Révélations 5 – Le deux premiers “Reich”, la Prostituée et la Bête

Le pire moment de l’histoire est la 2ᵉ Guerre Mondiale. Cette dernière a mis fin à ce qui était appelé le “3ᵉ Reich”, qui n’a duré que quelques années. Mais si ce “Reich” était le troisième, quels sont les deux autres ? Nous devons passer par ces explications, sans quoi, la version du “complot Prusse” reste incomplète.

Avant de poursuivre, je vous conseille fortement de prendre le temps de regarder le dernier “épisode” de la série Révélations :

Le premier Reich

Le premier Reich est connu sous le nom de “Saint-Empire romain germanique”.

Le “Saint-Empire romain germanique”, selon la terminologie francophone usuelle, est un État d’Europe ayant existé de 962 (couronnement d’Otton Ier) à 1806 (abdication de François II). Cet État, issu de la décomposition de l’Empire carolingien, a joué un rôle important dans l’histoire de l’Europe au Moyen Âge, notamment du fait du conflit entre les empereurs et les papes, et pendant les Temps modernes. Sa disparition aboutit à l’établissement de l’empire d’Autriche (empire d’Autriche-Hongrie à partir de 1867) et de la confédération du Rhin, à laquelle succédera la Confédération germanique (1815) puis l’Empire allemand (1871) (qui est le 2ᵉ Reich)…

Analyse utile

Ici, on doit faire une pause, pour rappeler que ce qui compte dans le christianisme, c’est l’exemple que le Christ a donné, pas ce que les humains ont fait avec. De ce fait, tous ceux qui prétendent œuvrer au nom du Christ, doivent être comparé au Christ LUI-même.

Le Christ des Inconnus était un sketch, mais ce sketch rappelle un peu trop la façon que le pas très saint empire romain germanique a propagé la parole du Christ, qui ressemblait aux méthodes prussiennes “vous êtes avec nous ou contre nous”, qu’on a abordé à l’épisode 4 de la série Révélations. Le mal-saint empire romain germanique a déclenché de nombreuses guerres, qui ont versé beaucoup de sang, et c’était un ennemi idéologique et “spirituel” direct du christianisme orthodoxe.

Cette corruption du christianisme occidental a provoqué le schisme de 1054, qui désigne la rupture survenue le 16 juillet 1054 entre l’Église de Rome (Occident) et l’Église de Constantinople (Orient). La descendance de l’Église de Rome est aujourd’hui l’occident, et la descendance de l’Église de Constantinople, c’est l’orthodoxie de l’Est, avec comme épicentre, la Russie. Depuis, les deux grandes églises se battent entre elles, avec une qui cherche à s’étendre, et l’autre qui cherche à se défendre…

Les forces derrière le mal-saint empire romain germanique, sont celles qui ont posé les bases pour ce qui allait devenir l’occident d’aujourd’hui. Cette histoire du premier Reich explique également pourquoi l’Italie a combattu directement aux côtés d’Hitler, avec la bénédiction du Vatican.

Adolf Hitler salue le Reichsbischof (“évêque du Reich”) Ludwig Müller (portant la croix teutonique), archevêque protestant de Nuremberg, lors du congrès du parti nazi (NSDAP Parteitag) qui s’est tenu à Nuremberg en septembre 1934. L’abbé catholique (bénédictin) Albanus Schachleiter se tient entre Hitler et Müller.

Le véritable christianisme était mort avec la disparition des Mérovingiens. L’église de Rome a été infiltrée depuis longtemps, et a fini par toucher le fond avec le Pape actuel, qui en plus d’avoir abandonné le rôle de Vicaire du Christ, il refuse aux chrétiens de prêter allégeance à l’histoire de l’église.

Dans son édition 2020, l’»Annuario Pontifio», l’annuaire du Vatican publié chaque année avec toutes les informations sur la hiérarchie de l’Eglise catholique, laisse tomber la désignation du pape comme «Vicaire de Jésus-Christ». Cette mention est reléguée comme «titre historique» dans une note de bas de page. Pour le cardinal Gerhard Ludwig Müller, il s’agit là de rien moins qu’une «barbarie théologique».

