Après la peur du COVID, les alertes médiatiques se concentrent désormais sur le changement climatique, présenté comme un « code rouge pour l’humanité » par l’ONU. Pourtant, de nombreuses prédictions passées sur des catastrophes climatiques imminentes se sont révélées inexactes. Le consensus scientifique affiché, souvent résumé à 97 % d’accord, repose sur des études à la méthodologie contestée. Parallèlement, la géo-ingénierie — techniques de modification délibérée du climat, déjà expérimentées depuis des décennies — suscite interrogations et soupçons quant à son usage politique, économique ou géostratégique. Dans ce contexte, certains y voient moins une réponse à une urgence écologique qu’un nouvel outil de contrôle des populations.