Nuno Loureiro, expert en fusion nucléaire récemment assassiné, travaillait sur la compréhension des plasmas, un élément essentiel pour réussir la fusion nucléaire. Cette technologie pourrait produire une énergie propre, presque illimitée, et bouleverser le système énergétique mondial. Ses recherches ouvrent aussi des pistes vers de nouvelles façons de comprendre la matière et l’univers, ce qui explique pourquoi son travail, et sa mort, attirent aujourd’hui autant d’attention.
Assassinat révélateur de Nuno Loureiro
Là, nous entrons dans les profondeurs du terrier du lapin, invités par Nuno Loureiro, un scientifique extraordinaire qui dérangeait les dogmes dans le silence. Cette émission est là pour honorer sa mémoire.
Pourquoi on parle de ce scientifique ? Parce qu’il a été assassiné cette semaine.
« Une enquête pour homicide a été ouverte après la mort d’un professeur à l’université du Massachusetts. Nuno Gomes Loureiro était un physicien spécialiste de la fusion.«

Fusion Nucléaire
La fusion nucléaire est un processus dans lequel deux noyaux atomiques légers, comme ceux de l’hydrogène, se combinent pour former un noyau plus lourd, libérant une quantité d’énergie énorme parce qu’une partie de la masse se transforme en énergie selon E = mc². Ce phénomène se produit naturellement au cœur des étoiles et constitue une source d’énergie propre, quasiment inépuisable et sans réaction en chaîne incontrôlable.

Avantages potentiels énormes
✔ Pas de déchets radioactifs de longue durée
✔ Pas de risque de réaction en chaîne incontrôlée
✔ Combustible abondant (eau + lithium)
✔ Pas de CO₂ produit
✔ Production d’énergie colossale
La fusion résout presque entièrement les problèmes politiques, écologiques et sécuritaires associés à la fission.
Mais… la réalité technique actuelle
On ne sait pas encore maintenir une réaction de fusion produisant plus d’énergie qu’elle n’en consomme pour le confinement/conférence industrielle stable.

Les deux grands défis :
Confinement du plasma
Les noyaux positifs se repoussent fortement → il faut :
- des températures > 100 millions °C
- un confinement magnétique extrême (tokamaks, stellarators)
ou - un confinement inertiel à impulsion laser
Rendement énergétique
Il faut atteindre un bilan énergétique net positif (Q > 1).
En laboratoire, on y arrive ponctuellement, mais pas encore de manière industrielle.
L’assassinat de Nuno Loureiro n’est pas anodin. Cela rappelle la présence de cette force « obscure » qui ne veut pas que la fusion nucléaire remplace la technologie actuelle. La fusion nucléaire pourrait changer le monde radicalement en termes de rapport de puissance, permettre aux pays en développement d’accélérer le processus de développement en créant des opportunités économiques locales, réduisant l’immigration…
La réalité énergétique de la fusion nucléaire
Si la fusion devient viable dans les 10 à 15 prochaines années, elle ne se contentera pas de supplanter une industrie, elle rendra obsolète l’ensemble de l’infrastructure énergétique mondiale actuelle, évaluée à 8 000 milliards d’€uros…

Une centrale à fusion utilise du deutérium extrait de l’eau de mer en quantités pratiquement infinies. Un litre d’eau de mer contient suffisamment de deutérium pour produire l’équivalent énergétique de 300 litres d’essence. Le tritium est produit par des réactions avec du lithium, qui est abondant. La matière première est inépuisable, décentralisée, gratuite et accessible à tous les pays sans dépendance géopolitique.
Mais… l’industrie fossile repose fondamentalement sur une rareté contrôlée et une dépendance géopolitique… Le pétrole et le gaz sont géographiquement concentrés au Moyen-Orient, en Russie et au Texas, ce qui permet de contrôler les prix via l’OPEP. Les grandes compagnies pétrolières génèrent plus de 200 milliards de dollars de bénéfices annuels, car elles contrôlent l’extraction, le raffinage et la distribution d’une ressource rare que tout le monde doit acheter. Ajoutez à ça l’industrie de la guerre et l’armée, qui sert à sécuriser l’infrastructure énergétique…

