Les dangers d’internet sur le cerveau humain

Message caché de Q ?

Au dernier live, on avait mentionné le dernier post de Q qui parlait d’ADN.

Qu’est-ce qui est codé dans votre ADN ?
Qui l’y a mis ?
Pourquoi ?
L’humanité est réprimée.
Nous ne serons plus réprimés. L’information, c’est la connaissance.
La connaissance, c’est le pouvoir. L’information, c’est le pouvoir.
Comment protégez-vous votre ADN ?
Une guerre fait rage pour votre ADN.
Protégez votre ADN.
Ascension.
Q

Après le live, un de vous m’a fait une remarque intéressante.

Les initiales des phrases de ce post, donnent :

WWW
M (?)
WIKI
HTPA

Alors j’ai essayé de comprendre de quoi ça parle.

WWW – World Wide Web, ou « Toile Mondiale » – Nous avons déjà parlé de la « toile » et de son araignée :

Peut-être Q parle de la même chose ?

Le M, je n’ai pas encore compris, mais le reste semble assez clair, « WIKI HTPA », alors j’ai cherché sur Wikipédia ce qu’est HTPA :

Axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien

L’axe HTPA est une chaîne de communication hormonale entre :

  1. L’hypothalamus (dans le cerveau)
  2. L’hypophyse (juste en dessous, centre de commande hormonal)
  3. Les glandes surrénales (au-dessus des reins)

Il sert principalement à :

  • gérer la réaction au stress ;
  • réguler l’énergie, le sommeil, l’humeur ;
  • contrôler l’immunité et le métabolisme.

Comment fonctionne l’HTPA ? (Étapes simples)

Lorsqu’un stress apparaît (physique ou psychologique), l’axe suit un circuit en cascade :

L’hypothalamus détecte le stress

Il libère une hormone : CRH (Corticotropin-Releasing Hormone).

La CRH stimule l’hypophyse

L’hypophyse libère alors ACTH (AdrenoCorticoTropic Hormone).

L’ACTH stimule les glandes surrénales

Les surrénales produisent du cortisol, la principale hormone du stress.

Le cortisol agit sur le corps

Il augmente la vigilance, libère du glucose, modifie l’immunité, etc.

Rétro-contrôle

Quand assez de cortisol circule, il inhibe l’hypothalamus et l’hypophyse pour arrêter la cascade.

À quoi sert le cortisol ?

Le cortisol :

  • augmente la glycémie (pour fournir de l’énergie) ;
  • module le système immunitaire ;
  • influence la mémoire, l’attention, l’humeur ;
  • régule le métabolisme (graisses, protéines).

👉 Il est utile à court terme…
… mais problématique s’il reste élevé trop longtemps.

Un cycle circadien du cortisol anormalement aplati a été associé au syndrome de fatigue chronique, à l’insomnie et au burnout.

La DARPA

Et si Q nous disait qu’internet, ou la toile (WWW) visait notre « Axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien » (HTPA) ? En effet, comme on a vu à l’épisode 18 de la série Révélations, Internet est un projet de la DARPA.

La DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency) est une agence du département de la Défense des États-Unis chargée de financer et coordonner des projets de recherche technologique très avancés, souvent à haut risque mais à fort potentiel stratégique. Créée en 1958 après le lancement de Spoutnik, elle vise à maintenir l’avance technologique américaine en développant des innovations de rupture dans des domaines comme l’intelligence artificielle, la robotique, la cybersécurité, les biotechnologies ou les systèmes militaires futuristes.

Ajoutez à ça ce qu’on a dit la semaine dernière sur le NIO* lié à la technologie et la science :

*Le NIO de la CIA désigne un National Intelligence Officer, c’est-à-dire un haut responsable du National Intelligence Council (NIC), l’organisme chargé de produire les grandes analyses stratégiques de la communauté du renseignement américaine. Chaque NIO est spécialisé dans une région du monde (ex. : Europe, Moyen-Orient, Asie) ou dans un thème transversal (technologies, terrorisme, prolifération, économie). Leur rôle est de coordonner les informations issues de la CIA et des autres agences, de fournir des évaluations destinées aux décideurs politiques et de contribuer à des documents majeurs comme les National Intelligence Estimates (NIE), qui orientent parfois la politique étrangère américaine.

