps arabe.
Elle a activement participé à l’opération de l’OTAN concernant le « printemps arabe » mentionné par Mike Benz, juste avant la création de ces institutions, et elle est toujours active dans ce secteur, puisque selon la description qu’on trouve sur le site de OGH, « elle a créé un programme qui continue aujourd’hui à encadrer et à mettre en relation une douzaine de groupes de surveillance et de groupes de réflexion locaux dans les pays arabes en transition, dans le sillage du printemps arabe.«
On pourrait imaginer que la raison pour laquelle Nada Zohdy se trouve impliqué au printemps arabe, au OGP et au OGH, c’est peut-être parce que le OGP et le OGH ont été créés pour récupérer le pouvoir des pays qui avaient fait le « pacte avec l’OTAN ». Nada Zohdy permet de faire le lien entre l’OTAN, le printemps arabe, le OGH et le OGP, Obama, et la Fondation Obama. En effet, Obama semble avoir été utilisé pour mettre en place une opération internationale d’ingérence de l’OTAN vers des pays cible.
Le OGP et le OGH géraient la coordination politique et judiciaire, alors que d’autres institutions comme MITRE, géraient le narratif, les médias et les réseaux sociaux. C’est très intéressant de voir comment l’OTAN et l’état profond utilisent des « ONG » et des « Fondations » pour mener à bien leur mission…
Bien entendu, il y a une tonne d’autres liens à faire, mais trop d’informations rendront l’émission indigeste. Vous pouvez les faire vous-mêmes en explorant les liens officiels de ces institutions, ou d’autres liens officiels que vous trouverez dans l’article de cette émission.
Les membres du OGH
Ce qui est intéressant, c’est la liste des membres du OGH :
On y trouve le Open Government Partnership, mais aussi, des entités surprenantes tels que :
World Wide Web Foundation
La World Wide Web Foundation a été créée en 2009 par l’inventeur du web, Sir Tim Berners-Lee, et Rosemary Leith pour promouvoir le web ouvert en tant que bien public et droit fondamental. Nous sommes une organisation internationale indépendante qui lutte pour un monde où chacun a un accès abordable et significatif à un web qui améliore sa vie et où ses droits sont protégés.
Wikimedia Foundation
La Fondation Wikimedia est l’organisation à but non lucratif qui héberge Wikipédia et d’autres projets de connaissance libre. Nous voulons faciliter le partage des connaissances de chacun. Pour ce faire, nous veillons à ce que les sites de Wikipédia et de Wikimedia soient rapides, fiables et accessibles à tous. Nous protégeons les valeurs et les politiques qui permettent à la connaissance libre de prospérer. Nous développons de nouvelles fonctionnalités et de nouveaux outils pour faciliter la lecture, l’édition et le partage à partir des sites Wikimedia. Par-dessus tout, nous soutenons les communautés de bénévoles du monde entier qui modifient, améliorent et ajoutent des connaissances dans le cadre des projets Wikimedia.
Mais aussi, une série d’institutions qui se focalisent sur les datas et les élections.
Ingérence électorale de l’OTAN
Voici une parmi ces institutions :
The Center for Election Science
Fondé en 2011, le Center for Election Science est une organisation nationale non partisane à but non lucratif qui se concentre sur la réforme du vote.
- Notre mission – Donner aux gens les moyens d’utiliser des méthodes de vote qui renforcent la démocratie.
- Notre vision – Un monde où les démocraties prospèrent parce que les voix des électeurs sont entendues.
En mettant l’accent sur le vote par approbation, nous offrons de meilleures élections aux citoyens de tout le pays par le biais de la sensibilisation et de la recherche.
Le mouvement en faveur d’une meilleure façon de voter gagne rapidement du terrain, car les électeurs se lassent des résultats électoraux qui ne représentent pas la volonté du peuple. En 2018, nous avons travaillé avec les habitants de Fargo, dans l’État de New York, pour les aider à devenir la première ville des États-Unis à adopter le vote par approbation. Et en 2020, nous avons aidé les militants de base à donner aux 300 000 habitants de St. Louis, MO, une démocratie plus forte grâce au vote par approbation.
Pourquoi un « centre de sciences électorales » serait membre du OGH ? Et pourquoi un des plus gros acteurs du secteur des élections liste parmi ses clients le OGP ?
Scytl
Scytl Election Technologies S.L.U. (également stylisée SCYTL) est un fournisseur espagnol de systèmes de vote électronique et de technologies électorales. Fondée en 2001 à Barcelone, ses produits et services sont utilisés lors d’élections et de référendums dans le monde entier.
Scytl est détenue par Innovative Solutions Ecosystem, S.A (Paragon Group). Scytl est l’une des plus grandes sociétés de services électoraux, tout comme son concurrent Dominion Voting Systems.
Les produits de Scytl couvrent l’ensemble du processus électoral, y compris la planification
électorale, l’inscription des électeurs en ligne, la gestion des agents électoraux, la livraison
des bulletins de vote électroniques, le vote en ligne, la consolidation des résultats et les
rapports de soirée électorale.
Parmi les clients de Scytl, on trouve le Conseil de l’Europe, le Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères (France), le Ministère de l’Éducation (France), le Parlement Européen…
mais aussi…
Pourquoi un leader en outils d’élections compte parmi ses client le OGP ?
Conclusion
Nous venons de découvrir quelques mécanismes utilisés par l’OTAN, pour combattre la volonté des populations, et d’imposer leur volonté à eux… C’est une révélation majeure. C’est ça « les révélations ». J’aurais bien aimé vous dire qu’on a fini avec le sujet, mais ce n’est qu’une introduction. Dans les émissions à suivre, on va essayer de tirer sur ce fils rouge, ou celui du Framework DISARM et des dossiers CTIL, car tous ces fils rouges emmènent à la même conclusion…