La fusion détruit ce modèle en rendant l’énergie abondante et décentralisée. Tout pays ayant accès à l’eau de mer peut produire son propre deutérium et construire des réacteurs à fusion : plus besoin d’importer du pétrole, plus de dépendance vis-à-vis du détroit d’Ormuz, plus d’influence géopolitique basée sur les réserves énergétiques. Les prix de l’énergie s’effondreraient une fois les réacteurs à fusion amortis, car le coût marginal du combustible est pratiquement nul !
Comprenez ce que cela signifie pour des entités comme ExxonMobil, qui possède 22 milliards de barils de réserves de pétrole évaluées à 1 500 milliards de dollars dans son bilan ???

Si la fusion devient viable, ces réserves deviendront du jour au lendemain des actifs immobilisés sans valeur, et leurs infrastructures de raffinage, pipelines, pétroliers, stations-service, toutes ces infrastructures deviendront obsolètes en une génération.
Il faut comprendre que si Loureiro et son équipe réussissaient à modéliser précisément ces instabilités et à développer des techniques de contrôle actif via l’IA et environnement stable pour le plasma, cela réduirait le délai de commercialisation de la fusion de 5 à 10 ans.
Je crois que nous sommes quelques années avant les premières centrales nucléaires qui utilisent la fusion, au lieu de la fission nucléaire.
Petite réflexion
Trump vient d’acquérir le « joyau de la couronne » TAE (Tri-Alpha Energy).
— A.D.N.M (@adnm_live) December 19, 2025
Pourquoi est-ce important ? :
– TAE ne se contente pas de faire de la fusion chaude (plasma), ils développent la fusion froide également.
– Ils n’ont pas besoin d’hélium-3 provenant de la Lune qui est… pic.twitter.com/vUnP3xMjNS
Trump vient d’acquérir le « joyau de la couronne » TAE (Tri-Alpha Energy).
Pourquoi est-ce important ? :
- TAE ne se contente pas de faire de la fusion chaude (plasma), ils développent la fusion froide également. –
- Ils n’ont pas besoin d’hélium-3 provenant de la Lune qui est rare sur Terre, ils utilisent du bore-11, qui est bien plus courant.
- La fusion aneutronique signifie pas de neutrons, donc peu de chaleur/radiation et pas de cycle vapeur.
- Ils convertissent directement en électricité, et c’est bien plus efficace que les autres méthodes de fusion.
La fusion nucléaire arrive, et cela changera le monde de façon encore « incompréhensible ».
Concrètement, il s’agirait d’utiliser la même « technologie » que le Soleil, en allumant des « mini-soleils » capables d’alimenter des villes entières, sans danger, sans pollution, et sans pénurie de « carburant »…
Un lien avec ce passage de l’Apocalypse ?
« Elle opérait de grands prodiges, même jusqu’à faire descendre du feu du ciel sur la terre, à la vue des hommes. » – Apocalypse 13:13
« Les dix cornes que tu as vues et la bête haïront la prostituée, la dépouilleront et la mettront à nu, mangeront ses chairs, et la consumeront par le feu. Car Dieu a mis dans leurs cœurs d’exécuter son dessein et d’exécuter un même dessein, et de donner leur royauté à la bête, jusqu’à ce que les paroles de Dieu soient accomplies. » – Apocalypse 17 : 16 – 17

Une science perdue qui revient ? – Éther
On y va ?