Le Christ appelait “prostituées” les institutions religieuses de son époque, parce qu’elles prétendaient servir Dieu, mais en réalité, utilisaient leur autorité et pouvoir pour eux-mêmes, et “vendaient” leurs services spirituels contre de l’argent ou du pouvoir. La prostituée de l’époque, étaient les Pharisiens, Zélotes, et tous ceux qui utilisaient le nom de Dieu pour dominer, diviser, asservir… La prostituée d’aujourd’hui, c’est l’institution qui siège au Vatican, qui est descendante directe du 1ᵉʳ Reich.

Le deuxième Reich

Le 2ᵉ Reich allemand est né le 18 janvier 1871 par la proclamation du roi de Prusse Guillaume Ier comme empereur allemand au château de Versailles. Son ministre-président Otto von Bismarck, après l’échec du mouvement nationaliste de 1848, avait entrepris de réaliser l’unité au profit de la Prusse « par le fer et par le sang ».

L’Ennemi Invisible : La montée et la dissimulation de l’Empire Prussien dans l’Ordre Mondial

Source

Voici l’histoire de la Prusse. La Prusse est un empire qui n’existe plus, une dynastie royale qui n’existe plus, un État qui n’existe plus. Du moins, aux yeux du public. La Prusse est désormais cachée, invisible, et profondément infiltrée dans presque tous les États-nations ainsi que dans la matrice des corporations qui contrôlent les gouvernements. C’est l’histoire d’un Terrible Ennemi Invisible.

L’histoire d’une Grande Idée ; un Nouvel Ordre Mondial

L’Acte de 1871 a modifié la “Constitution originale” des Pères fondateurs des États-Unis, la “Constitution des États-Unis d’Amérique”, en la transformant en “CONSTITUTION DES ÉTATS-UNIS D’AMÉRIQUE” en 1871. Le Congrès de “Nous, le peuple” (We The People), qui a été organisé PAR/POUR le peuple en 1871, a reconnu que les “États-Unis d’Amérique” étaient en difficulté financière en raison des dettes contractées pendant la guerre de Sécession. Le Congrès a accepté d’être renfloué de l’énorme dette de guerre par les banquiers internationaux (ou “Banksters”, comme on les appelle aujourd’hui). Mais ces banquiers vraiment diaboliques voulaient des “garanties” significatives avant de prêter de l’argent à une nation encore jeune. Les banquiers ont concocté un plan pour obtenir des garanties en échange du prêt, ce que le Congrès a accepté en adoptant l’Acte de 1871.

On parle de ces banquiers dans le premier épisode de la série Révélations :

Beaucoup connaissent l’Acte de 1871, mais beaucoup ignorent qu’un mois avant cet acte, le roi de Prusse est devenu le Kaiser de l’Allemagne unifiée ; et que quatre mois après cet acte, un traité a été signé entre les États-Unis et la Grande-Bretagne, après un siècle de rivalité amère ; et que le Kaiser a été désigné comme arbitre de tous les différends liés à ce traité.

Petite précision qui joue son rôle, Kaiser (du latin Caesar, au féminin Kaiserin) est un mot allemand signifiant empereur et fut un titre impérial porté par les : souverains du Saint-Empire ; empereurs d’Autriche (1804-1918) ; empereurs allemands (1871-1918).

Le Kaiser ne souhaitait pas être le bénéficiaire direct de ce traité, car il était déjà le Kaiser d’Allemagne et de la Couronne britannique, la Maison de Hanovre étant déjà fermement sous son contrôle. De même, la Couronne néerlandaise, appartenant à la Maison d’Orange-Nassau, rendait également hommage au Grand Kaiser, puisque l’un de ses titres était Prince d’Orange. Ces deux grands empires commerciaux étaient sous l’autorité du Kaiser. Les puissants États-Unis, affaiblis et ruinés par la guerre civile, avaient été transformés en corporation et contrôlés par traité. Les États balkaniques, eux aussi, étaient soumis aux décisions finales du Kaiser. En 1871, presque le monde entier passait sous une forme de contrôle prussien.