Donc, la CIA contrôle l’évolution technologique en décidant quels projets sont « acceptables », et lesquels il faut éviter, et l’entité qui s’occupe du travail d’investigation, analyse, recherche, expériences, etc, c’est la DARPA :

La DARPA est étroitement liée à la naissance d’Internet, car c’est elle qui a financé et supervisé, à la fin des années 1960, le développement d’ARPANET, premier réseau à commutation de paquets permettant à plusieurs ordinateurs distants de communiquer de manière fiable. ARPANET a introduit des concepts clés comme la décentralisation et la résilience du réseau, motivés par des préoccupations de sécurité en pleine Guerre froide. Les protocoles de communication qui en sont issus (notamment TCP/IP, adoptés en 1983) ont ensuite servi de fondation technique à l’Internet moderne.

Comme on a aussi vu dans l’épisode 18 de la série Révélations, la DARPA est aussi derrière l’évolution de l’IA et des superordinateurs, depuis les années 60.

La DARPA, qui travaille sur l’IA depuis le début des années 1960, joue un rôle moteur dans son évolution en finançant et en orientant des projets de recherche à très haut risque et à fort impact, souvent bien en amont des applications industrielles. Elle stimule l’innovation en réunissant laboratoires, universités et entreprises autour d’objectifs ambitieux — comme l’apprentissage robuste, l’autonomie fiable ou l’IA explicable — et sert de catalyseur pour des ruptures technologiques qui influencent ensuite largement le secteur civil.

Depuis les années 1960, la DARPA joue un rôle déterminant dans l’évolution des superordinateurs en finançant et en pilotant des programmes de recherche ambitieux visant à repousser les limites du calcul haute performance. Elle a soutenu des projets fondateurs comme ARPANET, les premiers systèmes parallèles, puis des architectures révolutionnaires utilisées dans les superordinateurs modernes. En réunissant universités, laboratoires nationaux et industriels autour de défis technologiques — calcul massif, architectures exascale, processeurs spécialisés — la DARPA sert de catalyseur pour des innovations qui deviennent ensuite des standards dans le secteur civil et scientifique.


Et on sait déjà, qu’il y a plusieurs décennies de décalage entre la technologie de l’armée, et la technologie grand public. Comme on a pu voir dans cet échange super intéressant avec Grok (l’IA de X), où nous avons vu que l’armée américaine utilise l’IA et les superordinateurs dans des opérations militaires depuis les années 80.

Autres recherches perturbantes de la DARPA

J’ai demandé à GPT si la DARPA a mené des projets liés aux neurosciences et en cognition humaine. Voici sa reponse :

Projets DARPA liés à la cognition humaine et aux neurosciences (en une phrase chacun)

  • BRAIN Initiative (part DARPA) : Développe des technologies permettant d’enregistrer et de cartographier l’activité de milliers de neurones simultanément.
  • NESD : Conçoit une interface cerveau-machine ultra-haute résolution capable de transmettre et recevoir des informations neuronales de manière précise.
  • RAM / RAM Replay : Crée des implants capables de restaurer ou d’améliorer la mémoire chez des patients souffrant de déficits cognitifs.
  • N3 : Cherche à développer une interface neuronale non invasive ou peu invasive permettant de contrôler des systèmes numériques par la pensée.
  • SUBNETS : Explore la modulation de réseaux neuronaux profonds pour traiter des troubles psychiatriques sévères comme la dépression résistante.
  • HAPTIX : Met au point des prothèses contrôlées par le système nerveux qui renvoient des sensations tactiles naturelles à l’utilisateur.
  • RE-NET : Développe des interfaces neuronales plus stables et durables pour améliorer la communication entre le système nerveux et les appareils externes.
  • BioFidelic Sensors / Neurotechnology Toolbox : Crée des capteurs et outils biomimétiques pour mieux mesurer et modéliser les processus cognitifs humains.
  • Lifelong Learning Machines (L2M) : Conçoit des systèmes d’IA capables d’apprendre en continu comme le cerveau humain, sans perte de connaissances.
  • Deep Neuro Forecasting / Measuring Biological Aptitude : Tente de prédire les états cognitifs et biologiques humains pour améliorer les performances et la résilience.

