L’actualité devient de plus en plus révélatrice, et de plus en plus de liens sont en train d’être faits. Obamagate dépasse de loin la fausse histoire de collusion entre Trump et la Russie. On va aussi continuer la série Révélation-Y 😉

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Rigolons

Tremblement de Terre de 8,8 ???

Un séisme de magnitude 8,8 a frappé le 29 juillet 2025 au large de la péninsule du Kamtchatka, en Russie, à environ 126 km de Petropavlovsk-Kamtchatski, à 20,7 km de profondeur. C’est le plus puissant dans la région depuis 1952, classé parmi les six plus forts jamais enregistrés. Il a déclenché des tsunamis, notamment à Severo-Kourilsk (îles Kouriles), où des inondations ont submergé la ville, endommageant le port et une usine. L’état d’urgence a été décrété, mais tous les habitants ont été évacués. Des alertes tsunami ont été émises dans le Pacifique (Japon, Hawaï, Polynésie française, etc.), avec des vagues de 30 cm à 5 m. Au Japon, 1,9 million de personnes ont été évacuées, et à Fukushima, la centrale a été sécurisée. Aucun décès n’a été signalé, mais plusieurs blessés sont recensés en Russie. Les alertes ont été levées dans plusieurs régions, dont la Polynésie, avec peu de dégâts majeurs.

Obamagate – Nouveaux documents déclassifiés : Le Complot est réel !

De nouveaux documents concernant le complot d’Obama contre Trump ont été révélés, et les découvertes sont impressionnantes, même pour nous qui abordons ces sujets depuis des années.

Crowdstrike

Pilule Rouge : DÉVOLUTION – 6

Attention, il faut s’accrocher pour celle-ci, elle n’est pas simple! SpyGate Comme nous l’avons vu dans la partie 10, l’affaire du Spygate (sur laquelle enquête le procureur spécial John Durham) est la conséquence de la fausse enquête sur le RussiaGate (intox alléguant la collusion de Trump avec la Russie lors des élections de 2016). Perkins Coie est un cabinet d’avocats employé par le Comité National Démocrate (DNC) pendant la campagne d’Hillary Clinton en 2016 pour engager secrètement un

Post original de Green Lives Matter

En gros, des documents récemment déclassifiés prouvent qu’Hillary Clinton a concocté le canular de la collusion de Trump avec la Russie, et que CrowdStrike devait servir de porte-parole aux médias « en l’absence de preuves réelles ».
Regardez le PDG de CrowdStrike mentir directement à la caméra, affirmant que la Russie était responsable de la fuite interne du DNC.

C’est ce même CrowdStrike qui nous a dit que le serveur du DNC lié à Seth Rich avait été piraté par les Russes, mais selon ces documents, ils savaient que la Russie n’avait pas piraté l’élection. De plus, il s’agit d’un « ancien directeur adjoint du FBI ». Tout le monde était dans le coup. Il s’agissait d’un coup d’État à grande échelle qui se déroulait sous les yeux du peuple américain.

Relisez l’e-mail :
« HRC a approuvé l’idée de Julia* sur le fait que Trump et les hackers russes entravent les élections américaines….
En l’absence de preuves directes, Crowdstrike et ThreatConnect fourniront les médias. »

*Julianne Smith est une conseillère en politique étrangère et une ancienne diplomate américaine qui a occupé le poste de représentante permanente des États-Unis auprès de l’OTAN dans l’administration Biden de 2021 à 2024, avant d’être conseillère adjointe à la sécurité nationale auprès du vice-président Biden dans l’administration Obama.

Lorsque Trump a souligné le fait qu’il y avait des serveurs cachés de CrowdStrike en Ukraine, ils avaient essayé de le déstituer pour cela. Toutes les pièces du puzzle s’ajoutent les unes aux autres. Mais quand en saurons-nous plus sur Seth Rich, dont Julian Assange a insinué qu’il était sa source ? Ce n’était pas les Russes. Ils ont menti sur absolument tout, et tout est lié dans un complot littéral, meurtrier et de trahison comme nous n’en avons jamais vu de nos jours.

Complexe Militaro-Industriel de la Censure

Dans cette vidéo, publiée recement sur X, Mike Benz, ancien fonctionnaire de l’administration Trump, évoque un des documents déclassifiés cette semaine, datant de juillet 2016, qui révèle un plan visant à présenter l’élection de 2016 comme une menace pour les « infrastructures critiques », ce qui, selon lui, a été utilisé pour justifier une censure gouvernementale étendue des médias sociaux sous couvert de protéger les élections contre la désinformation. Cette stratégie, qui visait initialement à influencer la perception du public pendant les élections, s’est transformée en un appareil de censure plus large qui a eu un impact non seulement sur les élections de 2020, mais aussi sur le discours autour du COVID-19, modifiant fondamentalement le contrôle de l’information aux États-Unis.

