L’ex-médecin de la Maison Blanche esquive plus de 100 questions sur Covid et admet avoir approuvé un projet de recherche risqué sur le coronavirus de Wuhan sans l’avoir lu
Tout est parti d’un tweet : Zelensky parle de frappes russes sur des « installations militaires », un terme vague qui pourrait inclure, selon certaines spéculations, des biolabs financés par les États-Unis. Des documents retirés du site de l’ambassade américaine à Kiev, mais archivés en ligne, montrent que la Defense Threat Reduction Agency a financé plusieurs laboratoires ukrainiens manipulant des agents pathogènes. Officiellement destinés à réduire les menaces biologiques, ces sites font l’objet d’accusations récurrentes de la Russie et de groupes comme CyberBerkut, qui les soupçonnent de mener des expériences secrètes à visée militaire. Des articles d’investigation pointent aussi des liens avec Metabiota, EcoHealth Alliance et l’Institut de virologie de Wuhan, alimentant un récit controversé où coopération scientifique, sécurité sanitaire et soupçons d’armes biologiques s’entremêlent.
Dans un climat où la pandémie a servi de catalyseur, plusieurs discours politiques et médiatiques ont glissé vers une logique de « corps totalitaire », uniformisant pensées et comportements. La députée européenne Christine Anderson a dénoncé la dérive d’États se réclamant de la démocratie vers un autoritarisme hygiéniste, justifié par la protection collective. Des références historiques, de Hitler à la rhétorique sanitaire actuelle, montrent comment la peur, la division entre « purs » et « impurs » (vaccinés/non-vaccinés) et l’invocation du bien commun peuvent normaliser l’exclusion, la censure et la contrainte. Cette dynamique, renforcée par les médias, des figures publiques et même des modifications sémantiques (définitions de « vaccin » ou « antivax »), illustre comment un système sûr de sa vision peut sacrifier les libertés individuelles au nom d’une uniformité présentée comme salvatrice.