Le plus gros crime contre la liberté d’expression vient d’être révélé : “Les dossiers CTIL” Le plus grand scandale lié à la liberté d'expression vient
Le 17 septembre 2020, Donald Trump prononce un discours célébrant les fondements de la nation américaine et signe une proclamation en l’honneur de la Constitution. Selon la théorie de la dévolution, il n’aurait jamais réellement quitté ses fonctions après janvier 2021, ayant pris des mesures secrètes pour préserver son autorité en réponse à une fraude électorale présumée. Des documents exécutifs spéciaux (PEAD) auraient été utilisés pour suspendre le vote du collège électoral. L’implication croissante d’acteurs privés, notamment Dominion Voting Systems, dans la gestion des infrastructures électorales soulève des soupçons de conflits d’intérêts et de compromission, en particulier avec des puissances étrangères. La sécurité électorale ayant été placée sous l’autorité de la CISA et présentée comme une question de sécurité nationale, Trump aurait activé d’autres moyens, notamment la Space Force, pour surveiller l’élection. L’ensemble de ces éléments laisse entendre qu’il aurait volontairement laissé la fraude se produire afin d’en collecter les preuves et d’éventuellement revenir au pouvoir.