La montée de la Prusse – 1871

Avant 1871, l’ascension de la Prusse était une épopée de succès militaires et diplomatiques. Son territoire ne se définissait pas par sa localisation géographique, mais par les terres qu’elle avait conquises. Regardez les terres païennes baltes de Prusse : une lutte sanglante de 60 ans entre les païens prussiens indigènes et l’Ordre militaire des Chevaliers Teutoniques. Avec la bénédiction du Pape, les Chevaliers Teutoniques se sont lancés dans les croisades du Nord et ont entrepris de “réinitialiser” les terres païennes prussiennes. En offrant aux païens le choix de se convertir ou d’être exécutés, les Chevaliers Teutoniques ont fortement dépeuplé la Prusse et ont commencé à repeupler ces terres avec leurs propres chrétiens germanisés.

Au 14e siècle, ces terres prussiennes furent acquises par la famille princière des Hohenzollern. Remontant à 1061 après J.-C., le comte de Zollern et sa famille s’engagèrent dans une lente et ambitieuse voie d’expansion. Après avoir établi leur base à Nuremberg, puis s’être étendus à la région de Brandebourg et finalement acquis les terres prussiennes, la famille Hohenzollern décida d’adopter la Prusse comme nom de leur empire grandissant. Cependant, leur empire n’était pas seulement une question de territoire. Il s’agissait d’établir une culture de conformité, de servitude et de militarisme. En s’emparant des terres de Prusse, les Hohenzollern héritèrent également des méthodes brutales de domination des Chevaliers Teutoniques, ce qui donna naissance à l’État militaire puissant qu’était la Prusse.

La famille Hohenzollern gouverna la Prusse avec une précision militaire. Résolus à ne pas tomber aux mains des Grandes Puissances qui les entouraient, les dirigeants prussiens instaurèrent une culture de guerre perpétuelle avec pour objectif exprimé : « conquérir ou être conquis ».

Maintenant une armée de métier en permanence, ils imposaient l’enrôlement obligatoire de leurs citoyens. Utilisant une technique consistant à infiltrer leurs ennemis avant de les envahir, le royaume de Prusse devint rapidement la puissance la plus redoutable d’Europe, militairement, diplomatiquement et, à terme, commercialement.

Le militarisme prussien était légendaire. Leurs dirigeants Hohenzollern devinrent des maîtres en diplomatie, intégrant espionnage et alliances matrimoniales (une forme d’infiltration), avec un roi élevé et formé pour la guerre dès la naissance. La Prusse des Hohenzollern n’était pas seulement un État dédié à l’Art de la Guerre, c’était une exigence culturelle d’en faire partie.

Le grand leadership militaire de la Prusse donna lieu à de nombreux exploits de victoire. Certaines des plus grandes batailles jamais remportées à cette époque furent menées par la Prusse et ses rois, les Hohenzollern. Napoléon lui-même s’émerveilla devant leurs brillantes compétences militaires.


«La Prusse est née d’un boulet de canon.»

Napoléon Bonaparte (1769 – 1804)
Empereur des Français

L’Art de la guerre est une entreprise qui englobe tout. Mais alors que les écrits de Sun Tzu sur la guerre étaient épiques, la pratique prussienne de la guerre se déroulait à une échelle inimaginable. Napoléon le savait très bien, tout comme l’un des grands Hohenzollern, Frédéric le Grand.


« Messieurs, si cet homme était en vie vivant,
nous ne serions pas ici aujourd’hui ».

Napoléon Bonaparte sur la tombe de Frédéric le Grand

Le monde de l’époque allait voir cette principauté reculée, semi-enclavée et vieille de plusieurs siècles, se transformer en un grand empire, culminant dans l’une des plus grandes victoires de l’histoire. Après leur victoire sur les Français lors de la guerre franco-prussienne, les rois de Prusse furent couronnés Kaiser d’Allemagne en 1871.