Dans les posts 2988 et 2989, Q parle d’un projet de la DARPA, nommé « Lifelog » :

Définir « Lifelog » [DARPA].
« Un (sous-)système basé sur l’ontologie qui capture, stocke et rend accessible le flux des expériences et des interactions d’une personne avec le monde afin de soutenir un large éventail d’associés/assistants et d’autres capacités du système ». L’objectif du concept LifeLog était « de pouvoir retracer les « fils » de la vie d’un individu en termes d’événements, d’états et de relations », et il a la capacité « d’enregistrer toutes les expériences d’un sujet, des numéros de téléphone composés et des e-mails consultés à chaque respiration, chaque pas et chaque endroit visité ».
Définir « FB ».
Le service Facebook est accessible à partir d’appareils connectés à Internet, tels que les ordinateurs personnels, les tablettes et les smartphones. Après s’être inscrits, les utilisateurs peuvent créer un profil personnalisé révélant des informations les concernant. Les utilisateurs peuvent publier du texte, des photos et des contenus multimédias de leur propre conception et les partager avec d’autres utilisateurs en tant qu’« amis ». Les utilisateurs peuvent utiliser diverses applications intégrées et recevoir des notifications sur les activités de leurs amis. Les utilisateurs peuvent rejoindre des groupes d’intérêt commun. Comparaison et contraste.
Cadres supérieurs de la DARPA > FB ?
LA DARPA MET FIN AU PROGRAMME LE 4 FÉVRIER 2004.
FB EST FONDÉ LE 4 FÉVRIER 2004.
DARPA = FB
Q

Raisonnement logique.
La DARPA a-t-elle achevé la mise en place/le codage (financés par les contribuables) du programme « LifeLog » ?
Une fois celui-ci achevé, craignait-on que le public n’accepte pas son adoption s’il apprenait qu’il était soutenu par le ministère de la Défense et la CIA ?
Pensez-vous que les gens adhéreraient à une plateforme sachant qu’elle est contrôlée par la CIA et le gouvernement fédéral ?
Non.
Comment inciter les masses à entrer toutes leurs informations personnelles et leurs messages privés (c’est-à-dire leur LIFE LOG) sur une nouvelle plateforme ?
Faut-il la rendre cool ?
Comment FB a-t-il « supposément » démarré et été lancé ?
Uniquement dans les universités de l’Ivy League ?
Développer une tendance et/ou une communauté de followers ?
Comment maintenir le projet sans fonds publics provenant des contribuables ? [Le ministère de la Défense a signalé que LifeLog avait été ABANDONNÉ au Congrès/Sénat OS]
Définissez « budget noir ».
HWOOD a-t-il fait pression ?
Les gens suivent-ils les « stars » ?
Les concurrents ont-ils systématiquement attaqué (myspace) pour empêcher la concurrence ?
LA PLUS GRANDE PLATEFORME DE MÉDIAS SOCIAUX « COLLECTIVE » AU MONDE (DES MILLIARDS D’UTILISATEURS ENREGISTRÉS) EST DÉTENUE ET EXPLOITÉE (SECRÈTEMENT) PAR LA CENTRAL INTELLIGENCE AGENCY DES ÉTATS-UNIS D’AMÉRIQUE.
Plus vous en savez, mieux c’est.
Q

LifeLog visait à créer une base de données exhaustive retraçant la vie d’un individu :

  • communications (emails, appels, messages)
  • déplacements géolocalisés
  • interactions sociales
  • photos et vidéos
  • données biométriques
  • habitudes et comportements

Le but officiel était de construire une mémoire numérique complète, permettant aux algorithmes d’identifier des schémas cognitifs, des comportements, des routines et d’anticiper des décisions.

Objectifs déclarés

DARPA présentait LifeLog comme un moyen de :

  • modéliser la cognition humaine
  • améliorer les systèmes d’IA basés sur la compréhension du comportement
  • aider des soldats ou agents à analyser des situations avec une mémoire numérique augmentée
  • fournir des outils avancés pour la navigation, la reconnaissance, la prise de décision

Pourquoi le programme a-t-il été annulé ?

LifeLog a été arrêté en février 2004, officiellement pour des raisons stratégiques internes, mais plusieurs facteurs sont souvent évoqués :

  • controverses sur la vie privée, car le projet impliquait une surveillance totale d’un individu
  • pression publique et médiatique
  • crainte d’abus potentiels de la technologie

Les idées autour de Lifelog ont influencé :

la recherche sur la cognition augmentée

les travaux ultérieurs de DARPA en neurotechnologies

les systèmes d’analyse comportementale

Q nous dit que le projet « Lifelog » n’a pas été arrêté. Il a simplement pris la forme des moteurs de recherche, ou des réseaux sociaux, qui ont été poussés massivement par le milieu mainstream pour adoption par le grand public. L’histoire, vous la connaissez. Regardez comment nous sommes dépendants des réseaux sociaux et d’internet maintenant.