Nuno Loureiro était donc spécialiste en fusion nucléaire, qui le rendait inévitablement spécialiste de plasma, mais il était également très fort en mécanique des fluides. Cela dit, il avait une approche différente sur ces sujets. Là, on va dans le « technique », mais on va le rendre comestible, et vous allez vite comprendre pourquoi cet homme est si important.
Nuno Loureiro étudiait principalement la dynamique collective des plasmas, c’est-à-dire la façon dont ils se comportent à grande échelle comme un fluide continu plutôt que comme un ensemble d’électrons et d’ions individuels. Autrement dit, Loureiro travaillait sur le moment où le plasma cesse d’être intelligible comme “des particules” et devient intelligible comme “un milieu dynamique”, avec ses propres lois, structures et comportements collectifs (liquide).
Il utilisait pour cela des modèles théoriques et numériques très avancés, qui relient la description microscopique (cinétique) et la description fluide (MHD), selon l’échelle du phénomène étudié. Ces travaux permettent de mieux comprendre et maîtriser le comportement des plasmas dans des contextes comme la fusion nucléaire contrôlée — et offrent aussi un éclairage conceptuel intéressant : dans certains régimes, la réalité physique peut être décrite de manière plus fondamentale en termes de continu que d’objets isolés.
Pourquoi cela est si important ? Parce que cela remet en question la physique des particules (l’idée que les “briques fondamentales” sont toujours les particules), et va plus dans le sens de la physique « éthérique ». Et c’est là où on entre en profondeur dans le terrier du lapin.
La science « éthérique » (perdue, puis cachée…)

J’ai demandé à GPT des informations sur cette science, mais j’ai dû prendre des longs détours pour contourner les filtres de l’IA. Vous pouvez lire l’échange ici :
La “physique éthérique” désignait à l’origine, au XIXᵉ siècle, l’idée d’un milieu continu — l’éther — remplissant l’espace et servant de support aux ondes lumineuses. Dans ce cadre, l’éther était pensé comme un substrat matériel fin, un véritable “contenant” absolu fournissant un état de repos universel. Cette vision a profondément structuré la physique classique jusqu’au début du XXᵉ siècle.
Elle a toutefois été abandonnée après l’échec des tentatives expérimentales pour détecter un tel référentiel absolu (notamment l’expérience de Michelson–Morley), puis remplacée conceptuellement par la relativité restreinte d’Einstein en 1905, qui supprimait la nécessité d’un support mécanique au comportement de la lumière dans le vide.
Et c’est là où ça devient piquant :

La relativité générale (1915) a ensuite créé un basculement important : elle introduisait un espace-temps dynamique, doté de propriétés physiques — il se courbe, transporte de l’énergie, influence la matière — mais sans référentiel absolu, contrairement à l’ancien éther mécanique. Autrement dit, Einstein a rejeté l’éther classique tout en décrivant un contenant physique actif : un espace-temps géométrique plutôt qu’un fluide matériel.
Aujourd’hui, certaines approches physiques modernes (théorie des champs, description fluide du plasma, modèles de milieux effectifs…) montrent qu’à certaines échelles, des systèmes se comportent comme des continuités dynamiques plutôt que comme de simples assemblages de particules. Cela fait que l’intuition d’un “substrat continu porteur de dynamique” réapparaît, non pas comme un retour à l’éther classique, mais comme une manière de penser les lois physiques au niveau du contenant — un cadre conceptuel distinct, moderne, et compatible avec les acquis d’Einstein.
On va revenir sur pourquoi cette différence entre « physique des particules » et « physique éthérique » est si importante, mais d’abord, il est important d’ajouter ces petits détails. Albert Einstein est né en 1879 dans le royaume de Wurtemberg, alors partie de l’Empire allemand, dans une famille juive non pratiquante et socialement assimilée à la bourgeoisie allemande. C’est en Allemagne qu’il passe sa petite enfance et commence sa scolarité, notamment dans le système rigide de l’école publique prussienne, dont l’obsession pour la discipline et l’ordre formel étaient la norme.
En 1914, Einstein rejoint l’Académie prussienne des sciences à Berlin, un centre majeur de la vie scientifique allemande, obtenant de ce fait la citoyenneté prussienne en tant que fonctionnaire. Cette affiliation lui permet de travailler pleinement sur la relativité générale, publiée cette même année.
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On fait cette parenthèse car elle est pertinente, surtout dans le contexte actuel. En effet, Einstein a été utilisé pour attaquer frontalement la physique éthérique et la rendre « obsolète ».
La physique éthérique contenait en elle un principe fondamental, avec des répercussions philosophiques importantes.
Le référentiel absolu contre référentiel relatif