Cette légende valut au Kaiser le rôle d’arbitre dans le Traité de 1871 entre les États-Unis et le Royaume-Uni. Notamment, la parole du Kaiser est sans appel en cas de litige. Le contrôle avait été amplement “mérité”.

L’année 1871 marqua le début de la quête du Kaiser, roi de Prusse et prince d’Orange, pour un contrôle diplomatique et financier total sur le monde moderne.

Le plan pour devenir invisible 1871 – 1918

De 1871 jusqu’à l’abdication éventuelle du Kaiser en 1918, la culture teutonique de la Prusse s’est répandue à travers le monde, sans que beaucoup en soient conscients.

Les origines de l’éducation moderne, plus proches de l’endoctrinement, sont prussiennes. Née d’une philosophie visant à créer une citoyenneté loyale à l’État et obéissante à ses volontés, le mot « Kinder – Garten » (jardin d’enfants) avait un sens prussien bien particulier.

Les Hohenzollern se lancèrent également dans la création d’une grande puissance navale. Bien qu’une tentative raisonnable ait été faite pour créer des navires et des sous-marins physiques, leur plus grande réussite fut peut-être la création de corporations agissant au nom des États-nations. Les guerres mèneraient à des traités dont le Kaiser deviendrait l’arbitre final, contrôlant ainsi les nations sous couvert du droit maritime et de l’Amirauté.

Grâce à des tactiques de guerre éprouvées d’infiltration et d’opérations secrètes, le Kaiser pénétrerait dans chaque aspect de la vie humaine dans le monde occidental. Teddy Roosevelt le savait très bien.

«Derrière le gouvernement apparent trône un gouvernement invisible, qui ne doit allégeance à personne et ne reconnaît aucune responsabilité envers le peuple. Détruire ce gouvernement invisible, briser l’alliance impie entre les affaires corrompues et la politique corrompue est la première tâche de l’art de gouverner d’aujourd’hui.»

Théodore Roosevelt
Président des États-Unis (1901 – 1909)

Il serait également extrêmement naïf de penser que la corporation la plus influente et puissante du 20e siècle, la Réserve fédérale (Federal Reserve Bank), n’ait pas été influencée par la main invisible prussienne lors de sa création. Moins d’un an après sa signature, la Première Guerre mondiale battait son plein.

Woodrow Wilson se remémorait son rôle dans l’Acte de la Réserve fédérale :

«Je suis un homme profondément malheureux. J’ai involontairement ruiné mon pays. Une grande nation industrielle est désormais contrôlée par son système de crédit. Nous ne sommes plus un gouvernement basé sur l’opinion libre, plus un gouvernement fondé sur la conviction et le vote de la majorité, mais un gouvernement fondé sur l’opinion et la contrainte d’un petit groupe d’hommes dominants.»

Woodrow Wilson, (Citation de 1919)
Président des États-Unis (1913 – 1921)

Lorsque l’archiduc Ferdinand fut assassiné un an plus tard, avec son épouse Hohenzollern, le monde ne serait plus jamais le même. Le plan visant à conquérir non seulement des terres, mais aussi les cœurs, les esprits et tous les aspects des actions humaines sur la planète, venait d’être lancé.

Les horreurs et la misère humaine fournissaient un écran de fumée pour dissimuler le véritable plan en cours. Les Allemands, dirigés par le grand Kaiser Hohenzollern et forts d’un héritage familial de succès militaires, commirent ce qui semblait être une erreur fatale : l’Allemagne incita le Mexique à envahir les États-Unis.

Ainsi, en 1917, l’Amérique, attaquée comme jamais auparavant, déclara la guerre à l’Allemagne. En 1918, l’Allemagne fut vaincue et le Kaiser abdiqua son trône.

Cependant, trop d’événements étranges survinrent en 1917 sous l’impulsion du Kaiser. La scène avait-elle été préparée pour la disparition totale de la dynastie Hohenzollern de l’État public ?

