L’ingérence américaine au Niveau Européen

Introduction

Dans l’extrait du live ci-dessous, nous avons vu qu’une entité appelée JTI (Journalism Trust Initiative), avait mis en place un « Code de Bonnes Pratiques » concernant le contrôle de l’information. Ce code avait été ensuite rendu « volontairement obligatoire » à l’UE, et plus ou moins toutes les grandes institutions européennes (publiques ou privées) avait signé pour l’appliquer.

Newsguard et le Pentagone

On avait vu aussi que parmi les acteurs importants du JTI, il y avait Facebook, Google et NewsGuard. On avait vu les liens clairs entre NewsGuard avec le Pentagone et le gouvernement américain.

Newsguard a d’abord développé l’ensemble de données Misinformation Fingerprints, aujourd’hui utilisé pour la censure, pour le compte du Pentagone et du département d’État américain… En septembre 2021, NewsGuard a reçu une subvention dans le cadre du programme Small Business Innovation & Research, qui finance des entreprises en phase de démarrage pour développer des produits et des technologies qui peuvent être utiles au gouvernement. Dans le cadre de cette subvention, NewsGuard prévoit de poursuivre le développement de l’outil Misinformation Fingerprints et de tester l’efficacité des Fingerprints dans la détection des campagnes de désinformation parrainées par l’État. NewsGuard est un PARTENAIRE du Laboratoire national de Los Alamos du ministère américain de l’énergie. Et le Pentagone équipe également l’armée américaine de Newsguard… Newsguard est en partenariat avec le German Marshall Fund (GMF), financé par les États-Unis (USAID) et la Commission européenne.

Facebook, Google, et services de renseignements américains

Elon Musk a partagé des millions et des millions de ses suiveurs un thread, qui parle de la collaboration entre services de renseignements américains, et le secteur privé, comme Facebook et Google.

J’ai mis sur le site la traduction de l’ensemble du thread, qui est très intéressant, car il prouve par des arguments factuels et vérifiables, que Facebook et Google sont des outils du Pentagone, qui utilise la CIA, le FBI, la NSA, et d’autres services de renseignements, pour les infiltrer et prendre le contrôle. Je vous lis juste le début du thread pour vous donner une idée :

Google et Meta fonctionnent comme des extensions de la communauté du renseignement américain. Jacqueline Lopour, responsable de la confiance et de la sécurité chez Google, et Aaron Berman, responsable de la politique en matière de contenu électoral et de désinformation chez Meta, sont tous deux des officiers de carrière de la CIA, ce qui souligne le contrôle substantiel exercé par la CIA sur la censure en ligne.
Pourquoi cette porte tournante CIA-Big Tech, où des officiers de carrière de la CIA exercent le pouvoir de censure et décident de ce qu’est la désinformation, est-elle délibérément occultée dans le débat plus large sur la censure ?
Pourquoi des officiers de carrière de la CIA comme Jacqueline Lopour et Nick Rossmann, qui ont tous deux un passé de diffuseurs de fausses informations et de promoteurs de la théorie du complot RussiaGate, occupent-ils aujourd’hui des postes à responsabilité au sein du département Trust & Safety de Google, où ils décident de ce qu’est une fausse information et supervisent la modération du contenu ?
Le nombre cumulé d’anciens membres du personnel de la communauté du renseignement embauchés par Meta et Google depuis 2018 est stupéfiant. Avant 2018, il n’y en avait qu’une poignée. Voici les embauches combinées des deux entreprises :
CIA-36
FBI-68
NSA-44
DHS/CISA-68
Département d’État-86
DOD-121

Reporters Sans Frontières

Sur le site du JTI, on apprend que l’institution a été initiée par « Reporteurs Sans Frontières » :

LA GENESE

L’Initiative pour la Confiance dans le Journalisme a été lancée et est gérée par l’ONG Reporters Sans Frontières (RSF), basée à Paris, qui veille à la liberté de la presse et aux droits de l’homme, avec le soutien de partenaires tels que l’Union Européenne de Radio-Télévision (UER) et l’Agence France Presse (AFP).

Elle a été élaborée par un panel de 130 experts comprenant des journalistes, des institutions, des organismes de régulation, des éditeurs et des acteurs des nouvelles technologies sous l’égide du Comité européen de normalisation (CEN) et publiée en tant qu’accord d’atelier CWA 17493 en décembre 2019.

En allant faire un tour sur le site des RSF, on tombe sur cette page, qui contient ce lien vers le bas de la page :

En cliquant sur le lien, on tombe sur ce rapport annuel des RSF :

Lien vers le rapport, sur le site des RSF

À la page 34 de ce rapport, on apprend plus sur les partenaires financiers des RSF :

Il s’agit d’une institution journalistique, qui n’est pas sensé travailler avec le gouvernement, et qui pourtant, se trouve entourée d’institutions étatiques nationales et européennes. Un journaliste qui travaille avec l’état, et qui est financé par l’état, n’est pas un journaliste, mais un propagandiste. Là, c’est toute l’institution qui est couché devant le gouvernement.

Ce qui est encore plus « anormal », c’est la présence de Open Society Foundations, une fondation de Georges Soros, qui n’a vraiment rien à faire là, surtout quand on se penche sur le nom Soros. Les ONG et les Fondations semblent être des outils puissants pour passer au dessus des démocraties et l’intérêt du peuple.

N’oublions pas que dans les partenaires du JTI, il y a aussi France TV, AFP et AP, organisations qui sont des sources d’informations centrales pour le narratif mainstream. En comprenant les liens entre le Pentagone, le gouvernement américain, les services de renseignements américains, les institutions privées américaines, et les façons que ces dernières se permettent d’imposer des choix politiques qui impactent le peuple européen à travers le « Code de Bonnes Pratiques » du JTI, nous pouvons commencer à voir l’ingérence américaine au niveau européen.