Étiquette : Christopher C. Miller

Dévolution

DÉVOLUTION – 5

La « guerre silencieuse » oppose l’armée américaine et Trump à un establishment politique décrit comme corrompu, utilisant les médias et les institutions pour préserver son pouvoir et collaborant avec des puissances étrangères comme la Chine. Plusieurs affaires de l’ère Obama sont citées : Uranium One, Fast and Furious, l’affaire des emails d’Hillary Clinton, l’accord nucléaire iranien, ainsi que Benghazi et le SpyGate, qui auraient révélé des compromissions majeures. Christopher C. Miller et Michael Flynn apparaissent comme des figures clés, ayant dénoncé la corruption et les décisions jugées criminelles d’Hillary Clinton et d’Obama. Joe Biden est présenté comme l’héritier de ce système, avec des liens financiers de sa famille avec la Chine, illustrés notamment par l’affaire Hunter Biden et le retrait d’Afghanistan associé aux intérêts chinois sur les terres rares. L’ensemble est décrit comme la base de la contre-offensive menée par Trump et les militaires dans le cadre de la dévolution.

Dévolution

DÉVOLUTION – 4

Ce live se concentre sur l’enquête Durham et les révélations liées au « Russiagate ». Il retrace comment, d’après l’ancien directeur du renseignement national John Ratcliffe, la campagne d’Hillary Clinton aurait orchestré la création d’un faux dossier accusant Donald Trump de collusion avec la Russie, dans le but de détourner l’attention de ses propres scandales. Les documents déclassifiés, dont les notes de John Brennan, montreraient que Barack Obama, Joe Biden et les plus hauts responsables du renseignement étaient informés de la fausseté de ces accusations dès 2016. Sont également abordées les inculpations déjà prononcées, le rôle du FBI et de la CIA, la manière dont le dossier Steele a été financé et relayé par les médias, ainsi que l’idée d’un complot politique au plus haut niveau. Enfin, l’affaire est reliée à un contexte plus large impliquant le « Deep State » et ses répercussions potentielles sur la politique américaine et mondiale.

Dévolution

DÉVOLUTION – 3

Le 6 janvier 2021, alors que Trump convie des centaines de milliers de partisans à Washington, les événements du Capitole semblent avoir été anticipés, voire utilisés comme pièce d’un plan plus vaste. Le mouvement Antifa, infiltré depuis des mois dans les manifestations et considéré comme une menace terroriste par l’administration Trump, aurait été sous surveillance rapprochée, notamment par le NCTC dirigé par Christopher C. Miller, un fidèle allié de Trump. Le chaos du Capitole, déclenché avant même la fin du discours de Trump, aurait servi à empêcher légalement toute contestation du vote de certification, à discréditer les partisans de Trump et à justifier une répression renforcée. Cependant, la chronologie et certaines actions ciblées montrent que Trump aurait délibérément laissé faire pour piéger ses opposants, en récoltant des preuves et en cadrant les événements dans un contexte de sécurité nationale. En parallèle, des décrets présidentiels comme le 13848 sur l’ingérence étrangère ont permis d’ouvrir des voies d’action militaires en cas de compromission du système électoral, rendant possible une riposte institutionnelle en dehors des circuits traditionnels. L’armée, selon cette logique, serait alors la seule force légitime restante pour restaurer l’intégrité constitutionnelle du pays.