Examinons quelques événements marquants de 1917 :

  • Le tristement célèbre télégramme Zimmermann attira l’Amérique dans la guerre
  • La famille royale britannique changea son nom de Saxe-Cobourg-Gotha à Windsor
  • La famille du futur mari de la reine Élisabeth II changea son nom de Battenberg à Mountbatten
  • Le Kaiser donna des millions à Lénine pour financer sa campagne de terreur rouge bolchévique en Russie
  • La Déclaration Balfour fut signée

Ces actions apparemment mineures servaient deux objectifs : (1) cacher toute trace des marques du Kaiser dans le monde, et (2) déclencher une chaîne de chaos dans le monde, faisant du 20e siècle potentiellement le plus sanglant de toute l’histoire humaine.

Cependant, tout cela pâlissait en comparaison de l’arme ultime qui allait être infligée à l’humanité : une psychose de masse militarisée dans le but précis de transférer des richesses et un pouvoir inimaginable aux corporations mondiales et à ceux qui les contrôlaient.

Le fascisme était né.

La mort de l’État de Prusse – la naissance du Terrible Ennemi Invisible

Les décisions prises en 1917 par le Kaiser mirent le monde sur la voie d’un des pires siècles de l’histoire humaine. Ces décisions horribles furent prises par un Kaiser à qui l’on avait confié la supervision des traités les plus puissants au monde. Les puissances les plus influentes de la planète avaient placé leur confiance dans le Kaiser, en raison de son impeccable héritage familial de succès militaires et diplomatiques. L’économie de guerre était en plein essor. Il est presque inconcevable que ces décisions aient été prises, mais encore plus inconcevable fut ce qui suivit.

Le Kaiser, désormais abdiqué, se retira dans la Maison d’Orange aux Pays-Bas, où il passa le reste de ses jours.

La Russie était en pleine guerre civile sanglante, impliquant les bolchéviques rouges. Une campagne menée par Lénine, financée par le Kaiser, n’était pas très différente des “révolutions” modernes.

Le Moyen-Orient commençait un siècle tumultueux entre juifs et musulmans.

Adolf Hitler, en 1919, en tant que fidèle militaire allemand (bien qu’il soit originaire d’Autriche), fut chargé d’infiltrer et d’espionner le Parti ouvrier allemand (DAP). Rappelez-vous : infiltration plutôt qu’invasion.

L’ascension d’Hitler et la dévastation qui suivit n’auraient pas été possibles sans la conformité des citoyens allemands et leurs futurs alliés inébranlables, étant dans un état de psychose de masse. Un « inconscient collectif » allait subir des tragédies qui ne pouvaient être induites que par des dirigeants complètement incompétents, ou brillamment maniaques.

La catastrophe économique qui frappa l’Allemagne dans les années 1920, connue sous le nom d’hyperinflation de Weimar, n’était pas un accident, mais un événement planifié. Les réparations de guerre étaient impossibles à rembourser. L’histoire montre que l’hyperinflation a anéanti toute la classe moyenne.

Confronté à l’anéantissement, le peuple allemand s’ouvrit de force aux idéologies du socialisme et à son compagnon bolchévique radicalisé. Face à une pauvreté abjecte, la dépravation morale commença à prospérer, en particulier à Berlin (connue sous le nom de Sin City, la ville du péché). Les affrontements violents entre idéologies rivales se multiplièrent. La corruption était endémique et se conjuguait avec la violence.

Symboles des chemises brunes d’Hitler.
Un symbole de leur « ennemi », Antifa

Lorsque le peuple allemand perdit tout, il perdit également l’espoir. Il cherchait un homme fort, quelqu’un capable de les unir comme ils l’étaient autrefois sous la puissance du Kaiser. Cet homme fut Adolf Hitler. Il prônait un nouveau type de socialisme : le national-socialisme. C’était une forme de gouvernance où, si tout le monde se conformait et marchait d’un seul pas, les gens seraient récompensés par une nouvelle ère de prospérité.

L’Allemagne allait mettre en œuvre les principes socialistes que le peuple désirait [dont il avait besoin], en émettant des contrats pour réaliser les tâches nécessaires à cet objectif. Ces contrats étaient confiés à nul autre que certaines des plus grandes corporations de la planète. C’est ainsi que naquit le régime fasciste nazi.