Dans la version historique et classique de la physique éthérique, l’éther est considéré comme un référentiel absolu. Cherchez les travaux de Hendrik Lorentz pour mieux comprendre le sujet s’il vous intéresse. Dans son cadre, Lorentz considérait l’éther comme un milieu universel immobile, censé être le support invisible pour la propagation des ondes électromagnétiques (y compris la lumière). Dans ses équations, les charges et les champs évoluent par rapport à cet éther.
Avec la relativité, Einstein a supprimé l’idée d’un référentiel absolu lié à un éther immobile servant de fond fixe à tout mouvement ; au lieu de cela, il a établi que tous les référentiels inertiels sont équivalents, qu’aucun ne peut être considéré comme “vraiment au repos”, et que la vitesse de la lumière est identique pour tous les observateurs, quelle que soit leur vitesse relative.

Cette différence est plus importante que ce que l’on imagine. Cette philosophie à changer le cours de l’évolution de la science. La science éthérique se focalise sur le contenant, alors que la physique relative se focalise sur le contenu, l’un contemple le « Créateur », et l’autre la « Création », en ignorant le « Créateur ».
Tout est là…
Cela dit, la physique éthérique a un autre point fort. Les travaux de Hendrik Lorentz ont posé les bases mathématiques de la MHD (magnétohydrodynamique).
Historiquement, une physique éthérique cherchait à décrire :
- un support des ondes
- un milieu des interactions
- une réalité continue et dynamique
Or, en MHD :
- les ondes (Alfvén, magnétosoniques…) se propagent dans le milieu
- le champ magnétique est gelé dans le fluide (frozen-in field)
- les lignes de champ ont une réalité dynamique
C’est exactement le rôle qu’on attribuait à l’éther… Vous vous rappelez de Jean-Pierre Petit ?
Peut-être que la MHD de JPP dérangeait parce qu’elle ramène à table le sujet « physique éthérique » et le concept du référentiel absolu.
Aujourd’hui, le concept de la physique éthérique devient inévitable, et ouvre les portes de notre compréhension. Même GPT l’a « accepté » en quelque sorte.

Ce que j’ai remarqué avec les filtres de GPT, c’est qu’il a finalement accepté de « discuter » calmement et « sans filtres » sur la physique éthérique, mais pas moyen de le rendre plus tolérant au principe du « référentiel absolu ». Là, pas moyen de changer son avis ou de le rendre plus tolérant sur cet aspect.
Le concept du référentiel absolu est au-delà d’un concept physique. L’approfondissement de ce concept conduit inévitablement à Dieu, l’observateur absolu…


Le cœur du concept : l’« éther »
Le mot éther vient du grec ancien αἰθήρ, qui signifie :
- l’air pur des dieux
- ce qui est au-delà du monde matériel
Dans presque toutes ses versions, l’éther est :
- omniprésent
- invisible
- plus fondamental que la matière
- porteur d’énergie, d’information ou de lois
Dans la physique classique avant la relativité d’Einstein :
- L’univers était pensé comme rempli d’un milieu continu
- La lumière, les ondes électromagnétiques, la gravité devaient s’y propager
- Cet éther avait des propriétés physiques (rigidité, densité…)
Et dans les versions les plus ésotériques de la science de l’éther :
- L’éther serait un substrat de la réalité
- La matière émergerait de vibrations, de champs ou de structures de cet aether
- La conscience, le temps ou l’énergie en découleraient
Un rapport avec Tesla ?

