On y parle de psychose de masse et de ses parallèles avec des périodes sombres de l’histoire, de la controverse autour de l’ARN messager et de Robert Malone, du rôle des médias dans la diffusion de la peur et de la confusion, ainsi que de l’idée de s’émanciper du système pour construire un mode de vie plus autonome, sobre et respectueux de la nature.
La marque Balenciaga a été au centre d’un scandale en novembre 2022 après la diffusion de campagnes publicitaires montrant des enfants posant avec des ours en peluche vêtus d’accessoires à connotation sadomasochiste, ainsi que divers éléments jugés troublants (chaussures rouges, lapin blanc, ruban adhésif, symboles ésotériques). Les images ont suscité un tollé international, alimentant de nombreuses interprétations symboliques et théories en ligne. Face aux critiques, Balenciaga a présenté des excuses, intenté puis retiré une action en justice contre la société de production responsable, et vu plusieurs célébrités liées à la marque garder le silence, ce qui a renforcé la controverse. Le scandale a ravivé les accusations d’hypocrisie dans le milieu du luxe et d’Hollywood.
Rumble a été rendu inaccessible en France après des pressions légales, la plateforme ayant préféré bloquer l’accès plutôt que de risquer des sanctions. La Miviludes a annoncé une hausse record des signalements liés aux dérives sectaires, particulièrement depuis la crise du Covid-19. Dix critères sont utilisés pour définir une secte : manipulation mentale, organisation pyramidale, extorsion de fonds, doctrine exclusive, rupture avec l’environnement d’origine, atteinte à l’intégrité physique, embrigadement des enfants, discours antisocial, troubles à l’ordre public et démêlés judiciaires. Ces points sont illustrés par la gestion de la pandémie, les confinements, l’endettement public, la fiscalité, la hausse des prix de l’électricité ou encore la stigmatisation des non-vaccinés. Les mesures politiques et médiatiques sont présentées comme relevant d’une logique totalitaire et accusées d’imposer un récit officiel au détriment des voix dissidentes.
Tout est parti d’un tweet : Zelensky parle de frappes russes sur des « installations militaires », un terme vague qui pourrait inclure, selon certaines spéculations, des biolabs financés par les États-Unis. Des documents retirés du site de l’ambassade américaine à Kiev, mais archivés en ligne, montrent que la Defense Threat Reduction Agency a financé plusieurs laboratoires ukrainiens manipulant des agents pathogènes. Officiellement destinés à réduire les menaces biologiques, ces sites font l’objet d’accusations récurrentes de la Russie et de groupes comme CyberBerkut, qui les soupçonnent de mener des expériences secrètes à visée militaire. Des articles d’investigation pointent aussi des liens avec Metabiota, EcoHealth Alliance et l’Institut de virologie de Wuhan, alimentant un récit controversé où coopération scientifique, sécurité sanitaire et soupçons d’armes biologiques s’entremêlent.
La désinformation au sein de certains groupes se réclamant de la « résistance » est dénoncée comme nuisible et source de division. Les DéQodeurs prennent leurs distances avec des acteurs tels que l’Alliance Humaine ou certains influenceurs étrangers (Ward, Parkes, « Negative48 »…), accusés de propager des récits sans fondement — comme le retour de JFK Jr., la Terre plate ou le système financier quantique — utilisés ensuite par les médias pour discréditer l’ensemble du mouvement Q. Cette dérive est présentée comme une stratégie d’infiltration rappelant le programme COINTELPRO, destinée à affaiblir les communautés dissidentes.
Ce live revient sur l’enquête Durham et les révélations autour du « Russiagate », en exposant comment, selon l’ancien directeur du renseignement national John Ratcliffe, la campagne d’Hillary Clinton aurait fabriqué un dossier pour accuser Donald Trump de collusion avec la Russie, afin de détourner l’attention de ses propres affaires. On y explique le contenu de documents déclassifiés, notamment les notes de John Brennan, montrant qu’Obama, Biden et les plus hauts responsables du renseignement étaient informés de la fausseté de ces accusations. La discussion aborde aussi les trois inculpations déjà prononcées, le rôle du FBI et de la CIA, la fabrication et la diffusion médiatique du dossier Steele, ainsi que l’existence supposée d’un complot politique organisé au plus haut niveau. L’affaire est replacée dans un contexte plus large, en lien avec d’autres actions attribuées au « Deep State » et ses implications possibles sur la politique américaine et internationale.
En 1979, Jacques Attali publiait *L’Ordre cannibale*, où il évoquait une médecine complice d’un capitalisme transformant la vie en marchandise et l’homme en « robot-cannibale », annonçant même une « révolution autour du cannibalisme ». Deux ans plus tard, il devenait conseiller du président français. Des médias comme *Le Monde* ou *Le Point* ont depuis relayé des articles explorant le cannibalisme sous un angle culturel ou historique, banalisant selon certains un sujet pourtant morbide. Ces éléments nourrissent l’idée que certaines élites, loin d’être irréprochables, pourraient entretenir des penchants profondément immoraux, donnant du crédit aux accusations visant l’« État profond ».
Si vous parlez de QAnon ou de Q dans votre entourage, il est fort possible que vous rencontriez ce genre de réaction. Et on est à même de le comprendre!! Qu’est ce que c’est que ce mystérieux informateur dont les prédictions ne se réalisent PAS de manière évidente. Pourquoi faudrait-il y porter un intérêt quelconque? C’est le sujet que nous allons aborder dans cet épisode de notre rubrique Pilule Rouge.