Q semble le confirmer beaucoup plus tard, au post 4105 :

DARPA | FB | TWITTER | GOOG
[D] La coordination et le développement d’un outil [IA] visant à contrer (votre) influence [désormais public – voir message précédent] démontrent (votre) influence collective.
Pensez aux attaques quotidiennes des médias traditionnels [qui perdent du terrain].
Vous êtes en train de gagner la guerre de l’information.
Un soutien vous sera toujours apporté [méthodes non divulguées].
Q

Une hypothèse sur le post de Q

Donc nous avons la DARPA qui se trouve derrière internet, l’IA, les superordinateurs, et les réseaux sociaux. Tout ceci, en ayant fait un grand nombre de recherches en neurosciences et cognition humaine.

Donc pour revenir au dernier post de Q qui nous a mis sur cette piste, on pourrait donc envisager cette possibilité :

Tout ce que nous faisons sur internet est enregistré et analysé. Un « profil digital » individuel est créé. Une IA spécialisée en cognition humaine et neurosciences est utilisée ensuite pour analyser et créer des « boutons » qui impactent notre psyché individuellement. Ainsi, ils peuvent contrôler notre état émotionnel, ce qui a un impact direct sur notre perception, et notre capacité de réagir, ou d’agir.

Internet est un projet militaire qui a été créé pour mettre l’humanité entière sous surveillance totale. La finalité de Lifelog n’était pas juste Facebook. Aujourd’hui, tout le monde a un smartphone, c’est-à-dire, un micro, une caméra, et un accès total sur l’ensemble de nos déplacements et interactions. Aujourd’hui, on leur donne accès même à notre rythme cardiaque avec nos « smartwatches » et autres bidules qui paraissent attirants et pratiques…

Smartphones, internet, réseaux sociaux… tous ces outils semblent pratiques et anodins, mais il semblerait qu’il s’agit d’outils de guerre, créés par l’armée américaine, supervisée par la CIA, elle-même protégée par le département de la Défense des États-Unis.

Si tout ceci est vrai, cela veut dire :

  1. Nous pouvons éviter les effets de ces outils de guerre, en comprenant et en acceptant l’idée que ceux qui les ont mis en place, connaissent la cognition humaine, y compris la nôtre individuellement, mieux que nous.
  2. Pour éviter l’impact de ces outils de guerre, il est important de réduire, voir supprimer quand possible, l’utilisation d’internet et des outils « connectés ».
  3. S’ils ciblent notre HTPA (Axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien), et que leurs outils ont eu un impact sur nous, les symptômes à surveiller sont : syndrome de fatigue chronique, insomnie, instabilité émotionnelle, et burnout (entre autres).
  4. Une utilisation d’internet sans « contrôle conscient » est dangereux. Nous pouvons nous informer sur les mécanismes cognitifs et psychologiques impactés par internet, afin de prendre conscience de la façon que ces derniers influencent nos vies.

Si vous souffrez des symptomes mentionnés ici, et afin d’aider votre cerveau à tenir debout dans la tempête, les pratiques suivantes aident beaucoup :

  • Réduire de façon conséquente l’utilisation des réseaux sociaux
  • Dormir le plus souvent possible, autant que possible (minimum 8h/jour, indépendamment de l’age)
  • Avoir une activité physique régulière et suffisante (jogging, nage, marche…)
  • Se nourrir de façon équilibrée, et éviter le sucre
  • Éviter le café ou les stimulants similaires (Red Bull, « energy drinks »…)
  • Pratiquer la méditation, ou créez des moments où vous ne faites rien, ou peu (contemplation, yoga…)
  • Socialiser, passer du temps avec la famille, les amis, sortir dans la nature…

En peu de mots, si l’on veut éviter d’être des victimes de cette « guerre hybride », guerre psychologique, guerre de 5ᵉ génération, ou même guerre spirituelle, appelez ça comme vous voulez (mais c’est la même chose), nous devons nous déconnecter du digital, nous reconnecter au réel, et nous devons apprendre à nous connaître nous-mêmes…