Après les difficultés économiques historiques et la violence que subit le peuple allemand, le fascisme apparut comme une solution, et non un problème. En pleine violence, misère économique et dépravation morale, le fascisme apportait également des réponses. Il offrait des emplois, réprimait la violence dans les rues, interdisait l’homosexualité et la consommation massive de drogues dans ses villes.

Problème -> Réaction -> Solution.

Les Prussiens n’étaient pas partis ; ils étaient simplement devenus invisibles.

La psychose de masse poussait les Allemands à marcher d’un seul pas, dans la peur de retomber dans l’abîme des années 1920, emplis d’un faux sentiment de pouvoir que Hitler leur avait donné. Ce faux pouvoir les amena à rester silencieux face aux plus grandes atrocités de l’histoire de l’humanité. Considérez que si tout le monde commet un crime de guerre, alors personne ne le fait. Voilà la marche en rangs serrés ; voilà le virus du fascisme ; voilà une nation sous psychose de masse.

1917 avait inauguré la grande pandémie du fascisme, qui ne s’est terminée qu’à la fin de la Seconde Guerre mondiale.

Alors que l’Allemagne, une fois de plus, s’effondrait sous le poids de décisions militaires horribles, prises par un dirigeant totalement enchanté par la nostalgie des Hohenzollern et le retour de l’ère prussienne, les atrocités commises par une nation sous psychose de masse choquèrent le monde.

Ironiquement, des procès eurent lieu dans l’un des premiers territoires des Hohenzollern, Nuremberg. Des exécutions furent effectuées et en 1947, le monde assista à la disparition totale de la Prusse.

Avec l’abdication du Kaiser en 1918 et l’abolition de l’État prussien, toute l’histoire de la Prusse et de sa culture guerrière avait disparu.

Des cendres de la Seconde Guerre mondiale, il ne restait qu’une seule chose : les corporations qui portaient toutes le virus fasciste, avec comme épicentre, le “Complexe Militaroindustriel des États-Unis”. Elles étaient désormais les plus grandes entreprises de la planète et commencèrent à infiltrer tous les aspects de l’existence humaine.

La Prusse était maintenant devenue invisible. À partir de ce moment, elle allait opérer dans l’ombre. Elle avait une vision simple, commencée en 1871 : lorsque les conditions seraient réunies – prendre le contrôle du monde.

George Bush – Nouvel Ordre Mondial – 11 septembre 1990

L’horrible ennemi invisible

Le fascisme est le mariage entre le Grand Gouvernement et les Grandes Corporations. Avec la Guerre froide menaçant de détruire le monde, l’Amérique et la Russie avaient besoin de technologies militaires aussi vite que possible. Comment cela allait-il être financé ?

En Russie, le communisme détruisait son économie, et des stratégies de travail draconiennes furent mises en place ; le travail forcé peut être très rentable pour les corporations. Suivant un schéma bien connu, les dissidents furent écrasés et envoyés dans les goulags, formant l’archipel du Goulag, décrit par Alexandre Soljenitsyne. Aux États-Unis, le Federal Reserve Banking Act fut adopté en décembre 1913, ce qui permit également la création de l’IRS (Internal Revenue Service, l’administration fiscale des États-Unis). L’augmentation progressive des impôts sur le peuple suffirait à financer la nouvelle menace de la Guerre froide. Le peuple accepta et marcha au pas.

L’ascension du Grand Gouvernement entraîna l’ascension des Grandes Corporations. C’était le même modèle de Grandes Corporations qui réalisa d’énormes profits avec la montée du régime nazi en Allemagne. Le fascisme 2.0 était en route. JFK, Reagan et Trump ont tous essayé de nous avertir.