Nikola Tesla, qui vivait à la fin du XIXᵉ et au début du XXᵉ siècle, acceptait l’idée d’un éther omniprésent comme étant le milieu dans lequel s’exerce la physique. Il pensait que l’espace n’est pas un vide absolu, mais qu’il est rempli d’une substance ou d’un milieu dynamique qui pourrait être la source de l’énergie, de la lumière et des forces physiques. Certaines citations attribuées à Tesla vont jusqu’à dire que toute matière proviendrait d’un “primaire substance” (ether ou akasha) qui remplit tout l’espace et que les mouvements dans ce milieu donnent naissance à la matière perceptible.
Tesla a développé ces idées avant que le modèle moderne de l’espace-temps et de la lumière ne soit pleinement accepté, et son concept d’éther s’inscrit dans un cadre prédominant à la fin du XIXᵉ siècle, où de nombreux physiciens croyaient encore en un médium pour la propagation des ondes électromagnétiques. Mais ces notions n’ont jamais été intégrées dans la physique théorique moderne car l’éther classique a été « définitivement abandonné » (par le consensus scientifique ???) après l’avènement de la relativité restreinte d’Einstein.
Peut-être que la science éthérique doit revenir afin que la fusion nucléaire devient possible. C’est ce que les travaux de Nuno Loureiro montrent, car malgré lui, il a fini par aller vers les idées de la science éthérique pour avancer vers la réalisation d’une vraie centrale de fusion nucléaire, une révolution qui pourrait rapidement changer le monde.
Cela dit, les travaux de Nuno Loureiro parlent aussi d’autre chose. Il était un physicien théoricien spécialisé en plasma, très impliqué dans la turbulence, la reconnexion magnétique et les dynamiques fondamentales des plasmas dans les contextes astrophysiques et de fusion nucléaire. Ses compétences lui donnent un autre regard sur plusieurs sujets, y compris le champ magnétique terrestre, et celui du Soleil, sujet pertinent pour une époque où les aurores boréales descendent jusqu’au sud de l’Europe.
Inversion des pôles magnétiques de la Terre – Un scénario plus que réaliste
Avant de continuer, nous devons regarder ensemble cet extrait étrange d’une interview relativement récente d’Elon Musk :
On parle donc d’inversion des pôles magnétiques, et les répercussions d’un tel changement.
C’est ici que les travaux de Nuno Loureiro deviennent pertinents. Voici ce qu’il explique sur le champ magnétique de la Terre :
Il conclut que la Terre génère activement son propre champ magnétique. Une autre façon de le voir, c’est comme si la Terre avait une sorte de « cœur » qui ajoute assez d’énergie dans le système (corps) pour régénérer le champ magnétique, autrement il ne pourrait pas tenir plus que quelque centaines de milliers d’années.
Il continue un peu plus tard sur le même sujet :
Lui aussi fait un lien entre les « âges de glace » des inversions des pôles magnétiques. Cela dit, ce qui a attiré mon attention, c’est cette idée que le champ magnétique Terrestre reçoit régulièrement un « coup de pouce » énergétique, sans quoi, il finit par se dissiper, et la vie ne pourrait jamais avoir lieu.
C’est le même principe que le cœur humain, qui doit battre de temps en temps, pour permettre au corps de continuer à vivre, plutôt que d’entrer en décomposition. Ce qui est intéressant, c’est qu’aujourd’hui, on peut constater un lien direct entre l’activité solaire et l’inversion des pôles magnétiques, car nous sommes en plein milieu de ce processus…
Avez-vous déjà vu cette image ?

- Pourquoi nous fêtons la naissance du Christ le 25 Décembre ?
- Quel autre phénomène se produit le 25 Décembre ?
Avons-nous appris quelque chose ce soir qui nous permet de comprendre l’image du Christ pointant le cœur ?