La désignation d' »infrastructure critique », appliquée aux élections le 6 janvier 2017 par le ministère de la sécurité intérieure (DHS), a permis la surveillance fédérale des processus électoraux au niveau des États, malgré l’opposition des 50 États. Cette décision, qui a coïncidé avec le lancement du récit du Russiagate, a fourni un prétexte juridique à la censure, permettant à des agences comme le DHS, la CIA et le FBI, ainsi qu’à leurs ONG partenaires, d’étouffer les voix dissidentes en les présentant comme des menaces pour la sécurité nationale, contournant ainsi les protections du premier amendement.

L’analyse de M. Benz suggère que cette infrastructure de censure, construite sur la fausse prémisse de l’ingérence russe, n’était pas seulement une réponse à des menaces perçues, mais une stratégie délibérée pour contrôler la narration et supprimer l’opposition, avec des implications significatives pour les processus démocratiques. L’implication de personnalités comme Hillary Clinton, John Brennan et James Comey, ainsi que d’organisations liées à George Soros, témoigne d’un effort coordonné qui, selon M. Benz, était connu comme étant sans fondement par des acteurs clés de la communauté du renseignement, mais qui a été poursuivi pour maintenir le pouvoir et l’influence sur le discours public.

Donc la fausse histoire de la collusion Trump-Poutine, était la base légale pour l’installation du complexe militaro-industriel de la censure ? Les répercussions de cette information sont hallucinantes… Tout était un mensonge…

Rappelons-nous que c’est à partir de ce moment-là que la Russie est devenue « dangereuse », et transformé en bouc émissaire pour le narratif mainstream, qui continue à le faire jusqu’à aujourd’hui.

Soros impliqué

L’idée de lier Trump et Poutine et de parler de hacking des elections US est de Julianne, HRC l’a validée, c’était pour détourner l’attention des emails disparus d’Hillary, expliqué ici par le même Léonard Bernardo de Open Society de Soros… Donc Soros était au courant du complot au moment des faits ?…

De : Leonard Benardo
Envoyé : 27 juillet 2016

Bonjour,

HRC (Hillary Rodham Clinton) a approuvé l’idée de Julia concernant Trump et les hackers russes qui perturberaient les élections américaines. Cela devrait détourner l’attention du public de son propre problème d’e-mails manquants, surtout si l’affaire prend une ampleur olympique. L’objectif est de faire de l’affaire russe un problème intérieur américain. Dis quelque chose comme une menace pour les infrastructures critiques afin que l’élection semble menacée, puisque à la fois le POTUS (Président) et le VPOTUS (Vice-Président) ont reconnu le fait que la communauté du renseignement (IC) accélérerait les recherches de preuves, qui sont malheureusement encore indisponibles.

Cependant, il semble y avoir des signes d’une pénétration du GRU (renseignement militaire russe) (cyrillique, VPN d’élite 2.0, Felix Edmundovitch). Ils paraissent à peine compétents, des “idiots incompétents et maladroits” comme quelqu’un les a appelés. En l’absence de preuves directes, Crowdstrike et ThreatConnect fourniront les informations aux médias, et le GRU continuera, espérons-le, à fournir plus de faits.

Mockingbird

On a beaucoup parlé du projet Mockingbird dans le passé :

Ce projet, considéré comme une folie « complotiste » par le narratif mainstream, semble être bien réel, et visiblement, toujours en cours…

Tulsi Gabbard CONFIRME que l’Opération Mockingbird est TOUJOURS en cours au sein de la CIA et elle tente activement d’y mettre fin. Tulsi déclare que des agents du renseignement de l’État profond collaborent toujours activement avec des médias de gauche pour attaquer le président Trump de l’intérieur : « Il y a des gens dans la communauté du renseignement qui pensent que leur volonté est plus importante que celle du peuple américain. »« Ils instrumentalisent le renseignement en le divulguant à leurs amis dans les médias avec l’intention de saper l’agenda du président Trump. » L’Opération Mockingbird était un programme secret de la CIA visant à influencer les médias américains pour façonner l’opinion publique. Déclassifié en 1977 grâce à des demandes FOIA (Freedom of Information Act) et détaillé dans un rapport du Congrès, il impliquait l’infiltration de rédactions, la publication d’articles orientés et le recrutement de journalistes — certains en connaissance de cause, d’autres non — dans des médias majeurs comme The New York Times, Time et CBS. Source

@bennyjohnson

Conclusion

Peu importe, plan ou pas plan, le fait est que des révélations importantes sont en train d’avoir lieu en ce moment, et semblent confirmer tout ce que nous avons vu ensemble depuis le début de nos émissions. Cela dit, comme toujours, l’objectif de tout ceci, c’est de réaliser l’importance de la souveraineté individuelle, et de chercher à la récupérer, avec la responsabilité que cela implique. Ce n’est pas une réponse agréable, certes, mais c’est la vérité.

Révélations Y – 2 : La préparation du Temple de Salomon par le roi David, sous le regard d’Énoch

On doit rester un peu plus sur David finalement, car si l’on creuse encore un peu, on peut voir d’autres éléments de la trahison de David envers Dieu, mais surtout, on réalise que c’est David qui a fait « le sale travail » de la construction du temple de Salomon…