Taxes fédérales, étatiques et locales ajustées à l’inflation par résident aux États-Unis.
Taxes par personnes ($)

Un autre vestige de la chute de l’Allemagne nazie fut les Frères Musulmans. Formés en 1928, ils formèrent immédiatement une alliance avec Hitler, qui finança une grande partie des Frères Musulmans avec les biens confisqués aux Juifs, qui trouvèrent leur destin dans les camps de concentration.

Après la Seconde Guerre mondiale, les Frères Musulmans reçurent une grande partie de leur financement de l’Arabie saoudite. En fuite pour crimes de guerre et également chassés de leur bastion en Égypte, les Frères Musulmans furent finalement arrêtés par les services secrets britanniques, qui les remirent à la CIA.

La CIA, formée après la Seconde Guerre mondiale, ne poursuivit pas les Frères Musulmans pour crimes de guerre. Au lieu de cela, ils en envoyèrent beaucoup en Arabie saoudite, où ils s’enracinèrent profondément dans le pays, en particulier dans les écoles. Là, ils forgèrent la religion islamo-fasciste connue sous le nom de wahhabisme.

D’autres membres des Frères Musulmans établirent une base souterraine en Allemagne, d’où ils allaient opérer à l’international.

Il est affirmé que les Frères Musulmans ont apporté à l’humanité les « bienfaits » de Saddam Hussein, Oussama ben Laden, Al-Baghdadi, le Hamas, Al-Qaïda, l’État islamique et peut-être même l’Iran, avec toutes les guerres et la terreur que cela a engendrées.

Il est également affirmé que la principale conseillère de Hillary Clinton, Huma Abedin, provient d’une famille très proche des échelons supérieurs des Frères Musulmans. On prétend que Barack Obama aurait pu faire financer son diplôme de droit à Harvard par Al-Waleed Bin Talal – l’un des Saoudiens les plus riches au monde. On dit aussi que l’ex-directeur de la CIA, John Brennan, se serait converti au wahhabisme.

Les origines, ou peut-être les « racines », de la CIA auraient pu avoir des liens douteux avec le fascisme international et des liens particulièrement étroits avec l’Allemagne nazie. Notamment, le père de GHWB, Prescott Bush, vit les actifs de son entreprise saisis en 1942 en vertu de la loi «Trading with the Enemy Act» (Loi sur le commerce avec l’ennemi) sur le commerce avec l’ennemi pour avoir effectué des transactions bancaires pour le régime nazi. Quelle fut la sanction pour ce crime ? GHWB (George Herbert Walker Bush) devint directeur de la CIA. La même CIA qui permit aux Frères Musulmans, ou la branche islamique des nazis, de prospérer en Arabie saoudite et en Allemagne.

Depuis 1945, le monde n’a cessé de souffrir des décisions prises par le Kaiser en 1917. Le communisme ne se serait jamais étendu à la Chine et au-delà sans le bastion qu’il avait réussi à obtenir en Russie. Mao Zedong, Pol Pot et bien d’autres monstres n’auraient jamais accédé au pouvoir.

Nous n’aurions peut-être pas vu l’islam radical et ses attaques terroristes ; la guerre contre le terrorisme ; l’essor constant du gouvernement à travers une fiscalité massive ; l’ascension des super-corporations mondiales plus grandes que des nations. Tout cela a conduit à la marche de 100 ans de la banque centrale, plaçant le monde dans un piège de dettes qui réduirait les nations en servitude pour des générations à venir. Les Prussiens n’étaient pas partis ; ils étaient simplement devenus invisibles.

Le monde était engagé dans une guerre si insidieuse qu’elle était impossible à détecter. Le monde était attaqué par une stratégie si ambitieuse et avec des intentions si mortelles qu’il est impossible de le croire. Le monde était attaqué par un ennemi qui n’utilisait plus la géographie comme champ de bataille, mais la psychologie.

C’était un ennemi qui nous faisait croire que nous avions gagné les batailles, pour qu’il puisse gagner la guerre. C’est l’Horrible Ennemi Invisible. C’est #PrussiaGate.

Maintenant, la vidéo ci-dessous trouve toute sa place dans la série Révélations.

https://adnm.live/2023/schizophrenie-autour-du-nazisme