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Une guerre pour distraire du crash économique ?

La fin est proche

Ceux qui cherchent, savent que l’économie est en train de vivre ses derniers “jours”. L’utilisation incontrôlée de la planche à billets pendant la période du virus, a achevé un système qui était déjà en train de rendre l’âme. La quantité d’argent en circulation a augmenté à une vitesse vertigineuse, à un tel point que même si l’on cherche, il est difficile de trouver les chiffres exacts.

Ajoutons à cela une dédollarisation du monde qui s’est produit discrètement en 2023, et vous avez tous les ingrédients d’un désastre économique majeur, le genre qui pourrait déclencher des guerres, et devinez quoi… Une guerre majeure a déjà commencé, mais elle est différente des autres.

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Les “puissants” tremblent

La situation globale est assez critique, car le système qui a permis cette construction sociale qui connecte argent et pouvoir, est sur le point de s’effondrer. Si quelqu’un a du pouvoir en dehors des structures étatiques, c’est parce qu’il a les moyens de payer des gens pour sa protection, pour sa nourriture, pour ses déplacements… Dans les cas extrêmes, certains individus ont le pouvoir de financer des milices (Soros – Antifa…) pour provoquer des déstabilisations politiques et sociales, ou carrément des armées (Al-Qaida, Daesh…) pour lancer des guerres. Mais que se passerait-il s’ils perdaient la possibilité de faire ce genre de choses ?

Une structure étatique fonctionne autrement, car son autorité est plus robuste que celle de l’argent lors de grandes crises, c’est aussi la raison pour laquelle nous voyons les puissants financièrement infiltrer les gouvernements et états. Ils sont en train de déplacer leur base de pouvoir, car ils savent qu’il leur reste peu de temps. Les signes sont là. La fin du système tel qu’on le connait est déjà là. Le patient est mort, mais il ne le sait pas encore.

Le transport, un indicateur central

Ajouter à l’hyperinflation et la dédollarisation les premiers signes de gros problèmes, qui se manifestent dans le transport.

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Si le transport manque d’activité, cela indique une baisse de la production, qui indique une baisse des profits, qui indique une baisse d’emplois, etc…

Tout le monde le voit

Voyons ce que Forbes Magazine a à nous dire à ce sujet :

Il n’y a plus d’esquive possible. Les effets négatifs graves et généralisés ont atteint un niveau critique. Il n’existe aucun remède, si ce n’est une remise à zéro des croyances, des raisonnements et des attentes des investisseurs.

Il est important de noter que cette remise à zéro n’a rien à voir avec les booms “typiques”, exagérément optimistes, motivés par la mode et fondés sur l’argent facile. Il s’agit plutôt d’un retour aux opérations traditionnelles des marchés de capitaux qui ont été faussées par la Réserve fédérale depuis 2008, soit 15 ans ! Il n’y a jamais eu de période aussi longue et d’actions aussi importantes contre les marchés des capitaux.

Les deux principales actions de la Fed ont été des taux d’intérêt proches de 0 % qui ont produit des inégalités dramatiques, et la création de milliards de dollars de monnaie qui a conduit à une forte inflation – reflétant ce que toute l’histoire a montré. Les dommages causés aux investisseurs et à d’autres personnes par ces 15 années d’actions inappropriées de la Fed et d’explications trompeuses, voire fausses, sont peut-être pires encore.

Nous avons suivi un trajet similaire en Europe aussi, comme nous l’avons mentionné dans l’article ci-dessous (tourné le 10/10/2023, et publié le 14/10/2023) où nous prévenons de la même chose :

Une nouvelle comico-tragique

Biden a décidé de faire mieux que les sub-primes qui avaient détruit l’économie en 2008. Il “ordonne” les banques de ne pas refuser les crédits demandés par les immigrés sans papiers. Cela ne peut que mal se terminer, pour un grand nombre de raisons.

Qu’est-ce que tout cela veut dire ?

Comme nous l’avons mentionné de nombreuses fois, nous sommes la veille de grands changements qui ont déjà commencé. Le système de Babylone est en train de s’effondrer. Ce système s’est construit autour de principes “économiques” et sociaux totalement corrompus, qui apportent déséquilibre, frustrations, pénuries contrôlées, guerres, et la mort. Un tel système ne peut pas durer éternellement, et il se trouve que nous vivons dans l’ère de la fin de cette structure injuste.

Les tensions diplomatiques que nous voyons autour du monde ne sont rien d’autre que des symptômes de cette fin. Chacun cherche à se placer du bon côté du Titanic, afin de pouvoir sauter au prochain “bateau”, composé de nouvelles alliances et principes. Seront-ils meilleurs que le précédent ? On ne sait pas, mais on sera là pour le voir.

Une chose est certaine, c’est que tout le monde peut voir à présent les limites du principe des banques centrales…

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